
18h16 : Ce que l'on sait ce soir dans ce dossier - Selon le parquet d'Epinal, les parents de l'enfant ont signalé sa disparition vers 15h10. Peu de temps après, un garçon de 15 ans a pris contact avec les policiers leur indiquant être en présence de la fillette. «Les gendarmes sollicités se transportaient au domicile du jeune homme.
Ils découvraient le corps sans vie de la fillette dans un sac plastique. Le mis en cause était aussitôt interpellé et placé en garde à vue du chef de meurtre sur un mineur de 15 ans», a fait savoir le parquet. D'après les premières informations, le suspect est connu de la police municipale et de la gendarmerie pour des faits apparentés à des atteintes sexuelles.
«Le casier judiciaire de ce mineur ne fait état d’aucune condamnation. Il est actuellement mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire, des chefs de séquestration sans libération volontaire, viol et agression sexuelle sur mineur de 15 ans, pour des faits commis en février 2022», a précisé le parquet d'Epinal.
L'adolescent de 15 ans avait alors été placé sous contrôle judiciaire en mars 2023 «avec un placement en centre éducatif fermé hors du département». Néanmoins, en février 2023, le placement a été levé. Le garçon est alors revenu au domicile familial «avec un suivi par la protection judiciaire de la jeunesse dans le cadre d’une mesure éducative judiciaire », a poursuivi le parquet indiquant qu’une «expertise psychiatrique précédemment ordonnée concluait à l'absence de troubles mentaux».
Selon Vosges Matin, le jeune homme aurait fait l'objet de signalements récemment en raison d'un comportement équivoque. Aussi, des voisins l'auraient vu effectuer des va-et-vient sur son vélo et «parler tout seul». Il aurait même proposé à des fillettes de l'accompagner dans son appartement pour leur donner un chat.
«Il n'y a que quelques semaines qu'il était réapparu sur le territoire de Rambervillers, ce qui inquiétait un petit peu la police municipale, qui était attentive», a raconté Jean-Pierre Michel, maire de la ville, dont les propos ont été relatés par l'AFP.
16h18: Une expertise psychiatrique précédemment ordonnée a conclu à l'absence de troubles mentaux chez le suspect, indique le parquet. "Le casier judiciaire de ce mineur ne fait état d’aucune condamnation", précise le procureur de la République dans son communiqué.
Le suspect "est actuellement mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire, des chefs de séquestration sans libération volontaire, viol et agression sexuelle sur mineur de 15 ans, pour des faits commis en février 2022", explique encore le parquet.
A ce titre, le suspect "a été placé sous contrôle judiciaire le 3 mars 2022 avec un placement en centre éducatif fermé hors du département." Placement levé en février 2023, "date à laquelle il était revenu au domicile familial avec un suivi par la protection judiciaire de la jeunesse", ajoute le parquet.
15h56: Le point sur ce que l'on sait:
La mère de la fillette de cinq ans retrouvée morte dans les Vosges a laissé éclater sa colère mercredi, au lendemain de l'arrestation d'un adolescent qui, selon des riverains, avait déjà été hospitalisé en psychiatrie.
"Je suis détruite", "c'est trop douloureux", a déclaré la mère de la victime, en larmes devant des journalistes sur le pas de sa maison de la petite ville de Rambervillers, où des bouquets de fleurs ont été déposés.
Le corps de l'enfant, déshabillé, a été découvert mardi après-midi dans un sac, à l'intérieur d'un appartement appartenant à un bailleur social, dans cette commune de 5.000 habitants.
Selon une source proche de l'enquête, un adolescent, âgé de 15 ou 16 ans d'après le maire de la ville, a été interpellé dans l'appartement, et placé en garde à vue. Une enquête pour meurtre a été ouverte par le parquet d'Epinal, selon Vosges Matin.
Dans la matinée, l'adolescent, dissimulé sous une couverture, a été brièvement ramené par les gendarmes dans l'appartement. Ils en sont repartis au bout de quelques minutes, les forces de l'ordre ne faisant aucun commentaire.
"Hier à 13h00, il était derrière la maison, il m'a demandé si j'avais besoin d'un coup de main, il était toujours volontaire", a témoigné auprès de l'AFP Sefa Sackan, 44 ans, voisin du suspect. "Je ne l'ai jamais vu avoir un comportement bizarre auprès de mes enfants".
Mais d'autres riverains ont au contraire décrit un jeune homme provocateur voire menaçant. L'un d'eux a ainsi rapporté une "altercation" qui s'était produite l'an dernier.
"Il avait dit à ma petite-fille de 11 ans +je vais te violer+", a raconté Mario, un brocanteur âgé de 55 ans, qui refuse de donner son nom de famille.
"On le voyait tout le temps traîner partout et insulter tout le monde. Il importunait tous les enfants. J'ai appris qu'il avait un logement ici, il vivait seul, sa mère lui louait un logement", a-t-il complété.
Selon plusieurs riverains, le jeune homme avait effectué des séjours dans les hôpitaux psychiatriques de Rouffach (Haut-Rhin) et Mirecourt (Vosges).
- "Connu de la police" -
"Pour quelle raison ils l'ont laissé sortir ?", s'est insurgée la mère de la victime, âgée de 34 ans.
"Celui qui a fait ça, je veux qu'il paye bien, parce que moi je paye avec toute ma vie", a ajouté cette femme aux cheveux noirs, portant un épais gilet de laine grise.
Elle a confirmé avoir alerté les forces de l'ordre mardi en début d'après-midi après avoir constaté la disparition de son enfant.
"Les agents de la police municipale sont intervenus dans un premier temps, ce sont eux qui ont découvert le corps, et puis les secours sont venus, ils ont essayé de faire des massages cardiaques, mais il n'y avait rien à faire, il était trop tard malheureusement", a raconté le maire, Jean-Pierre Michel.
Selon lui, l'adolescent était "connu de la police municipale et certainement de la gendarmerie, pour des faits apparentés à des atteintes sexuelles".
"Il aurait attiré des jeunes enfants pour avoir des gestes sexuels déplacés", a précisé le maire de la cité située à une trentaine de kilomètres au nord-est d'Epinal.
"Ce jeune homme avait été placé. Il n'y a que quelques semaines qu'il était réapparu sur le territoire de Rambervillers, ce qui inquiétait un petit peu la police municipale, qui était attentive", a déclaré M. Michel. "Tout le monde est retourné (...) Un enfant qui décède, si c'est accidentel, c'est dramatique, mais dans de telles conditions, c'est encore plus douloureux, c'est inexplicable".
De nombreux habitants se sont dit "choqués" du drame qui s'était joué dans la commune.
"Je n'ai pas dormi de la nuit, ça m'a traumatisée", a expliqué une voisine, Florence Idoux, 53 ans. "Je pense aux parents de la petite fille, les pauvres. Ça me fait de la peine".
Selon le parquet d'Epinal, le procureur de la République pourrait donner une conférence de presse jeudi.
13h48: Selon BFMTV, le jeune homme de 16 ans, placé en garde à vue hier, a déjà été impliqué dans des faits d'agression sexuelle, viol et violences commis récemment sur des mineurs.
En 2022, l'adolescent avait été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire, avec une obligation de soins. "Il avait notamment été placé au début de l'année 2022 dans un centre éducatif fermé pour une durée d'un an, soit la période maximale", expliquent nos confrères qui ajoutent que le 1er février dernier, il était sorti, sous contrôle judiciaire.
Concernant la psychologie du jeune homme, il a été noté, lors d'une expertise psychiatrique, que l'adolescent souffre d'une déficience mentale légère, d'un fonctionnement auto-centré ainsi qu’une immaturité psycho-affective.
11h24: Le point sur ce que l'on sait ce matin
"Je suis détruite", a déclaré mercredi matin la mère de la fillette de cinq ans dont le corps sans vie a été découvert la veille à Rambervillers (Vosges), alors qu'un adolescent a été placé en garde à vue. "C'est trop douloureux, ça passe pas", a déclaré cette femme aux cheveux noirs, parlant en larmes à des journalistes devant sa maison située dans une ville de 5.000 habitants.
Un adolescent, âgé de 15 ou 16 ans selon le maire de la ville, a été arrêté. D'après le quotidien local Vosges Matin, le jeune homme souffrait de troubles psychiatriques et était sorti "il y a quelques semaines" d'une structure spécialisée. "Ils disent qu'il y a deux semaines de ça, il était enfermé dans un hôpital psychiatrique. Pour quelle raison ils l'ont laissé sortir ?", s'est insurgée la mère de la victime.
"Je veux que la justice soit faite et qu'on ne laisse plus les malades dehors, parce qu'ils ne détruisent pas une seule vie, ils détruisent la vie de toute la famille", a ajouté cette femme d'origine roumaine. "Ils m'ont détruit ma vie à moi, tous mes souvenirs avec ma fille, tous mes projets, ils m'ont tout enlevé", a-t-elle ajouté.
"Ils ont enlevé ma petite princesse." "Je ne veux plus qu'on laisse des gens comme ça dehors." Elle a confirmé qu'elle avait alerté les forces de l'ordre mardi en début d'après-midi après avoir constaté la disparition de son enfant, qui jouait devant la maison. Selon une source proche de l'enquête, l'adolescent a été interpellé dans l'appartement où a été retrouvé le corps de la fillette.
10h28: Sur BFMTV, la mère de la fillette a témoigné après le drame. « Il n’y a rien qui puisse soulager la peine d’une maman. C’est très dur », a-t-elle déclaré, en larmes, en précisant « être détruite ». « Je veux juste que la justice soit faite, que la personne qui a fait ça (…) paie bien », a-t-elle poursuivi.
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"Je suis détruite": la mère de la fillette tuée dans les Vosges témoigne pic.twitter.com/Zv1I1nK8t3
— BFMTV (@BFMTV) April 26, 2023
09h11: Selon le maire, les parents ont dans un premier temps "demandé à des riverains s'ils n'avaient pas vu leur fille en la décrivant, en décrivant comment elle était habillée". "Un jeune homme a dit avoir vu une fille en donnant une direction totalement à l'opposé de là où elle a été retrouvée. C'était sans doute pour brouiller les pistes", selon M. Michel.
"Ce jeune homme a été interpellé (...) il est l'auteur présumé des faits", a-t-il ajouté. "Tout le monde est retourné (...) Un enfant qui décède, si c'est accidentel, c'est dramatique, mais dans de telles conditions, c'est encore plus douloureux, c'est inexplicable", a déclaré M. Michel. Selon la radio France Bleu, le procureur de la République d'Epinal donnera une conférence de presse ce matin.
"Ce qui rend un grand service à l'enquête, c'est la vidéo protection", s'est félicité le maire de Rambervillers. "On a entre 40 et 50 caméras déployées sur la commune, ce qui permet de certifier les faits. Les bandes ont été récupérées pour être analysées par les services compétents".
08h32: Le corps dénudé de la victime a été retrouvé, selon le quotidien local Le Républicain Lorrain, dans un sac poubelle dans un appartement situé rue du Parmoulin, à une centaine de mètres de son domicile, rue du Cheval Blanc. Mardi soir, un photographe de l'AFP a vu des gendarmes en uniforme et deux enquêteurs en combinaison blanche au pied de l'immeuble où le corps sans vie a été découvert.
Les forces de l'ordre bloquaient l'accès de la rue dans ce quartier ancien de la ville, déserte et plongée dans l'obscurité totale après 22h00. Selon une source proche de l'enquête, l'adolescent a été placé en garde à vue. Il a été interpellé dans l'appartement où a été retrouvé le corps de la fillette.
Une autre source proche de l'enquête a précisé qu'il est soupçonné d'avoir déplacé le cadavre. Selon le maire de Rambervillers, ce jeune homme, "âgé de 15 ou 16 ans", était "connu de la police municipale et certainement de la gendarmerie, pour des faits apparentés à des atteintes sexuelles".
"Il aurait attiré des jeunes enfants pour avoir des gestes sexuels déplacés", a précisé le maire de la petite ville située à une trentaine de kilomètres au nord-est d'Epinal.
"Ce jeune homme avait été placé. Il n'y a que quelques semaines qu'il était réapparu sur le territoire de Rambervillers, ce qui inquiétait un petit peu la police municipale, qui était attentive", a déclaré M. Michel, sans pouvoir dire si l'adolescent est ou non originaire de la petite ville. D'après Le Républicain Lorrain, le jeune homme souffre de troubles psychiatriques et était sorti "il y a quelques semaines" d'une institution spécialisée.
06h35: Une fillette de cinq ans a été retrouvée morte hier dans un sac dans un appartement de Rambervillers (Vosges) et un adolescent connu des services de police a été placé en garde à vue, un fait divers qui a semé la consternation dans la petite ville de 5.000 habitants. Les parents, une famille roumaine résidant sur place, avaient signalé en début d'après-midi la disparition de leur fille, a déclaré à l'AFP le maire de la commune de 5.000 habitants, Jean-Pierre Michel.
Selon lui, "la fillette a été retrouvée dans un appartement, sans vie". "Les agents de la police municipale sont intervenus dans un premier temps, ce sont eux qui ont découvert le corps, et puis les secours sont venus, ils ont essayé de faire des massages cardiaques, mais il n'y avait rien à faire, il était trop tard malheureusement", a-t-il raconté.
Le corps dénudé de la victime a été retrouvé, selon le quotidien local Le Républicain Lorrain, dans un sac poubelle dans un appartement situé rue du Parmoulin, à une centaine de mètres de son domicile, rue du Cheval Blanc. Mardi soir, un photographe de l'AFP a vu des gendarmes en uniforme et deux enquêteurs en combinaison blanche au pied de l'immeuble où le corps sans vie a été découvert.
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Vos réactions
vous pensez que ce jeune , sil traverse la rue il va trouver un job ??
Il en a déjà un : tueur (et violeur?) de gamine...
Malheureusement la justice risque de le reconnaître irresponsable vu son état mental
A partir de 13 ans vous pouvez aller dans une prison pour mineurs (EPM) et c'est certainement ce qui va se passer car c'est un meurtre.
Vous oubliez une chose c'est que ce mineur n'aurait pas encore 16 ans à quelques semaines près. La peine ne pourra pas aller au delà de 30 ans maximum et elle sera divisée par 2. Si tel est le cas il ne sera pas jugé par une cours d'assise mais pas un tribunal pour enfant.
Lorsque les faits reprochés ont été commis quand le mineur avait moins de 16 ans, il ne peut être condamné qu'à la moitié de la peine maximale prévue par le Code Pénal pour un majeur qui aurait commis des faits identiques : c'est ce qu'on appelle "l'excuse de minorité".
Il faudrait tout simplement le mettre hors circuit définitivement en prison. Mais là , la loi l'interdit vu son âge et en cas de durcissement des sanctions faudrait s'attendre à une levée de bouclier de ceux qui ne veulent pas admettre que des mineurs puissent être irrécupérables.
A partir de 13 ans vous pouvez aller dans une prison pour mineurs (EPM) et c'est certainement ce qui va se passer car c'est un meurtre.
Vous avez , hélas, raison ...
Pas encore jugé/condamné pour des faits antérieurs ... donc , pas de casier ...
En raison de sa minorité, on l'aura probablement envoyé en hôpital psychiatrique et (encore) hélas ... relâché ...
Ce soir , je pense à cette petite fille dont le calvaire aurait (peut-être) pu être évité ...
Effectivement. A la sortie de son placement, on peut quand même s'interroger sur la liberté de circuler qu'avait ce jeune après les faits extrêmement graves qu'il avait commis. Même la police municipale se disait inquiète.
Mais comment déjà en conclure qu'ils soient irrécupérables ?
Je pars du principe qu'une personne qui tue quelqu'un d'autre "gratuitement" une fois, est irrécupérable. C'est avec votre genre de réflexion que la récidive pullule.
Il faudrait tout simplement le mettre hors circuit définitivement en prison. Mais là , la loi l'interdit vu son âge et en cas de durcissement des sanctions faudrait s'attendre à une levée de bouclier de ceux qui ne veulent pas admettre que des mineurs puissent être irrécupérables.
Mais comment déjà en conclure qu'ils soient irrécupérables ?
Ce mineur a été condamné pour viol,...
Il n'a jamais été condamné mais était mis en examen pour des faits similaires. Et à peine sorti de son placement, il réitère... Bref, à 15 ans il est déjà doté d'un sacré palmarès ! Que peut-on faire d'un tel individu ?
Il faudrait tout simplement le mettre hors circuit définitivement en prison. Mais là , la loi l'interdit vu son âge et en cas de durcissement des sanctions faudrait s'attendre à une levée de bouclier de ceux qui ne veulent pas admettre que des mineurs puissent être irrécupérables.
Ce mineur a été condamné pour viol,...
Il n'a jamais été condamné mais était mis en examen pour des faits similaires. Et à peine sorti de son placement, il réitère... Bref, à 15 ans il est déjà doté d'un sacré palmarès ! Que peut-on faire d'un tel individu ?
(Désolée, doublon)
Ce mineur a été condamné pour viol,...
Il n'a jamais été condamné mais était mis en examen pour des faits similaires. Et à peine sorti de son placement, il réitère... Bref, à 15 ans il est déjà doté d'un sacré palmarès ! Que peut-on faire d'un tel individu ?
Vous avez , hélas, raison ...
Pas encore jugé/condamné pour des faits antérieurs ... donc , pas de casier ...
En raison de sa minorité, on l'aura probablement envoyé en hôpital psychiatrique et (encore) hélas ... relâché ...
Ce soir , je pense à cette petite fille dont le calvaire aurait (peut-être) pu être évité ...
En fait j'ai tenté de vous démontrer que ce n'était pas les parents qui auraient dû "savoir" car si on aborde le problème comme ceci nous aurons encore et encore des cas similaires.
Ce mineur a été condamné pour viol, il a été en institution fermée pendant 1 an (le maximum possible à son âge) il était suivi et surveillé depuis sa sortie. Donc s'il n'y a pas eut d'impair au niveau procédure et applications des peines, c'est que l'arsenal n'est plus adapté au cas. C'est donc le système à revoir, mais en France la moitié de la population cri dès qu'on ose vouloir être plus ferme avec des mineurs....
Cela me rappelle le cas du Chambon sur Lignon concernant la jeune Agnès Marin en 2011.
Ce mineur a été condamné pour viol,...
Il n'a jamais été condamné mais était mis en examen pour des faits similaires. Et à peine sorti de son placement, il réitère... Bref, à 15 ans il est déjà doté d'un sacré palmarès ! Que peut-on faire d'un tel individu ?
15 ans déjà condamné avec un comportement plus que douteux ils n'ont rien vu ! Merci pour le compliment mais à intelligent , idiot et demi !
En fait j'ai tenté de vous démontrer que ce n'était pas les parents qui auraient dû "savoir" car si on aborde le problème comme ceci nous aurons encore et encore des cas similaires.
Ce mineur a été condamné pour viol, il a été en institution fermée pendant 1 an (le maximum possible à son âge) il était suivi et surveillé depuis sa sortie. Donc s'il n'y a pas eut d'impair au niveau procédure et applications des peines, c'est que l'arsenal n'est plus adapté au cas. C'est donc le système à revoir, mais en France la moitié de la population cri dès qu'on ose vouloir être plus ferme avec des mineurs....
Cela me rappelle le cas du Chambon sur Lignon concernant la jeune Agnès Marin en 2011.
Ils ne sont pas plus devins que vous. Sinon il n'y aurait jamais eut de criminel si tous les parents avait pu savoir avant. C'est comme pour les idiots si les parents avaient su avant...
15 ans déjà condamné avec un comportement plus que douteux ils n'ont rien vu ! Merci pour le compliment mais à intelligent , idiot et demi !
Et chez lui ses parents ils n'étaient pas au courant qu'il était dangereux ?
Ils ne sont pas plus devins que vous. Sinon il n'y aurait jamais eut de criminel si tous les parents avait pu savoir avant. C'est comme pour les idiots si les parents avaient su avant...
Je n'ai pas lu les mêmes infos que vous. Extrait de Vosges Matin ; D'après son voisinage, cité par nos confrères, le jeune homme souffrirait de troubles psychiatriques. Vosges Matin ajoute que ces troubles ont nécessité son placement dans "une structure spécialisée" dont il serait récemment sorti.
Il est donc retourné habiter chez lui.
Et chez lui ses parents ils n'étaient pas au courant qu'il était dangereux ?
Elle ne pleure même pas, on parie combien qu'elle est impliquée ?
On n'a pas tous la même perception de la douleur, certains pleurent d'autres non, mais ils ont mal tout autant.
Dramatique mais évitable...
Qui a laissé sortir cet adolescent et sous quels protocoles/conditions?
Que faisait une fillette de 5 ans (!) sans surveillance dans la rue?
Il sortait d'un centre d’accueil mais depuis le jeune n'allait pas à l'école ? il vivait où ? famille ? et les services sociaux la dedans ?
Je n'ai pas lu les mêmes infos que vous. Extrait de Vosges Matin ; D'après son voisinage, cité par nos confrères, le jeune homme souffrirait de troubles psychiatriques. Vosges Matin ajoute que ces troubles ont nécessité son placement dans "une structure spécialisée" dont il serait récemment sorti.
Il est donc retourné habiter chez lui.
Il sortait d'un centre d’accueil mais depuis le jeune n'allait pas à l'école ? il vivait où ? famille ? et les services sociaux la dedans ?
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