
Hier matin, les représentants des principaux partis dans la course aux législatives ont passé leur grand oral devant les patrons. C'est notamment le cas de Jordan Bardella du Rassemblement national, accompagné d'Eric Ciotti.
"On ne peut pas réduire le phénomène de l'immigration aujourd'hui. 500.000 entrées sur le territoire par an au 40.000 titres qui sont accordés dans le cadre de contrat de travail. Il y a des manques aujourd'hui dans des professions", a-t-il déclaré.
"Donc l'immigration économique vous la maintenez ?", lui a demandé la journaliste. "L'immigration de croissance. C'est-à-dire que, quand on n'a pas de médecins et qu'on a besoin de chercher des médecins, ok. On a toujours été très clair sur cette position. Mais pas de régularisation d'étrangers en situation irrégulière. Je suis opposé à ce principe parce qu'il est sans fin, que c'est un appel d'air pour des filières d'immigration considérable", a répondu Jordan Bardella.
Et d'ajouter : "Une fois que le contrat de travail est fini, la personne repart dans son pays. Je souhaite qu'au bout de six mois, un étranger qui n'a pas d'activité soit amené à repartir dans son pays d'origine. Sinon on ne s'en sort pas".
Vos réactions
Bravo monsieur Bardella
Comme aux USA qui ne sont pas, à ma connaissance, une dictature !!
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