
Hier, le procès de Jean-Claude Mas, le fondateur de l'entreprise PIP qui fabriquait des prothèses mammaires défectueuses, s'est ouvert devant le tribunal correctionnel de Marseille en présence des victimes.
"Je me trouve avec une épée au dessus de la tête où pour avoir voulu un jour retrouver ma poitrine, je me retrouverai peut-être entre quatre planches. Donc, je voudrais qu'il se rende compte que peut-être que lui est fatigué et triste, mais nous, les victimes, on ne sait pas où on va" explique, en larmes, l'une des victimes.
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que dieu les " protheses " !

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