
17h48: Gabriel Attal prend la parole et annonce que tout est mis en oeuvre pour retrouver les auteurs des menaces : "Ils pensent rester anonymes, mais nous les traquons. Je rappelle qu'ils risquent jusqu"à 3 ans de prison. On cherche à atteindre à la sérénité dans nos établissements scolaires"
"Une enquête est ouverte" après une cyberattaque et des menaces d’attentat contre une vingtaine de lycées, a annoncé @GabrielAttal pic.twitter.com/xQRmuEYE22
— LCI (@LCI) March 21, 2024
13h52: Le parquet de Paris ouvre une enquête après le piratage informatique visant "au moins une trentaine" de lycées d'Ile-de-France. Cette enquête est ouverte des chefs "d’accès et maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données, et "introduction frauduleuse de données".
Des menaces d’attaque terroriste contre plusieurs lycées d’Île-de-France
— Le JDD (@leJDD) March 21, 2024
Article JDD : https://t.co/nFeNO7jgE8 pic.twitter.com/z15pMR9z2Y
12h22: Une réunion interministérielle sur la sécurité des établissements scolaires doit se dérouler jeudi après-midi sous la houlette du Premier ministre Gabriel Attal, en présence de la ministre de l’Education nationale, Nicole Belloubet, et du ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti.
11h43: Les menaces d’attentat interviennent après une vague de fausses alertes à la bombe qui avaient touché plusieurs centaines d’établissements scolaires à l’automne, 800 selon des chiffres du gouvernement à la mi-novembre. Elles s’étaient multipliées après l’attaque jihadiste qui a coûté la vie à l’enseignant Dominique Bernard, à Arras, le 13 octobre.
11h11: Le point sur ce que l'on sait ce matin
Des messages de menaces d’attentat terroriste et une vidéo de décapitation ont été envoyés à plusieurs lycées de la région parisienne notamment via les espaces numériques de travail (ENT) de ces établissements, a-t-on appris jeudi de sources policières, du ministère de l’Education et de la région.
Selon une source policière dans les Yvelines, un message annonçant un attentat à l’explosif a été envoyé à au moins cinq lycées du département, mercredi soir et dans la nuit de mercredi à jeudi. « Le ou les auteurs pirataient une adresse mail d’un élève afin de diffuser le message et une vidéo de décapitation sur toutes les boîtes », a précisé cette source.
Le même message a été envoyé « dans quatre départements de la grande couronne », a ajouté une autre source policière. Contacté par l’AFP, le ministère de l’Education nationale évoque « une vingtaine d’établissements concernés en Ile-de-France », avec des « menaces et apologie/provocation au terrorisme », soit « plusieurs infractions graves ».
« Les services de police, immédiatement avisés, font le nécessaire pour s’assurer de la sécurité des élèves », assure le ministère, évoquant « plusieurs levées de doute » quant à ces menaces « entre (mercredi) soir et (jeudi) matin ».
La région Ile-de-France a annoncé avoir « déposé plainte ce matin au cyber-parquet de Paris suite à la création d’un site frauduleux visant à hacker (pirater, ndlr) l’ENT régional ». « Suite à ce hacking, des mails frauduleux ont été envoyés à des lycéens d’Île-de-France avec des menaces d’attentat islamiste », a-t-elle ajouté.
La présidente de la région, Valérie Pécresse (LR), a dénoncé « des faits d’une extrême gravité, qui appellent des sanctions exemplaires pour les auteurs de ces infractions ».
L’ENT d’Ile-de-France a été suspendu, et la région « met tout en oeuvre pour que la situation revienne à la normale ». Les menaces sont « passées par l’ENT, la boîte mail interne de l’école ou encore le site Pronote », a précisé le ministère de l’Education.
L’Education nationale « s’assure par ailleurs qu’il n’y a pas de compromission des réseaux du fait de l’envoi de ces messages parfois sur des réseaux internes ».
« Des services d’enquête spécialisés sont mobilisés pour identifier le ou les auteurs » et l’« on condamne évidemment ces menaces graves », ajoute le ministère, qui « propose un accompagnement psychologique à tous les enfants ou adultes qui ont visionné malgré eux les vidéos choquantes ».
10h43: La région Ile-de-France a annoncé avoir « déposé plainte ce matin au cyber-parquet de Paris suite à la création d’un site frauduleux visant à hacker (pirater, ndlr) l’ENT régional ». « Suite à ce hacking, des mails frauduleux ont été envoyés à des lycéens d’Île-de-France avec des menaces d’attentat islamiste », a-t-elle ajouté.
La présidente de la région, Valérie Pécresse (LR), a dénoncé « des faits d’une extrême gravité, qui appellent des sanctions exemplaires pour les auteurs de ces infractions ». L’ENT d’Ile-de-France a été suspendu, et la région « met tout en oeuvre pour que la situation revienne à la normale ».
10h22: Contacté par l’AFP, le ministère de l’Education nationale évoque « une vingtaine d’établissements concernés en Ile-de-France », avec des « menaces et apologie/provocation au terrorisme », soit « plusieurs infractions graves ». « Les services de police, immédiatement avisés, font le nécessaire pour s’assurer de la sécurité des élèves », assure le ministère, évoquant « plusieurs levées de doute » quant à ces menaces « entre (mercredi) soir et (jeudi) matin ».
07h34: L'inquiétude ce matin dans une quarantaine de lycées en France qui ont reçu des menaces d'attentats, qui devraient se dérouler aujourd'hui entre 11h et 15h. Les messages sont accompagnés d'images insoutenables de décapitation qui dateraient d'une dizaine d'années. Plusieurs élèves ont même décidé de ne pas aller en cours aujourd'hui pour ne pas prendre de risques. Ces messages ont été directement adressés aux élèves hier en fin après-midi via leur espace numérique de travail (ENT). Dans ce courrier, l’auteur, dit agir au nom de l’État islamique, selon le Figaro.
"Jeudi 21 mars, je ferais exploser l’établissement tout entier vers 11/15h et je décapiterais tous vos corps de kuffars pour servir Allah le tout-puissant qui règne sur le monde (sic)", peut-on lire dans le message adressé à chacun des lycées.
Dans ce message, il est notamment stipulé que du C-4 (un explosif, NDLR) "avait été mis partout" dans les locaux et les classes d’un lycée des Hauts-de-Seine. "J’espère que vos corps de kuffars vous exploser (sic) en 1000 morceaux, je raménerais mes chiens pour venir vous déchiqueter bande de mécréants", écrit encore l’auteur où les auteurs de la menace.
Une menace qui ne semble pas être sérieuse selon les premiers éléments de l'enquête, mais elle pose tout de même questions en raison des images envoyées et des détails donnés dans la lettre
En tout état de cause, la sécurité est renforcée dans ces établissements depuis ce matin, même si "ce type de menaces est fréquent, à chaque fois des vérifications sont réalisées".
Vos réactions
J'ai un doute sur le fait que cela vienne de musulmans.
donc si ce n'est pas musulmans cela voudrait d'ou
J'ai un doute sur le fait que cela vienne de musulmans.
C'est un fake, il n'y a pas assez de fautes d'orthographe
Je ne sais pas si c'est une "fake", mais en tout cas il ne fait pas la différence entre la conjugaison au futur et au conditionnel !
C'est sans doute la faute des Russes ou du changement climatique ! Donc Macron veut envoyer les Français à la guerre contre les Russes !! Personne pour arrêter cette folie ?
L'avenir de la France. Il faut vraiment en importer d'avantage, ...
il n'y a pas à dire c'est une belle religion
C'est un fake, il n'y a pas assez de fautes d'orthographe
oui mieux que les rédacteurs d'articles du site

C'est un fake, il n'y a pas assez de fautes d'orthographe
Quelle belle religion de paix et d'amour et quel joli dieu
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