
"Ce n’était pas juste un prof! Il s’appelait Samuel Paty, il avait 47 ans, assassiné sur le sol français ce 16 octobre 2020, parce qu’il enseignait, parce qu’il apprenait à nos enfants la liberté d’expression, la liberté de croire et de ne pas croire.
Au revoir professeur. Voici un des nombreux messages postés sur les réseaux sociaux par des personnalités et des anonymes qui veulent rendre hommage, ce matin à ce professeur. Tous veulent que son nom et son visage soient connus pour ne pas oublier. Une telle émotion que son nom est ce matin en tête des TT ce matin sur Twitter..
Le drame s'est joué autour de 17h. Un homme a été retrouvé décapité en pleine rue à Conflans Sainte-Honorine, une commune des Yvelines. Plus tôt dans la journée, les policiers de la Bac Conflans Sainte-Honorine avaient été appelés pour un individu suspect rôdant autour d'un établissement scolaire.
A l'issue d'une course-poursuite, le suspect menaçant et muni d'une arme blanche, a été abattu par la police, dans la ville voisine d'Eragny (Val-d'Oise).Emmanuel Macron a qualifié vendredi la décapitation d'un enseignant d'«attentat terroriste islamiste» et assuré les enseignants que la nation ferait bloc contre «l'obscurantisme» pour les «protéger et les défendre», sur les lieux de l'attaque à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). «Tous et toutes nous ferons bloc. Ils ne passeront pas. L'obscurantisme et la violence qui l'accompagne ne gagneront pas. Ils ne nous diviseront pas. C'est ce qu'ils cherchent et nous devons nous tenir tous ensemble», a ajouté le chef de l'Etat, en affirmant que «la nation toute entière sera là à leurs côtés, aujourd'hui et demain pour les protéger et les défendre».
— Lucas olivier clauzel (@lucas_clauzel) October 17, 2020
Reposez en paix #SamuelPaty pic.twitter.com/i33sQBmFkX
Le visage de #SamuelPaty décapité par le terroriste islamique Abdoulakh Anzorov pour avoir osé montrer une caricature de Mahomet. #Eragny pic.twitter.com/XN4TkGG3kw
— Damien Rieu (@DamienRieu) October 17, 2020
Très attristé d'apprendre l'assassinat d'un collègue d'histoire-géographie-EMC. Sous le choc aussi en découvrant les dessins de ses élèves réalisés en avril 2019 autour d'une exposition qu'il avait créée sur les valeurs de Liberté, d'égalité et de fraternité. #SamuelPaty pic.twitter.com/ru0qBmf0qB
— Arnaud LEONARD (@Leonard_Bangkok) October 17, 2020
Le documentaire à montrer dans toutes les classes au premier jour de la reprise. "C'est dur d'être aimé par des cons" de Daniel Leconte. En hommage à #SamuelPaty. Pour transmettre cette pédagogie et déjouer les malentendus qui tuent. @jmblanquer https://t.co/OsRm3nh0Qg
— Caroline Fourest (@CarolineFourest) October 17, 2020
Il s’appelait #SamuelPaty
— 🇫🇷🇬🇧Louis - Eva & Hector (@Eva10_Hector7) October 17, 2020
il avait 47 ans et était professeur d'histoire et géographie.
Il enseignait les valeurs de notre République et la liberté d'expression .
Ne pas l'oublier ! pic.twitter.com/MJhd025KWC
Le professeur decapité avait un nom et un visage. Samuel Paty. 47 ans. #Conflans #Laicite #Libertedexpression pic.twitter.com/ddxomHkkZY
— Antoine Gavory (@Antoine_Gavory) October 16, 2020
#SamuelPaty et les enseignants #histoire sont des piliers de notre #république laïque. C’est toute la communauté éducative qui a été sauvagement attaquée hier. La #France est le pays du débat critique et de la #liberté d’expression, et le restera. L’obscurantisme ne passera pas.
— Campus France (@CampusFrance) October 17, 2020
Hommage à #SamuelPaty, enseignant de 47 ans, victime de cyber-harcèlement, d’harcèlement puis assassiné avec par un terroriste islamiste sur le sol 🇫🇷 en ce vendredi 16 octobre 2020, pour avoir défendu la #libertedelapresse et notre #Libertedexpression. pic.twitter.com/8ENf09DmRV
— Vassili Maranov (@VassiliMaranov) October 17, 2020
#SamuelPaty, professeur d'histoire-géographie décapité pour avoir voulu enseigner le meilleur de l'esprit français à ses élèves.
— Noémie Halioua (@NaomiHalll) October 17, 2020
Pardon de ne pas avoir su vous protéger.#Conflans pic.twitter.com/TljoLK4wnF
Ce n’était pas juste un prof! Il s’appelait Samuel Paty, il avait 47 ans, assassiné sur le sol français ce 16 octobre 2020, parce qu’il enseignait, parce qu’il apprenait à nos enfants la liberté d’expression, la liberté de croire et de ne pas croire. #SamuelPaty #jesuisprof pic.twitter.com/7qFjr6woBK
— FCPE MARNE (@FCPE_MARNE) October 17, 2020
Vos réactions
A force de dire que non, il n'y a pas de problème pour les enseignants et qu'ils peuvent aborder tous les sujets en cours. Et bien voilà, nous avons la preuve du contraire. Quelle horreur. Et tous ceux qui n'ont pas voulu le défendre dans son entourage professionnel. Si cela est avéré, je suis encore plus atterrée et il faudra qu'ils s'en expliquent.
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