
En Asie centrale, au Bangladesh, en Inde, Sandrine Rigaud est partie sur les routes du coton pour enquêter sur la face sombre de cet or blanc.
De nos armoires aux champs de coton, Elise Lucet et l’équipe de Cash Investigation ont remonté la chaîne d'approvisionnement de nos tee-shirts jusqu’en Ouzbékistan, l’un des plus gros producteurs dans le monde.
Un régime autoritaire très secret dans lequel un million de personnes est envoyé de force tous les ans dans les champs au moment de la récolte.
Nous avons suivi la piste de ce coton jusqu’aux filatures du Bangladesh où des ouvrières, souvent très jeunes, vivent et travaillent dans les usines comme des prisonnières. Des situations sur lesquelles de grandes enseignes françaises semblent fermer les yeux.
Vous découvrirez un nouveau label qui vous promet un coton plus équitable et plus respectueux de l’environnement. Les grandes marques l’adorent. Mais derrière le marketing, aucune garantie de traçabilité. Plus grave, il est en train de mettre en péril la filière du coton bio qui propose vraiment un coton sans pesticides.
Dans ce nouveau numéro, Cash Investigation vous révèle ce qui se cache derrière l’étiquette de nos vêtements.
Après la diffusion du documentaire, Elise Lucet poursuit le débat sur le plateau de Cash avec ses invités, responsables politiques et spécialistes.
Vos réactions
Quand un cash investigation sur les dessous de France télévision pour mettre a jour le gaspillage de notre redevance et voir si cette dame sera si incisive dans ses commentaires
Tout a fat...
C'est tellement facile de dénoncer l'exploitation des etres humains par contre ca serait surement bien plus constructif de comparer la vie de ces gens avec d'autres surement encore bien plus exploites...ou qui n'ont meme pas la chance de pouvoir travailler et manger a leur faim...
Il y a 30 ans les enseignements disaient a ma femme lors de l'obtention de son diplome de ne pas accepter un salaire sous un certain niveau ...elle ne les a heureusement pas ecouté, a prouvé sa valeur pour gagner tres bien sa vie plus tard...mais en faisant plus 60 h que 35...
Tout le monde n'a pas la chance d'etre payé par le service public dans les boites privées il faut faire sa place...
Quand un cash investigation sur les dessous de France télévision pour mettre a jour le gaspillage de notre redevance et voir si cette dame sera si incisive dans ses commentaires
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