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Cadavres dans la Seine : Le SDF, âgé d’une vingtaine d’années, de type nord-africain et de "nationalité non établie" mis en examen pour les quatre meurtres - La piste de crimes homophobes étudiée

Le parquet de Créteil a annoncé ce dimanche la mise en examen d’un homme suspecté de meurtres «au préjudice des quatre victimes» dans l’enquête concernant la découverte de quatre cadavres dans la Seine, le 13 août, à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Selon Le Monde, les enquêteurs soupçonnent ce jeune migrant sans abri d’avoir tué quatre hommes en seize jours en raison de leur orientation sexuelle.

Dans un précédent communiqué, le ministère public précisait que l’homme, après quatre jours de garde à vue, était déféré ce dimanche matin «dans le cadre d’une information judiciaire ouverte du chef de meurtres en concours au préjudice des quatre victimes».

Le suspect «dont l’identité restait incertaine à ce jour, était un homme SDF, âgé d’une vingtaine d’années, de type nord-africain et de nationalité non établie», ajoutait le parquet. En garde à vue, il s’est présenté comme un Algérien de 24 ans, né à Oran et prénommé « Ahmed », installé irrégulièrement depuis trois ans en France, où il travaillerait occasionnellement sur les marchés et dans le bâtiment. Mais les enquêteurs ont trouvé dans son squat un document en arabe portant sa photo laissant supposer qu’il s’appellerait en réalité Monji H. et serait de nationalité tunisienne

Cet individu était déjà connu de la justice pour un vol avec dégradation dans un véhicule au mois de janvier, pour lequel il était convoqué devant le tribunal judiciaire de Créteil au mois de septembre, et un recel de vol commis le 5 août dernier pour lequel il s’était vu remettre une convocation pour une ordonnance pénale.

La garde à vue d’un deuxième homme en lien avec le suspect et deux des victimes, qui avait débuté jeudi, a été levée samedi en début de soirée. «Aucune charge (n’est) retenue» contre lui à ce stade, détaille encore le communiqué. Les quatre corps ont été découverts mercredi 13 août en début d’après-midi, dans la Seine à proximité les uns des autres, sur la commune de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne).

C’est un passager du RER C, qui passait à proximité des lieux, qui a fait un signalement. Depuis, les quatre victimes ont été identifiées «par comparaison ADN» pour les deux premières et «à partir du fichier national automatisé des empreintes génétiques» pour les deux autres, selon le communiqué du parquet de Créteil.

«Un lien était fait entre chacune des victimes et le lieu de découverte des corps, situé à proximité d’un local technique abandonné fréquenté par des SDF», précise le parquet.

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Vos réactions

Portrait de Etienne44
25/août/2025 - 10h12 - depuis l'application mobile

À force d'importer des gens qui vivent comme au moyen âge, on en vient à tuer des gens pke ils sont gays. Au lieu d'avancer, on recule de jour en jour.

Portrait de magnum67
25/août/2025 - 09h55 - depuis l'application mobile

Et qu’est ce qu’il faisait chez nous encore celui là ???? Non seulement il est en situation irréguliere mais en plus il vient tuer les nôtres ! On va se rebeller un jour ? Puisque les gouvernements successifs ne font rien depuis des années , c’est peut être au peuple de se soulever , non ???

Portrait de kylun2004
25/août/2025 - 08h33

ah ben tiens, encore un arabe, comme c'est curieux

Portrait de Etienne44
24/août/2025 - 21h35 - depuis l'application mobile

Les LGBT qui votent pour LFI vous en pensez quoi ? Direct dans la gueule du loup !

Portrait de Orwell2025
24/août/2025 - 17h46

Choisy-le-Roi (94) : le migrant clandestin d'origine maghrébine, suspecté d’être un « tueur en série », était adepte d’un islam proche du salafisme. Une possible homosexualité refoulée du suspect ainsi qu’un conflit psychique intérieur lié à sa religion sont évoqués. (Le Parisien)

Il a tenté de berner les policiers en se faisant appeler Ahmed Ben Ali, né à Oran (Algérie) le 6 septembre 2000. Mais il s’appellerait en réalité Monji – « sauveur » en arabe – et serait tunisien. Derrière cet énigmatique jeune homme aux cheveux récemment rasés de près, savates aux pieds et barbe fine, se cacherait un redoutable tueur en série comme la France n’en a pas connu depuis bien des années.