
Il y a quelques jours, "Le Point" révélait que Rachid Arhab et Françoise Laborde, deux membres du CSA, n’avaient pas démissionné de leur ancienne fonction à France Télévisions. Nos confrères précisaient qu'ils étaient simplement « en disponibilité » ce qui signifie que à la fin de leur mandat de six ans et passé le délai de carence de trois ans, qui interdit de remettre les pieds dans les médias, ils pourraient ainsi revenir à France Télévisions, s’ils le souhaitaient.
Rachid Arhab est revenu sur cette information ce matin dans "Le Grand Direct de la télé" de Jean-Marc Morandini sur Europe 1.
Pour lui, Emmanuel Berreta, journaliste au Point, était "télécommandé dans cette affaire". "Je ne crois pas que ce genre d'affaire, ce soit un journaliste aussi expérimenté soit il qui la découvre tout seul [...] j'en conclu qu'il y a une vraie volonté de malveillance vis à vis du CSA. On me fait le procès d'indépendance alors que tout au long de ma carrière, j'ai été indépendant."
Avant d'ajouter: "Il y aurait intérêt à ce que ceux qui donnent à longueur de journée des leçons de déontologie se les appliquent , et commencent par appliquer un premier principe: quand on veut donner une information, on la recoupe.". En expliquant que Emmanuel Berreta "n'a jamais pris le soin de m'appeler avant publication. Au bout de 4 jours après m'avoir sali dans un écho, et à longueur de journée sur lepoint.fr, il m'a appelé et j'ai fait savoir que quand on a pas recoupé les informations avant, c'est pas la peine de continuer."
Rachid Arhab termine en posant une question à Emmanuel Berreta: "à qui profite le crime Monsieur Berreta ?"
Vos réactions
Ce pauvre Arhab n'était déjà pas un formidable journaliste. Mais il était d'une certaine manière protégé par son identité. Au CSA il ne brille guère...
Eh oui... même si c'est choquant...
N'exagérons pas. Cette affaire me choque autant que chacun. Mais elle se pose en termes qui ne sont pas simples... pas aussi simples qu'on l'écrit ici ou là.
Une élection au Conseil Général est placée sous la surveillance de tous les citoyens... C''est même un droit et un devoir de participer à ce contrôle ( assesseurs, dépouillements... )
:mrgreen:
N'empêche que quitte à pistonner son fils, il aurait pu le faire plus discrètement. Parce que nommer à un tel poste quelqu'un qui n'a montré d'autre réussite que de se faire élire à Neuilly (ce qui n'est pas dur quand on s'appelle Sarkozy), c'est un peu du foutage de gueule. Il a même pas fini ses études, l'autre.
Dans le cas de Jean Sarkozy, il ne s'agit pas d'une "nomitation" mais d'une "élection"...
Ca c'est la regle de... France 2. ( qui a tout intérêt à être sympa pour un membre - ou deux - du CSA ...., vénéré à Francetélévisions ) Mais les membres du CSA doivent être libres de toute attache avec les medias dont le CSA s"occupe.... Et dans ce cas il y a un loup....
Leçons d' Arhab :" un premier principe: quand on veut donner une information, on la recoupe.". Question: L'information de Beretta etait-elle fausse ou vraie ? Vraie. Donc recouper quoi ??? Appeler Arahab n'aurait eu pour effet que de l'informer de la prochaine publication d'une info....déréngeante pour lui. Point. Beretta a donc bien fait de ne pas aller vérifier si selon Arhab, Deux + deux faisaient bien quatre...
s'il respecte le droit je e vois pas pourquoi on l'emm..........
que ce "journaliste " s'attaque à des gens moins clean !
r. arhab manque dans le paysage télévisuel !
y a rien à assumer! il est dans son droit et rien ne permet de le mettre en cause... encore une polémique ridicule menée par des journaleux en panne d inspiration.
Et Laborde, dont la soeut travaille à TF1, est comme lui, ils ont des place au chaud !
Allez Rachid démissionne de France Télévisions ! :lol: il faut être honnête dans la vie;)
j'aimais beaucoup Rachid Arhab à la présentation du journal télévisé en duo avec Carole Gaesler à l'époque ...
Une autre question me vient en tête: à quoi peut bien servir le CSA ????
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