
L’équipementier Adidas retire la top-Bella Hadid, dont le père est palestinien, d’une campagne controversée pour la réédition de baskets emblématiques des Jeux olympiques de Munich de 1972, ensanglantés par un attentat anti-israélien. L’équipementier allemand, qui surfe sur la culture sneaker, relance cet été cette chaussure au look rétro baptisée SL72, réplique d’un modèle porté par les athlètes notamment lors des Jeux de Munich.
Cette compétition avait été marquée par l’attaque suivie d’une prise d’otages, menée contre la délégation israélienne par un commando palestinien, au cours de laquelle onze athlètes israéliens et un policier allemand avaient été tués. « Des événements historiques tragiques »
Le mannequin américain Bella Hadid, âgée de 27 ans, figure parmi les visages choisis par Adidas pour incarner la campagne de promotion, lancée mi-juillet, des baskets rééditées.
Fille d’un ancien réfugié palestinien, né à Nazareth et devenu magnat de l’immobilier aux États-Unis, Bella Hadid, dont la mère est d’origine néerlandaise, a régulièrement exprimé son soutien aux Palestiniens depuis le 7 octobre.
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Vos réactions
Qu'est-ce qu'elle est belle !!!
@Konohamaru Elle est toute refaite ! Tu parles !
De base Adidas a fait une erreur en choisissant cette mannequin. Comment peuvent-ils choisir quelqu’un qui soutient la palestine alors que ce sont les mêmes palestiniens qui sont à l’origine du massacre des athlètes israéliens ? Très mauvais choix stratégique Adidas !!
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