
Près d'un mois après la mort du député LR Olivier Marleix, le procureur de la République de Chartres annonce, dans un communiqué, que "l'enquête est aujourd'hui clôturée".
"Les constatations, les examens médico-légaux, les auditions et l’analyse du téléphone portable permettent de comprendre la cause de la mort de Monsieur Olivier Marleix : il s’agit d’un suicide par pendaison", indique Frédéric Chevallier.
Des membres de sa famille et des proches ont été auditionnés par les enquêteurs. Des auditions qui ont mis en évidence que l'ex-patron du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale "traversait une période de dépression, aux causes multiples - sentimentales, intimes et professionnelles".
"Il consultait depuis quelques mois un psychiatre, s’adonnait à la course à pied de manière quotidienne et très inhabituelle, avait perdu beaucoup de poids", indique le procureur.
Et d'ajouter : "Ce que l’on peut comprendre c’est que, dans ce contexte morose, l’élément déclencheur du passage à l’acte autolyse est une dernière conversation entretenue avec sa compagne, et retrouvée lors de l’exploitation du téléphone portable de monsieur Marleix".
Le député Les Républicains (LR) d'Eure-et-Loir Olivier Marleix, qui avait présidé le groupe des députés de droite de 2022 à 2024, a mis fin à ses jours le 7 juillet dernier. Il avait été retrouvé sans vie à son domicile d'Anet.
Vos réactions
Ah, je m'incline, si notre belle justice arbitrée par un repris de justice auto-amnistié a décidé que c'était un suicide, et qu'elle impose cette vision de l'affaire.
Mais effectivement, quel dommage que ce suicide survienne au moment de révélations précises sur les méfaits de notre merveilleux Président. Pas de bol, Jean-Paul.
Ahh les petits complotistes qui ne savent rien mais révèlent tout sont de sortie...
Quels sont tes arguments ?
Ahh les petits complotistes qui ne savent rien mais révèlent tout sont de sortie...
C'est comme dans le film "La Loi du Marché"
“Cherchez la femme”…
À l’Élysée, ou ailleurs…
Il a enquêté d'un peu trop près sur l'affaire Alstom et s'apprêtait à sortir un livre dans lequel il étrillait Macron.
Assassinat déguisé en suicide, le donneur d'ordres étant bien évidemment le mari de Jean-Mi.
On se croirait revenu sous Mitterrand.
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