
L’ex-patronne du Centre Pompidou et de l’Institut national de l’audiovisuel (INA), Agnès Saal, a de nouveau été placée en garde à vue dans les enquêtes sur ses notes de taxi.
Elle avait été entendue une première fois sous ce régime le 15 septembre par les enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance économique de la police judiciaire parisienne.
Deux enquêtes préliminaires la visent : la première, ouverte par le parquet de Créteil, concerne 40 000 euros de frais de taxi quand elle présidait l’INA ; la seconde, dirigée par le parquet de Paris, concerne 38 000 euros de notes présentées entre janvier 2013 et avril 2014 quand elle était directrice générale du centre Georges-Pompidou.
Ses avocats Mes Eric Morain et Rémi Sermier n’ont pas souhaité commenter cette nouvelle garde à vue.
Mme Saal avait démissionné de l’INA en avril 2015 quand l’affaire avait éclaté.
Elle avait pris la tête de l’institut après sept ans passés au Centre Pompidou.
Parallèlement à cette procédure pénale, Agnès Saal est soumise à une procédure disciplinaire.
Dans ce cadre, elle a comparu mercredi devant une commission administrative paritaire interministérielle.
Celle-ci n’est toutefois pas parvenue à tomber d’accord sur un avis à donner pour une sanction contre Agnès Saal.
C’est le président de la République, François Hollande, qui doit trancher sur une sanction.
Vos réactions
Mais
Où est Tarzan
........
Bel exemple de la morale de gauche !
Bel exemple de la morale de gauche !
Tu veux qu'on parle des affaires en cours ou du placard aux archives sur la droite ?
Mais
Où est Tarzan
........
Alors si la Commission n'arrive pas a donné son avis.... cela me rappelle cet éphémère secrétaire d'Etat au commerce limogé pour incompétence et négligence, mais hélas toujours député... M. Alain Thévenoud avec sa phobie administrative (retard d'impôt sur 3 ans plus le reste !) et se plaindre que tout individus connaît un moment de dysfonctionnement. Honorable de rien il n'a plus sa place au rang des députés : [email protected]
La Commission devrait aussi revoir les dossier de M. Mathieu Gallet Pdg de Radio France ex DG de l'INA avec toutes ses casseroles mais il semble protégé car exonéré sur ses dépenses par l'inspection générale des finances, quelle honte. Son confort personnel avant celui de l'intérêt général. M. Jérôme Cahusac est lui aussi l'exemple de la franchise de la modestie... menteur et fraudeur, quelle honte. Le pouvoir est devenu une consommation alors qu'il était un service voir un sacrifice. Rêver d'un temps et d'une époque ou l'élégance était la norme.
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