19h38: En visite à Rodez, Emmanuel Macron demande une minute de silence pour les victimes de la Préfecture de police de Paris
18h13: Ce que l'on sait ce soir de cette agression
L'agression s'est produite en début d'après-midi à l'intérieur de ce lieu emblématique du pouvoir policier, situé dans le centre historique de la capitale, qui regroupe les grandes directions de la police parisienne à l'exception de la police judiciaire. L'assaillant, abattu dans la cour de la préfecture, travaillait à la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), ont indiqué des sources concordantes. Cet employé faisait partie du service informatique de la DRPP et souffrait d'un handicap. Les quatre personnes tuées sont des fonctionnaires de la préfecture de police, selon des sources concordantes.
Une autre personne a été évacuée "en urgence absolue" vers l'hôpital d'instruction des armées Percy, selon une autre source proche du dossier. Les enquêteurs explorent notamment la piste d'un conflit personnel, selon ces sources.
A ce stade, le parquet antiterroriste n'a pas été saisi, selon des sources judiciaires. "J'étais dans l'aile où il y a plutôt des bureaux et l'escalier qui monte chez le préfet. J'ai entendu un tir. J'ai compris que c'était à l'intérieur", a témoigné à l'AFP Emery Siamandi, interprète présent à l'intérieur de la préfecture au moment de l'attaque.
"Quelques instants après, j'ai vu des policières qui pleuraient. Elles étaient en panique. Au départ, j'ai pensé que c'était peut-être un policier qui s'était suicidé. Ça courait partout, ça pleurait partout." Selon Loïc Travers, du syndicat de police Alliance, "l'auteur présumé a commencé les faits dans son bureau puis il est sorti pour continuer son agression, dans d'autres endroits que la préfecture".
"Employé modèle, sans histoire", selon le syndicaliste interrogé sur BFMTV, l'agresseur avait "plus de 20 ans de maison". Le président Emmanuel Macron s'est rendu sur place, de même que son Premier ministre Edouard Philippe, et le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui devait se rendre en Turquie. Le procureur de Paris et la maire de Paris Anne Hidalgo se sont également déplacés.
"Paris pleure les siens cet après-midi après cette effroyable attaque survenue à la@prefpolice. Le bilan est lourd, plusieurs policiers ont perdu la vie. En mon nom et celui des Parisiens, mes premières pensées vont aux familles des victimes et à leurs proches", a twitté la maire.
Le lieu était placé sous haute sécurité: le périmètre était bouclé, une dizaine de camions de pompiers étaient sur place, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Au Palais de justice, en face de la préfecture, un message a été diffusé peu avant 14H00 dans les hauts-parleurs : "Une agression s'est produite à la préfecture de police. La situation est maîtrisée. Le secteur de la Cité reste sous surveillance", a mis en garde le message.
Cette attaque intervient au lendemain d'une "marche de la colère" des policiers, qui a rassemblé 27.000 personnes selon les organisateurs, sur fond de malaise de l'institution, de hausse des suicides et de réforme des retraites.
Au Palais de justice, en face de la préfecture, un message a été diffusé peu avant 14H00 dans les hauts-parleurs : "Une agression s'est produite à la préfecture de police. La situation est maîtrisée. Le secteur de la Cité reste sous surveillance", a mis en garde le message.
"Ça courait partout, ça pleurait partout", a témoigné à l'AFP Emery Siamandi, interprète présent à l'intérieur de la préfecture au moment de l'attaque. "J'ai entendu un tir, j'ai compris que c'était à l'intérieur", raconte-t-il. "Quelques instants après, j'ai vu des policières qui pleuraient. Elles étaient en panique".
17h48: L'agresseur s'était converti à l'islam, selon BFMTV. D'après nos confrères, l'individu s'était converti il y a dix-huit mois.
17h37: Le point sur ce que l'on sait
Quatre fonctionnaires dont une femme ont été tués jeudi à coups de couteau de cuisine, à l’intérieur même de la préfecture de police de Paris, par un employé administratif qui a été ensuite abattu par les forces de l’ordre, une attaque inédite par un membre de la célèbre institution.
L’assaillant de 45 ans, abattu dans la cour de la préfecture, travaillait à la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), au service informatique et souffrait d’un handicap. Le parquet antiterroriste n’a pas été saisi à ce stade et une enquête a été ouverte pour homicides volontaires, a indiqué sur place le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz.
Les enquêteurs explorent notamment la piste d’un conflit personnel, ont indiqué des sources concordantes.
Une perquisition était en cours à son domicile, a indiqué le procureur, et sa femme a été placée en garde à vue selon le parquet.
Il «n’avait jamais présenté de difficultés comportementales» ni «le moindre signe d’alerte», a déclaré le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, lors d’un point presse sur place.
L’agression s’est déroulée entre 12H30 et 13H00 à l’intérieur de ce lieu emblématique du pouvoir policier, situé dans le centre historique de la capitale, qui regroupe les grandes directions de la police parisienne à l’exception de la police judiciaire.
Muni d’un couteau de cuisine, cet homme a attaqué trois policiers de la DRPP, dans deux bureaux au premier étage du bâtiment, selon une source proche de l’enquête. Il s’en est ensuite pris, dans un escalier, à deux femmes: l’une employée à la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), l’autre à la Direction des ressources humaines (DRH).
Il est ensuite passé par la cour du bâtiment. Là, un policier de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) lui intime l’ordre de lâcher son couteau: il finira par faire usage de son arme de service.
Touché à la tête, l’assaillant est tué. Son parcours meurtrier est lourd: quatre personnes ont été tuées et au moins une autre a été conduite à l’hôpital, en situation d'«urgence absolue».
Jeudi après-midi, la préfecture était placée sous haute sécurité: le périmètre était bouclé, une dizaine de camions de pompiers étaient sur place, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Le président Emmanuel Macron s’est rendu sur place, de même que son Premier ministre Edouard Philippe.
Au Palais de justice, en face de la préfecture, un message a été diffusé peu avant 14H00 dans les hauts-parleurs : «Une agression s’est produite à la préfecture de police. La situation est maîtrisée. Le secteur de la Cité reste sous surveillance», a mis en garde le message.
«J’étais dans l’aile où il y a plutôt des bureaux et l’escalier qui monte chez le préfet. J’ai entendu un tir. J’ai compris que c’était à l’intérieur», a témoigné à l’AFP Emery Siamandi, interprète présent à l’intérieur de la préfecture au moment de l’attaque.
«Quelques instants après, j’ai vu des policières qui pleuraient. Elles étaient en panique. Au départ, j’ai pensé que c’était peut-être un policier qui s’était suicidé. Ça courait partout, ça pleurait partout.»
La maire de Paris, Anne Hidalgo, qui s’est déplacée, a exprimé sur Twitter ses pensées «aux familles des victimes et à leurs proches». «Paris pleure les siens cet après-midi après cette effroyable attaque survenue à la@prefpolice», a-t-elle écrit.
«Employé modèle, sans histoire», selon Loïc Travers, du syndicat de police Alliance sur BFMTV, l’assaillant avait «plus de 20 ans de maison».
«Ce drame purement humain, qui n’a rien à voir avec notre métier, aurait pu se produire dans n’importe quelle entreprise, n’importe quel lieu de travail», a souligné de son côté le syndicat Unité SGP-Police, dans un communiqué.
Cette attaque survient au lendemain d’une «marche de la colère» des policiers, une mobilisation inédite depuis près de 20 ans qui a rassemblé 27.000 personnes selon les organisateurs, sur fond de malaise de l’institution, de hausse des suicides et de réforme des retraites.
17h05: La femme de l'assaillant a été placée en garde à vue, selon franceinfo
16h39: Rémy Heitz (procureur)
Nous déplorons le décès de 4 personnes.
J'ai ouvert immédiatement une enquête confiée à la brigade criminelle.
Cette enquête est en cours, elle va s'attacher spécialement à mettre en lumière les motivations du passage à l'acte de l'auteur présumé qui est âgé de 45 ans.
16h37: Christophe Castaner:
"L'agent est âgé de 45 ans, et il s'est engagé dans un parcours meurtrier.
Dans son "parcours meurtrier" qui s'est déroulé "entre 12H30 et 13H", l'assaillant, employé au service informatique au sein de la Direction du renseignement de la préfecture de police, a tué à coups de couteau de cuisine une agent administratif et trois policiers
Il était connu dans le service informatique, mais n'a jamais présenté de difficultés comportementales.
L'enquête ne fait que débuter.
Une des victimes blessée est en cours d'opération et les nouvelles sont rassurantes.
Nos personnels sont mobilisés."
16h15: BFMTV vient de dévoiler une photo prise après les faits
15h57: Une perquisition est en cours au domicile de l'auteur présumé en région parisienne, selon BFMTV. Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. Celle-ci a été confiée à la brigade criminelle
15h48: Manuel Valls: "Je suis bouleversé d’ apprendre les conséquences de l’ attaque à la préfecture de Police .Je connais si bien les agents de cette prestigieuse maison. Toutes mes pensées vont aux victimes et à leurs proches. Les forces de l’ ordre méritent plus que jamais notre soutien et notre respect ."
15h37: Les victimes sont une femme et trois hommes, fonctionnaires, selon BFMTV
15h25: Gérard Collomb sur Twitter: "J’apprends avec émotion le drame qui s’est produit en début d’après-midi à la préfecture de police de Paris.
Toutes mes pensées vont bien sûr aux familles des victimes. Et je veux aussi faire part de mon soutien à l’ensemble des personnels, dont j’imagine l’émotion à cet instant."
15h23 : LE POINT SUR LA SITUATION A 15H15:
Quatre policiers ont été tués dans une agression à l’arme blanche perpétrée jeudi à l’intérieur de la préfecture de police de Paris par un employé qui a été ensuite abattu par les forces de l’ordre, pour des motifs encore indéterminés.
L’agression s’est produite en début d’après-midi à l’intérieur de ce lieu emblématique, situé dans le centre historique de la capitale, qui regroupe les grandes directions de la police parisienne à l’exception de la police judiciaire.
L’assaillant, abattu dans la cour de la préfecture, travaillait à la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), ont indiqué des sources concordantes. Les enquêteurs explorent notamment la piste d’un conflit personnel, selon ces sources.
L’agresseur travaillait au service informatique de la DRPP et souffrait d’un handicap.
En début d’après-midi, le lieu était placé sous haute sécurité: le périmètre était bouclé, une dizaine de camions de pompiers étaient sur place, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Alors qu’il devait se rendre en Turquie, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a repoussé son déplacement et s’est rendu immédiatement sur place. Le procureur de Paris s’est aussi déplacé et le parquet antiterroriste n’a pas été saisi à ce stade, a-t-on appris de sources judiciaires.
Le Premier ministre Édouard Philippe et la maire de Paris Anne Hidalgo se sont également rendus à la préfecture de police.
«Paris pleure les siens cet après-midi après cette effroyable attaque survenue à la@prefpolice. Le bilan est lourd, plusieurs policiers ont perdu la vie. En mon nom et celui des Parisiens, mes premières pensées vont aux familles des victimes et à leurs proches», a twitté la maire.
Au Palais de justice, en face de la préfecture, un message a été diffusé peu avant 14H00 dans les hauts-parleurs : «Une agression s’est produite à la préfecture de police. La situation est maîtrisée. Le secteur de la Cité reste sous surveillance», a mis en garde le message.
«Ça courait partout, ça pleurait partout», a témoigné à l’AFP Emery Siamandi, interprète présent à l’intérieur de la préfecture au moment de l’attaque. «J’ai entendu un tir, j’ai compris que c’était à l’intérieur», raconte-t-il. «Quelques instants après, j’ai vu des policières qui pleuraient. Elles étaient en panique».
15h19: Eric Morvan, le directeur général de la police nationale adresse sur Twitter ses "chaleureuses pensées" et son "indéfectible soutien" aux policiers.
15h12: Le déplacement d'Emmanuel Macron à Rodez est maintenu malgré l'attaque à la Préfecture de police
15h05: Le Président Emmanuel Macron vient d'arriver sur place pour témoigner son soutien et sa solidarité à l’ensemble des personnels de la Préfecture de police.
14h58: Le président Emmanuel Macron va se rendre sur place à la Préfecture de Police
14h55: Selon des sources contactées par l'AFP, les enquêteurs explorent notamment la piste d'un conflit personnel.
14h51: "Paris pleure les siens", écrit la maire de Paris, Anne Hidalgo, sur Twitter. Elle ajoute qu'un hommage sera rendu lors du prochain conseil de Paris.
14h44: Loic Travers, secrétaire Ile-de-France du syndicat Alliance Police Nationale, explique:
"5 personnes sont décédées dont l'assaillant", et plusieurs personnes sont "choquées".
"Les circonstances laissent entendre que l'auteur présumé a commencé les faits dans son bureau avant de se rendre dans plusieurs endroits de la préfecture", a-t-il déclaré.
Précisant que "Le mobile n'est pas connu à ce stade".
Une cellule psychologique a été ouverte.
L'agresseur présumé est "un administratif, qui a plus de 20 ans de service. Il faisait partie de la direction du renseignement. Il ne posait aucun problème. Il n'était pas connu pour un quelconque signalement.
C'est un collègue qui l'a neutralisé dans le cadre d'une légitime défense."
14H33: Le bilan est porté à cinq morts, dont l'assaillant, et un blessé, confirme une source policière à l'AFP.
Selon BFM TV, l'assaillant était un homme sourd et muet
14h27 : Le premier Ministre Edouard Philippe vient d'arriver sur place
14h19: La préfecture de police indique qu'il y a 2 morts, dont l'assaillant
14h15: LE POINT SUR LA SITUATION A 14H15:
Deux personnes ont été blessées à l’arme blanche à l’intérieur de la préfecture de police de Paris jeudi en début d’après-midi et l’auteur a été blessé par balle et «neutralisé», a-t-on appris de sources concordantes.
Le périmètre autour de la préfecture de police, située dans le centre historique de la capitale, était bouclé et les secours étaient sur place, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Une dizaine de voitures de pompiers étaient sur place.
Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, qui devait se rendre en Turquie, a repoussé son déplacement et s’est rendu sur les lieux, a-t-on appris de sources concordantes.
Peu avant 14H00, un message d’alerte a été diffusé dans les hauts-parleurs du palais de justice de Paris, situé en face de la préfecture. «Une agression s’est produite à la préfecture de police. La situation est maîtrisée. Le secteur de la Cité reste sous surveillance», mettait en garde le message.
14h11: Selon une source policière citée par Le Figaro, il pourrait s'agir d'un règlement de compte lié à une affaire sentimentale.
14h10: Selon LCI l'auteur de l'agression est un agent administratif de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP). Le parquet terroriste n'est pas saisi à cette heure.
13h57: Selon RTL, la piste terroriste n'est pas privilégiée. L'assaillant faisait partie des effectifs de la préfecture de police, indiquent nos confrères.
France Info, qui confirme que l'agresseur est un personnel de la préfecture de police de Paris, précise qu'il s'en est pris à deux femmes, fonctionnaires elles aussi, à l'intérieur de la préfecture, de source policière. Il a ensuite été "neutralisé".
13h54: Selon BFMTV, l'assaillant était muni d'un couteau en céramique, une matière non identifiable par les détecteurs de métaux
13h51: Le périmètre autour de la préfecture de police est bouclé et les secours sont sur place
13h48: Le parquet de Paris va également se rendre sur place
13h44: Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, va se rendre à la préfecture de police
13h43: Le Parisien indique que la station de métro Cité est fermée au public
13h38: Deux policiers ont été blessés par arme blanche dans l'enceinte de la préfecture - L'assaillant abattu.
13h30: Selon RTL, un homme armé d'un couteau a pénétré aujourd'hui à la mi-journée dans l'enceinte de la préfecture de police de Paris.
L'homme s'en est pris à une fonctionnaire de police, "la blessant à l'aide de son arme", selon nos confrères. Son état de santé n'est pour l'heure pas connue.
De son côté, l'agresseur aurait été maitrisé par un policier. Ce dernier a fait usage de son arme de service.
A l'heure actuelle, les motivations de l'agresseur ne sont pas connues.
Vos réactions
Vous êtes un bon raciste anti-musulman pro-fn bien dans votre peau, je vois le genre.
Dire qu'il n'y a pas d'attaque juive, vous oubliez vite (exemple : la bombe de 2012 par la LDJ toujours pas dissoute). ah oui c'est vrai, pour vous ce ne sont que des "petites morts" certainement, le plus souvent on cache l'affaire, les gars sont condamné par contumace mais sont déjà en Israël car aucune extradition ou ils sont parfois remerciés là-bas pour "service rendu à la purification"... ça laisse rêveur sur l’extrémisme aussi
Pour les chrétiens, ont à la "chance" de ne pas être aux USA ou là c'est la 1ere cause de mortalité du pays certes mais encore une fois, dans les meurtres de tout les jours ont ne dit "bizarrement" pas "un chrétien a tué sa famille" mais "un homme en détresse sentimentale/malade psychologiquement/etc.. à tuer sa famille" car il faut protéger une religion plutôt qu'une autre...
Et tant que l'amalgame sera toujours là et exploité (terroriste = musulman même si il n'y a rien à voir entre les 2, n'importe qui peut dire qu'il était juif/chrétien/musulman après son méfait), un sioniste dira qu'il est juif alors que pourtant cette religion condamne AUSSI les meurtres, on avancera pas.
Vous êtes un tout petit peu dans le déni, là...
Vous n'avez pas l'impression qu'en France il y a une légère surreprésentation des crimes de musulmans au nom de leur religion ? Par rapport aux autres religions ?
J'imagine que lorsqu'on intervient ici on est de bonne foi. Et je ne comprends pas que l'on puisse discuter. Reprenons. En France, dans notre pays. Protestants = 0 assassinat (au nom de leur religion). Bouddhistes = 0 assassinat. Juifs = 0 assassinat. Chrétiens = 0 assassinat. Musulmans = des centaines de meurtres et massacres, à la Kalashnikov (Bataclan, terrasses cafés etc), au pistolet (Mohamed Merah), , à l'arme blanche, au pistolet, à la voiture, au camion (Nice, promenade des Anglais).Et on nous dit, c'est une religion de paix, pourquoi vous la stigmatisez. Le déni à ce niveau, c'est dramatique et mortel.
Bien dit... bravo!!!
Une question pourquoi précisé qu'il s'est converti, c'est débile , dangereux de jouer à ça
Parce que ce est la vérité, voilà..
Si maintenant il y a même des radicalisés au sein de la préfecture de police ça devient grave !
Pensées aux familles encore victime de la haine aveugle..
pauvre petite chose! t'es un fragile toi!
Un ou une fragile ?
Car à être attiré et défendre toujours ainsi la racaille à tout prix sur ce blog, il me semble que sa véritable identité est lucilia caesar !
Sauf qu'il était noir, originaire de Martinique de ce que j'ai entendu.
dans ce cas on dira qu'il était de la ldna ou des indépendantiste martiniquais tout est critiquable du moment qu'on occulte le fait qu'il soit musulman....
A priori le gars est musulman, donc pratique l'Islam et la rien d'anormal, maintenant le problème est de savoir s'il s'est radicalisé, car la ce n'est plus un musulman, un pratiquant de l'Islam, mais un terroriste qui c'est écarté de la religion.
il était blanc!!! alors j'ai une idée on mets çà sur le dos des suprématistes blancs
comme çà les journalistes pourront dire librement a la télé que c’était une ordure
même France inter pourra dire du mal de lui ... pendant leurs matinal sans oublier quotidien sera objectif pour une fois
Je pense que falco était "ironique" en reprenant cette formule.
J'ai presque perdu l'espoir qu'on comprends l'ironie ici lol.
Oui surtout pas d'amalgame , le mec bossait la depuis 20 ans avec aucun probleme , il se convertit a l'islam il y a 18 mois et devient un tueur de policiers , pas d'amalgame , et maintenant l' on nous dit que sa femme est en garde a vue , pas d'amalgame .....Tous des braves gens qui ne nous veulent que du bien
Je pense que falco était "ironique" en reprenant cette formule.
Et quand un bien blanc de souche Française depuis 5 générations de confession Juive où Chrétienne , viole ou tue une personne c'est parce-qu'il épouse les idées de Zemmour aussi ?
Ils sont rigollots les adulateurs de Zemmour , tu me dira on a les adulateurs que l'on mérite....
Rien a secouer des 4 morts , le principale pour eux ce n'est juste venir distiller propager leur haine et par ce biais aussi apporter soutient à leur messie...
Pensé aux familles...
Vous êtes très énervé ou vous maîtrisez à peine notre langue ???
çà ne marche plus ton angélisme à deux balles! cette religion n'a que des citations guerrières! D'ailleurs l'islam s'est propagée par les armes pas par le rameau d'olivier ou les martyrs chrétiens à ROME!
Pete un coup mec t'es tendu comme un string.
Comme d'habitude, aveuglé par votre haine contre Macron (qui vous a fait quoi? Personne ne sait), vous déformez tout.
Il ne s'agit pas d'un policier mais d'un agent administratif.
Aujourd'hui, tout est monté en épingle.
Un crime passionnel, un incendie d'usine, la canicule au Quatar, un ministre en vacances assistant à une corrida, etc, etc...
C'est vraiment fatiguant.
Ce n'est plus du débat, c'est du harcèlement.
Ce qui soulève débat c'est que le ministre est ministre de la défense de la cause animale (défense rattachée à son ministère de l'agriculture). On peut difficilement prétendre défendre les animaux quand on assiste à une corrida.
Le fait qu'il fasse partie du personnel ne présume pas de ses motivations reelles
Selon une source policière citée par Le Figaro, il pourrait s'agir d'un règlement de compte lié à une affaire sentimentale.
Cherchez la femme !
Le couteau,c'est signé !
Les seuls "fachos" sont ceux que vous défendez corps et âmes.
Tout le monde le sait.
Réveillez vous.
c'est vrai que tous les tueurs sont systématiquement noirs ou arabes !! Francis Heaulmes, Fourniret, Emile Louis, jean-Claude Romand, Xavier Dupont de Ligonnes, etc etc...
Je préfère la manière dont les chaines de télé parle de l'info : "4 personnes tuées, l'agresseur abattu" JMM, je ne comprends pas pourquoi vous mettez l'assaillant dans le décompte, il doit etre à part, on ne va pas avoir de compassion pour le 5eme qui a oté la vie aux autres. Pardon mais on s'en fout de cette merde !!
go go go les fachos, it's open bar
Je lance les paris : suédois ou asiatique?
les racistes sont de sortis
L'homme a été abattu, mais l'autopsie démontrera qu'il s'agissait d'un déséquilibré ...
oui et alors ,il y en as plus que l on pense ce n est pas forcément a quoi vous pensez!
L'homme a été abattu, mais l'autopsie démontrera qu'il s'agissait d'un déséquilibré ...
Réagissez
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