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Le leader d'un groupe de supporters du FC Lorient, condamné à deux ans de prison dont un ferme pour des violences en marge de matchs de Ligue 2, a vu sa peine allégée

Le leader d'un groupe de supporters du FC Lorient, condamné en première instance à deux ans de prison dont un ferme pour des violences et dégradations commises en marge de matchs de Ligue 2, a vu sa peine allégée par la cour d'appel de Rennes. Le "capo" des "Merlus ultras" a cette fois été condamné à deux ans de prison avec sursis probatoire et une interdiction d'assister aux matchs du FC Lorient pour une durée de cinq ans.

L'homme de 34 ans était poursuivi pour des violences et dégradations en réunion, survenues en marge d'un match opposant Lorient à l'AC Ajaccio le 27 septembre 2024.

Dans la nuit, un groupe de supporters vêtus de noir s'était rassemblé près du stade, avant "deux séries d'échauffourées au centre-ville de Lorient", selon le parquet. 70 "Ultras" cagoulés et gantés avaient agressé des supporters corses dans un bar du centre-ville.

L'ex-chef de ces supporters devait également répondre des dégradations commises lors de la rencontre Lorient-Grenoble, le 24 août 2024.

Ce soir-là, des individus au visage dissimulé s'en étaient pris à deux camions-régie de télévision stationnés près du stade du Moustoir, endommageant du matériel. En première instance, en novembre 2024, le "capo" avait mis en avant la colère des supporters contre BeIN sports après que le diffuseur avait décidé de déplacer les matchs de Ligue 2 au vendredi soir.

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Vos réactions

Portrait de Touché01
19/novembre/2025 - 09h53
JB62000 a écrit :

Mais, pourquoi donc alléger des peines ? Nous avons toujours les mêmes discours

Un jour, dans une cour d'appel d'un autre pays, j'ai entendu le président dire au détenu :

Mais pourquoi avez vous fait appel ? On vous a déjà mis le maximum, on ne peut pas vous mettre plus ! 

Un jour peut-être cela arrivera aussi en France...

Portrait de JB62000
19/novembre/2025 - 09h12 - depuis l'application mobile

Mais, pourquoi donc alléger des peines ? Nous avons toujours les mêmes discours