
Le patron de la F1, Stefano Domenicali, a confirmé à l'AFP, jeudi, qu'il n'y aurait pas de Grand Prix de France en 2023. Il ne donne ainsi pas suite au contrat entamé en 2018 avec le circuit du Castellet, dans le Var, qui accueillait jusqu'à présent les courses. Le patron de la Formule 1 a toutefois affirmé, lors d'une conférence de presse mercredi, que les discussions continuaient avec le promoteur du GP de France, et que l'épreuve pourrait à l'avenir entrer dans un système de rotation avec d'autres Grands Prix.
"Les discussions sont très, très ouvertes pour un grand avenir et une possibilité, non pas l'année prochaine, mais à l'avenir, pourrait également être de trouver une sorte de rotation qui permettrait à chacun de faire partie du calendrier", a-t-il expliqué.
Depuis quelques années, le calendrier a ainsi vu disparaître le GP d'Allemagne (64 éditions) et apparaître une course en Arabie saoudite, à Miami et l'an prochain à Las Vegas, aux États-Unis. Face à l'intérêt croissant pour la F1 et aux nouveaux standards financiers que représentent les nouveaux Grands Prix, "l'histoire ne suffit pas", a expliqué Stefano Domenicali, selon qui "la présence (des Grands Prix dits historiques, ndlr) ne peut pas être considérée comme acquise".
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fallait allonger le chéquier les gars
La planête se meurt et ces courses d'un autre temps existent encore... Une course de formule1 pollue autant qu'une vingtaine d'aller retour Paris NY en avion.
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