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Mea culpa sincère ou forcé ? Après avoir accusé Gilles Verdez d'être homophobe et antisémite, Matthieu Delormeau, présente publiquement ses excuses au chroniqueur de Cyril Hanouna

Après avoir accusé Gilles Verdez d'être homophobe et antisémite, Matthieu Delormeau, présente ses excuses au chroniqueur de Cyril Hanouna. Reste à savoir si ces excuses sont sincères, où si il s'agit du "prix à payer" pour pouvoir continuer à venir dans l'émission de Cyril Hanouna, à la demande d'M6 qui n'apprécie pas vraiment ce type d'accusations entre personnes de la même chaîne.

Il faut dire que les accusations étaient non seulement d'une rare violence, mais surtout constituaient des délits punis par la loi. 

Vendredi 5 septembre au soir, Matthieu Delormeau avait publié une série de messages, affirmant :

"Merci aux chroniqueurs, d’avoir passé du temps à m’écouter dans TBT9. Je suis heureux de les retrouver sauf Gilles Verdez qui a refusé de me saluer dans les loges et a reconnu son homophobie. Mais qui en doutait ? Je n’ai pas de haine. Je souhaite à ses enfants le meilleur ". Et de poursuivre en répondant à un internaute : "Il est homophobe et antisémite, qu’il m’attaque pour diffamation".

Les choses se sont ensuite accéléré car jeudi dernier, Matthieu Delormeau a annoncé qu'il avait rendez-vous le lendemain, vendredi, avec la direction d'M6.

De plus, selon les informations de Clément Garin, Gilles Verdez a refusé de participer à l’émission de vendredi dernier et aux futurs numéros de « Tout beau tout n9uf » tant que Matthieu Delormeau ne lui présentait pas publiquement des excuses.

Résultat, Matthieu Delormeau semble avoir été contraint de faire un Mea Culpa public cet après-midi, faisant un long message sur les réseaux sociaux  :

" Chers tous @w9 , cher Gilles Verdez.

J’ai posté un message que j’ai vite regretté concernant des accusations d’homophobie et d’antisémitisme à ton encontre. C’était infondé. Je regrette profondément le message posté plein de méchanceté, moi qui ne fait que la condamner sur les réseaux.

Par ailleurs, pour être très honnête tu ne m’as pas dit bonjour, mais lorsque je suis venu vers toi, tu m’as répondu. Ça j’aurais dû le préciser .

J’ai réagi face a de vieilles querelles du passé. Tu es un bon chroniqueur, et surtout un homme intelligent. Je retire ces accusations et surtout cher Gilles, il y a une très jolie citation qui dit « quand on n’écoute quelqu’un, on l’écoute pour le comprendre et non pour le convaincre ».

Je pense qu’il faut qu’on s’écoute, que je t’écoute et je suis persuadé qu’il y a une explication à tout. C’est tellement plus sympa de bien s’entendre tous ensemble…

Aussi je te propose, j’espère que tu accepteras que l’on déjeune ensemble pour s’écouter et enfin se respecter.

Qui sait voir un début d’amitié ? Dans l’attente de ta réponse, je t’embrasse.

Matthieu."

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Vos réactions

Portrait de stylo07
16/septembre/2025 - 10h20

Il est hautain fier prétentieux  agressif !!!  à sa place je me tairai  !!!!

 Pauvre mec , imbu de sa personne , bobo parisien  , 

Portrait de Touché01
16/septembre/2025 - 07h26

Ce ne sont pas ces esclandres artificielles qui donneront envie de regarder ce programme de + en + creux alors qu'il vient à peine de commencer !

Portrait de Capri
15/septembre/2025 - 18h14

Une fois, j'avais vu un reportage (il y a maintenant quelques années), à propos de M. Delormeau en tant que "patron" de sa propre boite de production audiovisuelle : très "carré", propos tout à fait classiques d'un chef d'entreprise... rien à voir avec le "personnage" qu'on lui demande de jouer dans cette émission "scénarisée"... et qu'il accepte de jouer contre rémunération et visibilité médiatique.

Ici, forcément, c'est encore un peu autre chose avec ce "dérapage" et cette nécessité d'excuses publiques. Mais disons que le "fruit" de tout ce ceci est dans le contexte initial.

Car je pense que si M. Delormeau et G. Verdez se parlaient "dans la réalité" (et pas dans la "télé"-réalité... qui n'a de "réalité" que le nom...), leur comportement serait normal, semblable à celui que j'avais vu dans le reportage évoqué précédemment (il me semble que c'était dans "50 minutes inside" mais je n'en suis pas certain).