
Le chef du groupe paramilitaire Wagner, Evguéni Prigojine, est toujours visé par une enquête pénale pour sa rébellion avortée, malgré l'annonce par le Kremlin d'un accord prévoyant l'abandon des poursuites, ont rapporté lundi les agences de presse russes.
"L'affaire n'a pas été close, l'enquête se poursuit", a déclaré une source au sein du Parquet général russe, citée par les trois principales agences russes.
Le Kremlin avait affirmé samedi soir que M. Prigojine, visé par une enquête pour "appel à la mutinerie armée", pourrait partir au Bélarus sans être poursuivi, après la fin de sa rébellion de 24 heures
Vos réactions
C'est dommage qu'il ait laissé tomber son invasion.
Comment remettre de l’huile sur le feu, mensonge d’état, le retour de bâton risque d’être chaud….
Wagner va reprendre sa marche sur Moscou si les poursuites reprennent…
Dommage.
Ça aurait eu de la gueule la bataille de Moscou.
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