Ce matin, Marine Chiaberto, candidate du parti Reconquête à Grenoble, était l'invitée de Jean-Marc Morandini dans "Morandini Live" sur CNews. Elle affirme avoir été menacée par des milices d'extrême-gauche parce qu'elle s'est opposée au burkini.
"En tant que candidate, j'ai souhaité m'exprimer devant la piscine grenobloise qui se trouve dans ma circonscription au nom du parti Reconquête! et des idées véhiculées par Eric Zemmour et que je porte en Isère. Malheureusement, je n'ai pas pu m'exprimer. La démocratie aujourd'hui en 2022 n'existe plus à Grenoble", a-t-il débuté en exclusivité en précisant "[qu']une candidate investie par un parti ne peut plus s'exprimer librement sur la voie publique".
Et d'ajouter : "Depuis cet événement, je ne peux plus me déplacer seule parce que j'ai été menacée. Je ne suis pas la seule : mes militants aussi. J'ai été protégée, mis au abri rapidement dès qu'on a compris qu'on était cerné par des antifas. Mes militants ont été menacés par des individus vêtus de noir et portant des barres de fer. Depuis, j'ai la sécurité de mon parti qui est bien organisée pour me protéger. Je n'utilise plus mon véhicule".
A la question de savoir si elle connait les personnes qui l'ont agressée, Marine Chiaberto répond : "Grenoble est une ville qui s'est extrême gauchisée ces derniers temps. Nos militants ont déjà été confrontés aux antifas dans les rues de Grenoble. Nos militants les identifient. On sait de qui il s'agit". Jeanmarcmorandini.com vous propose de (re)découvrir cette interview réalisée ce matin dans "Morandini Live" sur CNews (voir vidéo ci-dessus).
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