
Mi-juin, Karine Esquivillon a été retrouvée morte en Vendée, dans un bois à 10 kilomètres de leur domicile, après les aveux de son mari, qui avait pourtant affirmé pendant plus de deux mois qu'elle avait disparu volontairement.
Selon Ouest-France, il été entendu ce vendredi par un juge d’instruction suite à la découverte de l'arme du crime. Les enquêteurs ont en effet mis la main sur le fusil de l'accusé, alors que l'homme avait évoqué un accident lors de ses aveux. Il avait expliqué que c'est en nettoyant une carabine 22 long rifle que le coup serait parti tout seul, alors qu'il ne le savait pas chargé, rappelle BFM TV.
Et de préciser qu'en juin, les gendarmes avaient trouvé deux chargeurs et un silencieux dans une rivière près du domicile familial.
Michel Pialle avait alors reconnu avoir démonté l'arme, et avoir jeté les morceaux dans deux endroits différents de ce cours d'eau. Ce vendredi, le juge souhaitait entendre une nouvelle fois l'accusé sur sa version des faits.
Vos réactions
Dire que les zemmouriens hurlaient au scandale car on m'était TROP de pression sur cet assassin...
Pauvre femme qui, j'ai toujours du mal à comprendre pourquoi "TUER" quand ça ne va pas dans une relation. Et les enfants qui restent... entre le 1er qui doit avoir une haine contre lui et ses propres enfants qui doivent VOIR leur père comme ça...
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