
Selon le collectif Culture Bars-Bars, 30 à 40% des bars et des clubs pourraient mettre la clé sous la porte à la suite de la crise. Selon les informations recueillies par Trax for Culture, plusieurs syndicats représentant les établissements de nuit dénoncent le refus des assureurs à couvrir les pertes d'exploitation colossales liées à la pandémie de coronavirus. Pourtant, la fédération française des assurances (FFA) est catégorique : «Les assureurs couvrent des risques et pas des crises systématiques».
Une catastrophe pour les bars et clubs notamment, qui accusent des pertes financières dont ils ne sont pas certains de pouvoir se relever.
Pour compenser les pertes, les membres de la FFA se sont engagés à contribuer «à hauteur de 200 millions d'euros» à un fonds de solidarité mis en place par les pouvoirs publics pour aider les microentreprises et les indépendants. Un geste loin de convaincre les syndicats, alors qu'en coulisses, la FFA «rejette toute forme d'indémnisation».
Rémi Calmon, directeur exécutif du Sneg & co, syndicat national regroupant des lieux festifs, a par ailleurs indiqué à Trax for Culture que les pertes «se chiffrent en dizaines de milliards».
Vos réactions
C'est le principe d'une économie libérale non? Certains vont disparaître et d'autre profiteront du vide pour se créer. N'oubliez pas que le soutien aux entreprises se fait avec l'argent des impôts tant critiqué. Soyons cohérent...
Je confirme qu'étant artisan toiletteur canin et ayant une assurance perte d'exploitation auprès d'une grande assurance qui fait beaucoup de publicité à la télé que cette assurance ne prend pas en charge les pertes financières dues au coronavirus car les épidémies ne sont pas dans les closes des contrats pertes d'exploitation
les salaires sont pris en charge à 80% par l'état. Quant aux assureurs ils payent quand on a la garantie, or de nombreux commerçants n'ont pas souscrit la garantie perte d'exploitation.
les salaires sont pris en charge à 80% par l'état. Quant aux assureurs ils payent quand on a la garantie, or de nombreux commerçants n'ont pas souscrit la garantie perte d'exploitation.
les salaires sont pris en charge à 80% par l'état. Quant aux assureurs ils payent quand on a la garantie, or de nombreux commerçants n'ont pas souscrit la garantie perte d'exploitation.
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