sophie le tan 
Restos du coeur, Croix Rouge, Secours populaire... La rentrée s'annonce difficile pour ces associations. Car depuis plusieurs mois, nombre d'entre elles sont victimes de vols, qui s'élèvent à plusieurs dizaines de milliers d'euros.
Chez les bénévoles, c'est l’écœurement.
Mais il faut tenir le coup et s'organiser différemment, quitte à payer pour un peu plus de sécurité. Reportage au sein d'un secours populaire.
sophie le tan sophie le tan Jean-Marc Reiser amazonie amazonie
Vos réactions
C'est vrai, c'est un peu facile de blâmer ce gars d'avoir volé une camionnette d'une association qui se casse le cul avec peu de moyen pour venir en aide aux autres...
Vous sortiriez la meme connerie pour un viol j'imagine ? comme toutes ces associations qui défendent ces gens pour ce genre d'horreur, vous etes à vomir...
J'ai justement repris ironiquement la justification qui avait été sortie lorsqu'un migrant avait été l'auteur d'un viol il y a quelques mois.
Le sarcasme vous avait probablement échappé dans mon commentaire car il passe moins bien à l'écrit.
Même si les bénévoles ne donnent que de moins en moins de nourritures contenant du porc, les voleurs sont des bâtards de leur prendre leurs moyens de recueillir les denrées alimentaires pour les migrants.
Donc si ils distribuaient que du porc, ce vol serait mérité ? putain de dégénéré...
Peut être que cet homme n'a tout simplement pas les codes et je sait pas comment fonctionnent les services du secours populaire.
C'est un peu facile de lui tomber dessus comme ça.
C'est vrai, c'est un peu facile de blâmer ce gars d'avoir volé une camionnette d'une association qui se casse le cul avec peu de moyen pour venir en aide aux autres...
Vous sortiriez la meme connerie pour un viol j'imagine ? comme toutes ces associations qui défendent ces gens pour ce genre d'horreur, vous etes à vomir...
Peut être que cet homme n'a tout simplement pas les codes et je sait pas comment fonctionnent les services du secours populaire.
C'est un peu facile de lui tomber dessus comme ça.
Même si les bénévoles ne donnent que de moins en moins de nourritures contenant du porc, les voleurs sont des bâtards de leur prendre leurs moyens de recueillir les denrées alimentaires pour les migrants.
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