
François Bayrou a appelé lundi le gouvernement et les parlementaires à discuter d'une hausse ciblée des impôts, option remise sur la table par la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet mais que refuse catégoriquement le ministre des Finances Bruno Le Maire.
"Une discussion peut être ouverte. Le ministre de l'Economie et des Finances est en train de préparer le budget de l'année prochaine (...) Il est bon que le gouvernement et les parlementaires s'asseyent autour de la table et qu'ils explorent librement", a-t-il déclaré sur RTL, interrogé sur la probable annonce mardi par l'Insee d'un déficit public en 2023 nettement supérieur aux 4,9% du PIB initialement prévus.
Interrogé sur les propos de la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, qui évoquait la possibilité de taxer les entreprises réalisant des "superprofits" ou versant des "superdividendes", M. Bayrou a rappelé que le MoDem avait proposé à l'Assemblée nationale "depuis déjà plusieurs exercices budgétaires qu'on explore cette voie là". "S'il y a des mesures de rééquilibrage, il faut qu'elles aillent vers ceux qui ont le plus de moyens, y compris le plus de moyens en fonction de la crise, sans casser l'image de la France qui permet d'attirer les investisseurs", a-t-il plaidé en reconnaissant que cela relevait de "la quadrature du cercle".
Sur BFMTV/RMC, Mme Braun-Pivet a de nouveau appelé à "regarder au niveau des profits des entreprises, c'est les fameux superprofits, regarder les dividendes qu'elles versent, ce sont les super dividendes, regarder éventuellement la flat tax, regarder ce que l'on peut faire au niveau des rachats d'actions".
"Je n'ai pas de religion à cet égard", a-t-elle ajouté, en plaidant pour "ne pas avoir de tabous, ne pas avoir de dogme". "Il faut que tout le monde fasse des efforts. C'est pour ça que je n'écarte pas la piste collectivités locales, je n'écarte pas la piste autour des dépenses sociales, assurance chômage, etc", a-t-elle expliqué, en se différenciant sur ces points de François Bayrou.
Vos réactions
Couper la pompe à fric vers les associations diverses et variées qui s'occupent des migrants et des clandestins.
Et la baisse ciblée des dépenses, est-ce possible, imaginable, peut-on au moins y songer une fraction de seconde ou bien c'est interdit ?
Couper les fonds publics aux assos pro-migrants, interdire aux collectivités de financer toute activité avec des complices de passeurs de clandestins, supprimer les allocations aux étrangers, supprimer l'accès gratuit aux soins des clandestins sauf danger de mort immédiate (stabilisation du patient puis expulsion), supprimer l'aide à l'enface pour les faux-mineurs clandestins (forcer l'examen de reconnaissance de l'âge adulte, puis expulsion de l'adulte, ou expulsion du faux-mineur s'il refuse l'examen car reconnu adulte par défaut), supprimer les aides au développement pour les pays qui refusent de reprendre leurs clandestins, pour la Chine, pour l'Inde et tous les pays aux gouvernements haineux anti-France (Pakistan, Afghanistan en premier), supprimer toutes les aides, emplois subventionnés, et exonérations pour les organismes aux activités pro-racailles, pro-drogues, pro-émeutes : associations de "quartchiers", grands frères, zones franches, discrimination positive des racailles = dispositif d'emploi franc QPV, suppression de l'Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) ouverte aux étrangers n'ayant jamais travaillé en France, suppression des centaines de comités, agences, commissions, et autres conneries administratives bouffeurs d'impôts, suppression des sorties en forêt, en poney, à la piscine, au karting pour les prisonniers, suppression des playstation et téléphone fixe des prisonniers, . Voilà des dizaines de milliards d'euros à économiser en priorité.
Le déficit explose, pas d'autres solutions que :
diminuer les dépenses publiques :
- réduction du nombre d'agents de l'état (y compris et surtout les collectivités locales)
- réductions des budgets non indispensables (culture, anciens combattants, etc)
- réduction des dépenses sociales (pensions de retraite, sécurité sociale, aides sociales, indemnités chômage, etc)
augmenter les recettes fiscales :
- taxes sur les supers profits
- droits de douane
J'en oubli ?
Déjà que l’état revoit les accords avec différents pays
Que l’état arrête également de crédité des projets qui n'aboutisse a rien
Faire respecter les marches et les accords passer
Faire un véritable audit sur l’emprise des laboratoires pharmaceutique , plusieurs milliards e recuperer
réduction des dépenses sociales (pensions de retraite, sécurité sociale, aides sociales, indemnités chômage, etc) Belles bêtises , comment crée encore plus n'inegalité
Et allez on va encore raquer !! ras le bol ! on travaille pour rembourser les dettes de notre cher gouvernement en place depuis 7 ans !! merci le Mozart de la Finance, t'es au top
c'est tellement plus facile d'augmenter les impôts au lieu de bosser et s'attaquer aux vrais problèmes de notre mille feuille administratif car augmenter les impôts tout le monde peut le faire pas besoin de faire l'ENA pour décider d'une telle mesure
L'état nous prend déjà 66% de nos revenus, mais il semble que ce ne soit pas assez pour certains
48.5% de prélèvements obligatoires, + taxes sur l'essence, sur l'alcool, le tabac, les assurances, etc..
On posse déjà 8 mois sur douze pour l'état, tu gagnes 3 queues de cerise, l'état t'en prend deux
et visiblement , c'est toujours pas assez
Et il en donne combien ???
Il a bonne mine , celui là qui ne payait pas l'ISF en se faisant passer comme exploitant agricole avec son élevage de chevaux !
L'état nous prend déjà 66% de nos revenus, mais il semble que ce ne soit pas assez pour certains
48.5% de prélèvements obligatoires, + taxes sur l'essence, sur l'alcool, le tabac, les assurances, etc..
On posse déjà 8 mois sur douze pour l'état, tu gagnes 3 queues de cerise, l'état t'en prend deux
et visiblement , c'est toujours pas assez
Gros Glauque!
Le déficit explose, pas d'autres solutions que :
diminuer les dépenses publiques :
- réduction du nombre d'agents de l'état (y compris et surtout les collectivités locales)
- réductions des budgets non indispensables (culture, anciens combattants, etc)
- réduction des dépenses sociales (pensions de retraite, sécurité sociale, aides sociales, indemnités chômage, etc)
augmenter les recettes fiscales :
- taxes sur les supers profits
- droits de douane
J'en oubli ?
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