02/02/2021 20:41

Coronavirus - En France, "tous les adultes qui le souhaitent" pourront être vaccinés "d'ici la fin de l'été" , annonce Emmanuel Macron par surprise ce soir au 20h de TF1

20h39: Emmanuel Macron s'exprime dans le 20 heures de TF1. "Ce qu'il faut réussir à mobiliser, ce sont tous les laboratoires qui permettent de produire les vaccins pour le plus vite possible acquérir le maximum de doses", déclare le chef de l'Etat. Et d'ajouter: "Nous avons sécurisé au niveau européen environ 2,3 milliards de vaccins. Nous espérons encore plus, si on arrive à accélérer et homologuer de nouveaux vaccins". "Pour tous les adultes qui le souhaiteront, nous serons en mesure de leur proposer un vaccin avant la fin de l'été" en France. Il faut organiser plus vite, plus fort la production de ces nouveaux vaccins et permettre une production mondiale, pour fournir les citoyens des pays les plus pauvres".

Et d'évoquer ses objectifs : "tenir, protéger les plus faibles, protéger notre système de santé et pouvoir protéger notre jeunesse, qui a besoin d'étudier, d'aller à l'école (...)". "Chaque jour, nous vérifions les chiffres. Mais j'ai confiance dans notre capacité à nous mobiliser", 

17h30: Le vaccin développé par AstraZeneca et désormais autorisé dans l'Union européenne n'est pas recommandé pour les personnes âgées de plus de 65 ans, indique la Haute autorité de santé. Et d'ajouter qu'il pourra être administré par les pharmaciens et les sage-femmes. Le vaccin britannique est donc recommandé pour les soignants et les personnes entre 50 et 65 ans, en commençant par celles ayant des comorbidités. Ces dernières sont invitées à consulter leur médecin traitant dans le cadre de la démarche vaccinale. Une validation qui était attendue, malgré les controverses notamment sur l'efficacité de ce médicament chez les personnes plus âgées. Interrogé ce mardi matin, le Pr Alain Fischer, le "Monsieur Vaccin" du gouvernement, a déclaré qu'il prévoyait les premières injections avec ce vaccin autour de la mi-février. Il appartient désormais au gouvernement de trancher, et de suivre tout ou partie des recommandations de la HAS. Selon une source au cabinet d'Alain Fischer, contactée par BFMTV, cette décision interviendra avant la fin de la semaine.

17h01:  Le vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 ne sera probablement pas réservé en priorité aux étudiants, a confirmé mardi Jean Castex en répondant ainsi défavorablement à l'appel du député UDI Jean-Christophe Lagarde.

Rappelant que "la stratégie vaccinale consiste à vacciner en priorité (...) les publics vulnérables" comme les personnes âgées de plus de 75 ans, et "les publics exposés", au premier rang desquels les soignants, le Premier ministre a estimé qu'il y avait "peu de probabilité qu'ils (les étudiants, ndlr) figurent parmi les publics les plus vulnérables". "Ce n'est pas celles et ceux qui développent les formes les plus graves de la maladie", a-t-il encore souligné, fermant ainsi la porte à leur réserver des premières doses de ce vaccin. La France est dans l'attente mardi d'une décision de la Haute autorité de Santé, qui doit déterminer si le vaccin AstraZeneca peut être injecté à des personnes âgées.

Dans plusieurs pays, comme l'Allemagne, l'Autriche ou l'Italie, les autorités sanitaires ont émis des réserves plus ou moins fortes sur son efficacité pour les personnes âgées. C'est à ce titre que le député UDI Jean-Christophe Lagarde a donc réitéré sa proposition de l'orienter d'abord vers les jeunes, mardi lors de la séance de questions au gouvernement. "Il y a des priorités sanitaires dans la désespérance que vivent les étudiants", a insisté M. Lagarde. "Cette génération est la plus confinée de France. Combien de temps pensez-vous qu'ils le supporteront ?", a-t-il encore lancé, alors que M. Castex a assuré que "le gouvernement accorde un soin tout à fait particulier aux étudiants".

15h39: Le vaccin Spoutnik V est efficace à 91,6 % contre les formes symptomatiques du Covid-19, selon des résultats publiés dans la revue médicale The Lancet et validés par des experts indépendants. "Les résultats rapportés sont clairs et le principe scientifique de cette vaccination est démontré, ce qui veut dire qu'un vaccin supplémentaire peut désormais rejoindre le combat pour réduire l'incidence du Covid-19", estiment deux spécialistes britanniques, les professeurs Ian Jones et Polly Roy, dans un commentaire joint à l'étude du Lancet.

15h39: Interrogé par l'opposition sur les objectifs de vaccination lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le ministre de la Santé Olivier Véran a assuré: "Nous avions prévu entre 2,5 et 4 millions de vaccinés fin février, les objectifs seront tenus".

14h09: L'Île-de-France pourra finalement poursuivre sa campagne de vaccination contre le Covid-19 "sans report de rendez-vous de première injection", a annoncé lundi l'agence régionale de santé (ARS) de la région, qui a indiqué que de nouveaux créneaux seraient ouverts mardi. "L'agence régionale de santé Île-de-France confirme la trajectoire de la campagne de vaccination dans les semaines à venir, qui conduira à assurer en février plus de 100.000 primo-injections et plus de 200.000 deuxièmes injections", écrit-elle dans un communiqué faisant état "de la mobilisation de 20.000 doses de vaccin Moderna". L'ARS avait annoncé jeudi prévoir "le décalage de 15.000 à 20.000 rendez-vous" fixés la semaine du 8 février pour permettre d'"assurer l'intégralité" des quelque 200.000 deuxièmes injections attendues en février, tout en maintenant "un rythme soutenu" pour les premières doses, avec 127.000 inoculations. Les Hauts-de-France et la Bourgogne-Franche-Comté avaient également annoncé des reports. En outre, pour la semaine du 15 février, "de nouveaux créneaux de vaccination seront ouverts sur les plateformes agréées (Doctolib, KelDoc, Maiia), dans la journée du 2 février", indique l'ARS, qui compte assurer "autour de 10.000 premières injections" cette semaine-là. La semaine suivante, "une partie de ces capacités de première injection seront utilisées pour engager des opérations +d'aller vers+ en direction des publics prioritaires qui ne pourraient se rendre dans des centres ambulatoires", ajoute l'agence.

11h51: Le gouvernement japonais a prolongé l’état d’urgence lié au coronavirus à Tokyo et dans d’autres départements du pays, à moins de six mois des Jeux olympiques, reportés en raison de la pandémie. Cette prolongation d’un mois couvrira 10 des 11 départements actuellement concernés par cette mesure, a déclaré le Premier ministre Yoshihide Suga lors d’une réunion avec le groupe de travail chargé d’orienter la réponse du gouvernement face à la pandémie.

L’état d’urgence, qui était en vigueur depuis début janvier, a été levé dans un département, mais « nous avons décidé de (le) prolonger jusqu’au 7 mars » dans les dix autres, a-t-il dit. M. Suga a promis de lever « progressivement » l’état d’urgence dans les départements où la situation s’améliore, « sans attendre » le 7 mars. Il s’est félicité de « la baisse » du nombre de personnes atteintes du coronavirus au Japon grâce à « la réduction des heures d’ouverture des restaurants ».

10h46: Les premiers résultats en région parisienne de l’enquête destinée à évaluer la présence des variants plus contagieux du coronavirus en France « ne sont pas bons », a indiqué mardi Rémi Salomon, président de la commission médicale de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), évoquant « une croissance exponentielle ».

« On était plutôt aux alentours de 6% le 7 janvier et on est monté à 15/20% la semaine dernière », a détaillé ce médecin sur Franceinfo.

« C’est une croissance exponentielle », a-t-il ajouté. « Il va devenir dominant, on le sait, dans les 15 jours, les 4 semaines qui viennent ». « Et comme il est 40 à 70% plus contagieux, il va y avoir une accélération de l’épidémie si on ne fait significativement rien de plus. C’est ça qui nous fait peur ».

« Compte tenu de ce qui se passe actuellement dans les hôpitaux, je pense qu’il serait raisonnable de freiner fort, c’est-à-dire de fermer les écoles pendant peut-être 3 semaines, un mois et ensuite de les rouvrir », a-t-il indiqué, prônant également « que du télétravail ».

La deuxième enquête destinée à évaluer la présence des variants plus contagieux du coronavirus en France devrait donner des résultats préliminaires en début de semaine.

Cette « enquête flash » consiste à réanalyser, puis à séquencer, un large échantillon des tests PCR positifs effectués mercredi dernier, pour déterminer s’il s’agit de la souche habituelle du Sars-CoV-2 ou de l’un des variants préoccupants qui ont émergé ces dernières semaines au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil.

La première étude de ce type, qui ne portait que sur les virus de la souche britannique, « a permis d’estimer que » ces derniers « étaient responsables de 3,3% des cas de Covid-19 diagnostiqués par RT-PCR en France au moment de l’enquête », les 7 et 8 janvier, « avec une présence hétérogène sur le territoire national pouvant varier de 0,2% en Bourgogne-Franche-Comté à 6,9% en Île-de-France », avait détaillé Santé publique France.

Se basant sur des résultats préliminaires de cette deuxième enquête flash, le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait indiqué dimanche dans le JDD que la circulation du variant anglais s’intensifiait « de 50 % chaque semaine mais de manière moins intense qu’à l’étranger où des hausses de 70 à 100 % ont été relevées ».

Le Pr Bruno Lina, en charge de cette cartographie, avait également parlé dimanche sur BFMTV d’une progression « pas aussi importante que ce qu’on a pu observer dans d’autres pays européens », appelant à rester prudent avant que des chiffres plus précis soient disponibles.

10h29: Plus de 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 ont été administrées dans le monde, moins de deux mois après le lancement début décembre des premières campagnes de vaccination de masse, selon un bilan de l'AFP. Mardi à 8H00 GMT, au moins 101.317.005 injections avaient été réalisées dans au moins 77 pays ou territoires, selon un comptage réalisé par l'AFP à partir de sources officielles.

09h42: Les ambassadeurs des pays de l'UE ont approuvé de nouvelles restrictions pour les voyageurs venant de pays extérieurs à l'Union, notamment la présentation d'un test PCR négatif, pour lutter contre la propagation des nouveaux variants, selon des sources européennes.

L'UE a fermé ses frontières extérieures en mars 2020 et établi à partir de juin une liste restreinte, révisée régulièrement, de pays tiers dont les résidents voyageant pour des motifs "non essentiels" peuvent entrer dans l'Union. Sont également autorisés à entrer dans l'UE les ressortissants ou résidents de pays de l'Union, et les personnes voyageant pour des motifs "essentiels" (travailleurs du secteur de la santé, travailleurs frontaliers, etc). Certains pays, comme la France depuis dimanche, ont fermé leurs frontières - sauf motif impérieux - pour les voyageurs en provenance ou à destination de pays hors UE.

L'accord trouvé lundi par les ambassadeurs doit être adopté par les Etats membres mardi. Il prévoit de nouveaux critères pour autoriser les voyages non essentiels vers l'Union: les pays tiers d'origine doivent avoir un taux d'incidence inférieur ou égal à 25 nouveaux cas pour 100.000 habitants sur 14 jours, un taux de test supérieur à 300, et un taux de positivité inférieur ou égal à 4%, selon un document vu par l'AFP. La présence de variants du coronavirus dans ces pays doit aussi être pris en compte.

Un test PCR négatif de moins de 72 heures doit être réclamé pour les voyageurs, même ceux se déplaçant pour des raisons essentielles, à l'exception des travailleurs frontaliers ou des transports. Les ressortissants et résidents de l'UE peuvent effectuer ce test à l'arrivée. Les Etats membres peuvent exiger en outre une quarantaine allant jusqu'à 14 jours après l'arrivée, ainsi qu'un test supplémentaire. Ces mesures sont requises quand le pays tiers est touché par un variant. Les voyages "non essentiels" depuis l'UE vers des pays autres que ceux qui sont sur la liste doivent être "fermement déconseillés".

Actuellement les pays de cette liste sont l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Rwanda, Singapour, la Corée du Sud, la Thaïlande, et la Chine sous réserve de réciprocité. La nouvelle liste doit être publiée la semaine prochaine, en tenant compte des nouveaux critères.

La recommandation concerne les pays de l'UE, sauf l'Irlande et le Danemark, ainsi que l'Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse, qui font partie de l'espace Schengen. Une telle recommandation n'a pas de caractère contraignant juridiquement, mais les pays européens sont convenus de se coordonner sur leurs frontières extérieures en raison du principe de libre circulation dans l'espace Schengen, sans frontières entre les pays membres. Dans l'UE, des mesures ont également été décidées pour restreindre les déplacements non essentiels, avec une nouvelle cartographie pour les zones les plus à risque, pour lesquelles les voyageurs sont soumis à des tests et des quarantaines.

07h15: La Haute autorité de santé (HAS) doit donner aujourd'hui à 17h15 son feu vert au vaccin d'AstraZeneca, dont les premières doses doivent arriver dès la fin de la semaine ou début de semaine prochaine en France. Lundi soir, le gouvernement a annoncé que les remontées mécaniques resteraient fermées au mois de février. Suivez toute l’actualité de l’évolution de la crise sanitaire du coronavirus.

La Commission européenne a indiqué lundi prendre ses distances avec le laboratoire AstraZeneca dans le cadre de sa stratégie vaccinale anti-Covid au premier trimestre, après les importants retards de livraison de l'entreprise anglo-suédoise. AstraZeneca, dont le produit "allait être le vaccin de masse pour le premier trimestre" 2021, n'a pu garantir que 25% des plus de 100 millions de doses promises, ce qui représente "un vrai problème" pour les Vingt-Sept, a déclaré la directrice générale de la Santé au sein de la Commission, Sandra Gallina, devant des députés européens. La Commission européenne se tourne désormais vers les vaccins fabriqués par les laboratoires BioNTech/Pfizer et Johnson & Johnson, a-t-elle souligné.

06h43: Plus de 6.600 personnes ont été interpellées au Pérou pour violation du confinement obligatoire entré en vigueur dimanche pour lutter contre la deuxième vague de Covid-19, a annoncé lundi le gouvernement. "Dans tout le pays, 6.645 personnes ont été interpellées le 31 janvier et aujourd'hui, et des amendes ont été infligées à 5.757 personnes qui avaient commis des infractions" au confinement, a déclaré le ministre de la Culture, Alejandro Neyra, lors d'une conférence de presse.

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Vos réactions

Portrait de LesRipoublicains
3/février/2021 - 21h36

Oui bien sûr, c'est comme la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu ...

Tout comme il avait prévu de faire reconstruire la flèche de Notre Dame en 3 ans !

A propos, on est seulement en train de sélectionner les 700 chênes ... On doit attendre 1 an et demi de séchage avant de pouvoir les utiliser ... une fois qu'ils auront été abattus. Et on est à 21 mois après la chute de la flèche. Moralité, la messe est dite, on est déjà dans les choux rien qu'avec les chênes qui ne seront pas prêts pour le délai qu'il avait fixé. Alors ne parlons pas de la mise en oeuvre en scierie, l'acheminement, l'ajustement et le montage.

Si on fait une simple projection de ses capacités de prévisions pour les vaccins que pour Notre Dame, en gardant le même ratio de réussite, on peut alors affirmer que les français qui souhaitent se faire vacciner avant la fin de l'été seront morts depuis longtemps quand on les appellera en 2023.

Portrait de mikapat
3/février/2021 - 13h12

Ben moi je ne voudrais pas être à leur place. Difficile de contenter tout le monde : ils auraient  reconfiner nous serions fous, ils ne le font pas,  et personne ne  comprend. Très dur de nous satisfaire en touchant le moins possible à l’économie 

Portrait de cbor33500
3/février/2021 - 06h37

Communication curieuse: il n'y a que les téléspectateurs de la une qui ont droit à l'info présidentielle...

Portrait de LesRipoublicains
2/février/2021 - 22h12
croco a écrit :

@LesRipoublicains vous êtes hors sujet. Le vaccin Astrazeneca n'est pas encore autorisé pour les plus de 65 ans car les essaies ne sont pas encore terminés pour cette catégorie d'âge. Les résultats sont attendus dans quelques semaines. Et par ailleurs ça n'empêche pas de l'administrer aux autres catégories d'âge. Il faut savoir que la moitié des patients en reanimation ont moins de 60 ans.

Tiens tiens, un vaccin distribué sans avoir fait les tests qui s'imposent et sans en avoir évalué l'impact sur les patients. On ne doit pas vivre sur la même planète.

Bref, pas assez de testeurs ... On nous prend vraiment pour des perdreaux de l'année.

Allez réviser vos fiches LREM, vous en aurez besoin pour le retour d'expérience du CHU de Toulouse à propos de l'avancée du couvre feu à 18h00 et ses effets contre productifs. C'est édifiant.

Probablement qu'il va y avoir une remontée de bretelle de l'ARS locale envers le CHU qui ne relaye pas correctement la bonne parole édictée par MM. Macron - Castex - Véran - Salomon.

En attendant, Lemoyne nous incite à partir en vacances interrégionales en Février.

Moralité, tout va bien on dirait. Alors qu'il y a 3 jours, on en était presque à annoncer un reconfinement. Je soupçonne Lemoyne d'inciter au brassage des populations sur la période des vacances scolaires afin de bien propager le virus, et pouvoir mettre la population sous cloche à la rentrée, avec le bon prétexte de l'explosion virale.

Portrait de LesRipoublicains
2/février/2021 - 21h01
Harriet a écrit :

C'est tout bête .... si ce vaccin n'est pas recommandé aux + de 65 ans ... c'est tout simplement parce  qu'il n'a pas été suffisamment testé sur cette tranche d'âge ... donc question de prudence sanitaire ...  smiley

Les vaccins ont été testés massivement sur les populations de plus de 65 ans, c'était un des critères de sélection pour être testeur, même si bien sûr tout le monde pouvait postuler.

C'est bien compréhensible dans la mesure où ce sont ces populations qui ont été identifiées comme étant les plus à risque.

Donc vous balancez une affirmation aussi douteuse que l'est ce vaccin "Anglo-Zaxon", déjà déclassé en Allemagne il y a 5 jours avec les mêmes recommandations que les autorités sanitaires françaises.

Portrait de LesRipoublicains
2/février/2021 - 20h51

Chouette, le vaccin A-Z va arriver en France.

Les allemands n'en voulaient pas pour leurs vieux, et ils l'ont fait savoir il y a quelques jours.

Nous, on fait la même analyse 5 jours plus tard. Il suffisait de copier ce qu'ont dit les allemands.

Et pour nous aussi, il ne faut pas être trop âgé pour l'administrer.

Finalement, à quoi sert un vaccin si on sait d'avance soit :

> au mieux, qu'il est inefficace.

> au pire, qu'il tue plus qu'il ne protège.

Pour le premier cas, j'ai une solution. Car s'il est inefficace, on peut alors s'en servir comme placebo pour le prix d'un vrai vaccin. Et sachant que les moins de 55 ans ont peu de chance de subir une forme grave, en leur administrant, globalement, c'est comme si on mettait un cataplasme sur une jambe de bois.

Moralité, ils feraient mieux de réserver le pognon pour acheter des vaccins utiles, et pas pour gonfler les statistiques d'acquisition de vaccins avec des lots plus que douteux (en finance, on dirait "toxique" - comme pour les créances ou emprunts).

Portrait de hummerH2
2/février/2021 - 19h21
Harriet a écrit :

Euh ... sauf erreur , ce vaccin est Britannique voire suédois (si l'on tient compte de la fusion des groupes pharmaceutiques) ...  smiley

Non, non !

Notre ami parle du vaccin 100% russe, le Spoutnik V ,dont le Lancet viens de confirmer aujourd'hui qu'il est efficace à 91,6 %. smiley

C'est le Astra/Zeneca qui est anglo/Suedois. smiley

Portrait de Nerfertiti
2/février/2021 - 16h18

Les chiffres ne sont pas bons dit il

On y va tout droit au confinement lentement mais sûrement