18/12 20:08

Colère agricole : Bruxelles a retrouvé son calme après une journée marquée par des tensions - Des milliers d'agriculteurs ont manifesté avec des centaines de tracteurs dans le quartier des institutions européennes

20h07: Bruxelles retrouve le calme après une journée marquée par des tensions. Des milliers d'agriculteurs ont manifesté avec des centaines de tracteurs dans le quartier des institutions européennes, jeudi, alors que les dirigeants des 27 Etats membres se réunissent en sommet. L'accord avec le Mercosur, que la présidente de la Commission européenne aimerait signer samedi, sera l'un des sujets au cœur des échanges.

Dans l'après-midi, deux rideaux de forces de l'ordre, visés par des jets de projectiles de manifestants, étaient déployés à proximité du Parlement européen.

La police a procédé à des opérations de dispersion et fait usage de canons à eau et de gaz lacrymogène. En fin d'après-midi, les tracteurs ont commencé à quitter le centre-ville de Bruxelles et à se diriger vers le périphérique pour tenter de le bloquer.

17h21: La Fédération française des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS) a affiché son soutien à l'accord de libre-échange entre l'UE et des pays du Mercosur, qui pourrait bénéficier à la filière viticole en difficulté, rare voix dissonante en plein mouvement de contestation agricole.

La FEVS exprime dans un communiqué "son intérêt et son soutien à la signature d'un accord commercial équilibré entre l'Union européenne et le Mercosur" et juge "indispensable d'ouvrir de nouveaux marchés", voyant dans le Mercosur "une opportunité stratégique majeure" pour un secteur en crise.

Le traité prévoit la suppression des droits de douane sur les vins et spiritueux, actuellement compris entre 20 et 27%. Un allègement jugé crucial pour stimuler les exportations vers le Brésil, l'Argentine, l'Uruguay et le Paraguay.

16h50: La FNSEA dénonce le mauvais traitement infligé aux agriculteurs qui manifestent à Bruxelles, et notamment l'usage des gaz lacrymogènes

 

 

16h32/ Sébastien Lecornu recevra demain les syndicats agricoles, aussi remontés par la perspective d'une signature du traité de libre-échange entre l'Union européenne et des pays latino-américains du Mercosur.

16h17: A Bruxelles, l'ambiance semble moins tendue. Les forces de l'ordre sont en train de déloger les manifestants

15h36: Les forces de l'ordre poursuivent leurs interventions et procèdent à des interpellations, comme on peut le voir en direct sur les images diffusées sur CNews.

15h20: La police nationale de Seine-Maritime indique que des difficultés de circulation sont à prévoir à Rouen 

 

 

15h15: Les forces de l'ordre interviennent pour tenter de disperser les attroupements et stopper les dégradations.


15h11: Les tensions se poursuivent à Bruxelles, et de nombreuses dégradations sont en cours

15h06: La ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, déclare sur son compte X que « le projet d’accord avec le Mercosur ne peut pas être signé. Le compte n’y est pas », appuyant ainsi la position d’Emmanuel Macron. « Nous ne transigerons pas sur la défense de nos agriculteurs », a-t-elle ajouté, alors même qu’elle fait actuellement l’objet de vives critiques de la part des agriculteurs concernant sa gestion de la dermatose nodulaire, notamment sur les abattages de troupeaux.

 

 

14h33: Depuis ce matin, un face-à-face tendu a lieu à Bruxelles à proximité du Parlement européen entre des agriculteurs et des forces de l'ordre

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12h54: La tension monte encore à Bruxelles à proximité du Parlement européen. "La situation s'est tendue en matinée dans certains secteurs, notamment près de la place du Luxembourg, où la police a fait usage de canons à eau et de gaz lacrymogène après des jets de projectiles. Des feux ont également été allumés à certains endroits", rapporte La Libre

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12h34: Cinq axes autoroutiers étaient fermés ou perturbés jeudi dans le Sud-Ouest de la France en raison des mobilisations agricoles, selon l’opérateur Vinci Autoroutes qui a précisé en fin de matinée que le blocage sur l’autoroute A61 se terminait.

Les manifestants présents sur cet axe reliant Toulouse et Narbonne, du côté de Carcassonne, ont quitté les lieux et les services dédiés étaient en train de vérifier si les deux voies pouvaient être rouvertes à la circulation en toute sécurité, ce qui devrait intervenir « dès que possible », « dans la journée », selon une porte-parole de Vinci autoroutes.

Le trafic SNCF a de son côté pu reprendre jeudi sur la ligne Toulouse-Narbonne, le blocage des voies effectif depuis deux jours à Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne) ayant été levé mercredi soir, a indiqué à l’AFP SNCF Réseaux.

Côté autoroutes, « le Sud-Ouest du réseau reste très fortement impacté », résume Vinci Autoroutes dans un communiqué, en citant des coupures dans les deux sens sur l’A64 (Bayonne-Toulouse), l’A20 (Toulouse-Paris, au niveau de Cahors).

« On ne va pas lâcher. On s’est fait critiquer la dernière fois d’avoir quitté l’autoroute trop tôt », a déclaré à l’AFP Benjamin Roquebert, éleveur et céréalier de 37 ans en Haute-Garonne présent sur le barrage de l’A64, en référence à la mobilisation agricole de début 2024.

Le blocage va continuer « tant qu’il y aura des abattages », a-t-il assuré.

Une coupure était également signalée sur l’A89, dans les deux sens sur l’axe Bordeaux-Lyon au niveau de Périgueux, tandis que dans l’Est de l’Occitanie, des perturbations étaient également signalées sur la bretelle A645 en direction de l’Espagne.

Par ailleurs, selon un photographe de l’AFP, une cinquantaine d’agriculteurs ont forcé jeudi matin un barrage de gendarmerie dans les Pyrénées-Orientales, avant de bloquer un rond-point permettant d’accéder à l’A9, au niveau du péage du Boulou, près de la frontière espagnole.

« La situation évolue rapidement et de nouveaux blocages pourraient concerner d’autres secteurs dans les heures à venir sur plusieurs axes du réseau », prévient Vinci Autoroutes.

Selon la radio Ici Occitanie, citant un responsable de la FNSEA Haute-Garonne, une action d’agriculteurs est par exemple prévue jeudi sur le périphérique toulousain.

Selon une photographe de l’AFP, une dizaine de tracteurs étaient présents vers 11h00 aux abords de la rocade, au sud-ouest de Toulouse, mais sans occasionner de blocage.

Sur le réseau ferroviaire, la liaison Toulouse-Auch restait perturbée, en raison d’« éléments sur les voies » en gare d’Auch, selon SNCF-Réseau.

Par ailleurs, alors que les autorités annoncent une « accélération majeure » de la campagne de vaccination des bovins contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) dans le Sud-Ouest, le préfet chargé de coordonner la cellule interministérielle sur ce dossier, Pascal Sanjuan, doit superviser la réception de doses qui doivent arriver par avion sur l’aéroport de Toulouse-Francazal, ancien aéroport militaire de la région toulousaine.

 

11h37: Tensions en cours devant le Parlement européen à Bruxelles avec les forces de l'ordre qui font usage de gaz lacrymogène

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10h53: Le président français Emmanuel Macron a réaffirmé jeudi à Bruxelles que la France n’était pas prête à signer en l’état l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur.

« Je veux dire à nos agriculteurs qui manifestent, la clarté de la position de la France depuis le début: sur le Mercosur, nous considérons que le compte n’y est pas et que cet accord ne peut pas être signé », a-t-il déclaré.

Emmanuel Macron a redit en arrivant à un sommet de l’UE que son « objectif » était un report du vote espéré cette semaine par la Commission européenne et plusieurs pays, Allemagne en tête, pour obtenir un feu vert à la signature de l’accord avec le bloc latino-américain.

« Si aujourd’hui il y a une volonté de passage en force alors qu’on n’a pas de la visibilité » sur les conditions fixées par Paris, « je vous le dis très clairement, la France s’opposera », a-t-il insisté, tout en refusant d’affirmer qu’il y aurait une minorité de blocage.

Sous la pression des agriculteurs et d’une classe politique quasi-unanimement opposés à cet accord, la France demande des « clauses de sauvegarde », sorte de « frein d’urgence » pour stopper l’entrée dans l’UE de produits agricoles si des marchés sont « déstabilisés », a rappelé le président. Sur ce point, la Commission européenne a répondu aux exigences françaises, « on avance dans la bonne direction » mais « ça n’est pas encore prêt », a-t-il toutefois jugé.

Elle veut aussi des « clauses miroirs », pour assurer la « réciprocité » en matière de normes sanitaires et environnementales de production. Là aussi, il y a eu des propositions de Bruxelles, « des comités se réunissent en janvier », mais « on n’est pas prêts », a martelé Emmanuel Macron.

Enfin, les contrôles sanitaires aux frontières de l’UE doivent être renforcés au 1er janvier. « Très bien, on va regarder », a temporisé le chef de l’Etat français.

« On doit être respectés », a-t-il estimé. Les agriculteurs français, « on ne peut pas aujourd’hui les sacrifier sur le Mercosur, ça n’est pas sérieux. »

« Personne ne peut ignorer ce que je viens de vous dire », « je n’aime pas qu’on balade les gens, donc je ne vais pas balader nos agriculteurs », a encore dit Emmanuel Macron, assurant avoir « un bon sens un peu paysan ».

Et si les trois conditions françaises sont réunies, la France acceptera-t-elle l’accord? « Oui mais on n’y est pas », a répondu le président.

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10h30: La campagne de vaccination des bovins contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) va prendre une "accélération majeure" dans le Sud-Ouest grâce à la "mobilisation générale" des vétérinaires, ont promis mercredi les autorités, sans convaincre les agriculteurs protestataires.

Le gouvernement a annoncé pour ces prochaines semaines un objectif de 750.000 bovins à vacciner dans dix départements du quart Sud-Ouest du pays.

"Si nous voulons arriver au début du mois de février avec un début d'immunité collective, il nous faut agir rapidement", a déclaré Jean-Marie Girier, préfet des Pyrénées-Atlantiques, dans une ferme du village béarnais de Riupeyrous où cette campagne de vaccination élargie a démarré mercredi après-midi.

"C'est une course contre-la-montre. Une mobilisation générale des vétérinaires", a estimé le représentant de l'État, promettant "des renforts de vétérinaires retraités, d'étudiants et des vétérinaires des armées" pour permettre "l'accélération majeure" annoncée par le gouvernement.

Dans ce département, les 205.000 doses nécessaires à la vaccination de l'ensemble du cheptel bovin seront reçues "d'ici vendredi", ont assuré les services de l'État.

Mais ces promesses logistiques peinent à convaincre les agriculteurs qui protestent contre la stratégie - maintenue - d'abattage systématique des troupeaux dès la détection d'un cas de DNC.

"Si la France avait les doses nécessaires, en l'occurrence une dizaine de millions de doses pour vacciner l'ensemble du troupeau national, on n'en serait pas à devoir abattre des troupeaux entiers", a estimé sur la radio Ici Poitou Stéphane Pelletier, vice-président de la Coordination Rurale (CR) dans la Vienne.

Pour Olivier de Ginestet, membre de la CR des Landes présent mercredi matin sur un rond-point occupé depuis plusieurs jours par des agriculteurs à Mont-de-Marsan, "la vaccination, c'est le seul parapluie qui protège, ça permet de vivre avec le virus".

"L'abattage systématique des bêtes, c'est une illusion totale, ça ne marche pas. On l'a bien vu pour le canard, on a abattu des canards et le virus (de la grippe aviaire, NDLR) est toujours là", estime cet éleveur de volailles.

Selon le ministère de l'Agriculture, un stock de 500.000 vaccins est en cours d'acheminement vers le Sud-Ouest et une commande de 400.000 doses, effectuée la semaine dernière auprès des Pays-Bas, sera livrée prochainement.

08h37: Des milliers d’agriculteurs européens convergent, en ce moment même, avec des centaines de tracteurs vers Bruxelles pour protester contre la politique agricole de l’Union européenne, ciblant notamment l’accord de libre-échange avec le Mercosur, accusé de mettre en danger de nombreuses filières. Près de 10.000 manifestants de toute l’Europe et 500 tracteurs sont annoncés dans la capitale belge

 

07h11: Après avoir soufflé le chaud et le froid pendant des mois, la présidente du Conseil italien a rallié mercredi la position de la France pour demander un report du vote, le temps d’obtenir des « garanties additionnelles » sur la clause de sauvegarde, des mesures miroir et des contrôles sanitaires aux frontières de l’Union européenne.

Or, elle peut, avec la France, la Pologne et la Hongrie, constituer une minorité de blocage. Fervent partisan du traité avec le Mercosur, le chancelier allemand Friedrich Merz a promis de faire pression « intensivement » sur ses partenaires de l’UE pour aboutir au vote.

 

06h03: Plusieurs axes routiers restent fermés ce jeudi.L'A64 est notamment bloquée dans le sens nord-sud, de Toulouse vers Bayonne, au niveau de Carbonne (Haute-Garonne) par la mobilisation agricole, selon les prévisions Bison Futé en temps réel. Les agriculteurs immobilisent également la circulation sur la N21 dans le sens sud-nord, à Louey, dans les Hautes-Pyrénées.

 

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Vos réactions

Portrait de Gigabyte
18/décembre/2025 - 14h22
Maître Toubab a écrit :

Le mercosur est simplement la conséquence des choix qui ont été faits depuis des décennies. Le modèle agricole dominant en France est le productivisme, c'est à dire produire le plus possible pour exporter le plus possible. Le tout subventionné par de l'argent public pour être le moins cher possible et battre la concurrence des pays qui ne sont pas assez riches pour subventionner leur agriculture. Désormais avec le ceta ou le mercosur c'est le retour de bâton puisque ça concerne les importations. La FNSEA et l’État français ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes.

Pas faux

Portrait de MacPhisto
18/décembre/2025 - 13h54

Notre président aura lamentablement échoué à défendre notre agriculture française ou répondre aux injonctions de Von Der Leyen sur le Mercosur. Un échec cuisant qu'il partagera avec Von Der Brigitte.

 

 

Portrait de camille352
18/décembre/2025 - 13h18
Touché01 a écrit :

Sauf que vos souverainistes veulent rester dans l'UE :

RN, Reconquete (zemmour, knafo), Debout la France (dupont-aignan), les patriotes(philippot), veulent rester dans l'UE et c'est pour cela qu'ils ont accès à la télé !

Le seul souverainiste à vouloir vraiment totalement sortir de l'UE (et de de l'euro, et de l'otan et des traités annexes sur les droits de l'homme) c'est l' Union Populaire Républicaine (UPR) de Asselineau depuis 18 ans. Comme il est le seul à présenter un danger pour la règle de libre circulation des capitaux qui permet d'enrichir les milliardaires, il est banni de la télé et se retrouve quasi inconnu des électeurs.

Vos souverainistes (comme le RN ou Knafo) qui veulent rester dans l'UE ne changeront rien de fondamental, seul l'emballage, l'esthétique, changera; mais tout continuera.  

Arrêtez de ramener votre science. D'autant que vous racontez n'importe quoi, en ayant un avis sur tout. Je vous trouve bien envahissant ici. Bonne journée

 

Portrait de CORNU 13
18/décembre/2025 - 12h52
Maître Toubab a écrit :

Le mercosur est simplement la conséquence des choix qui ont été faits depuis des décennies. Le modèle agricole dominant en France est le productivisme, c'est à dire produire le plus possible pour exporter le plus possible. Le tout subventionné par de l'argent public pour être le moins cher possible et battre la concurrence des pays qui ne sont pas assez riches pour subventionner leur agriculture. Désormais avec le ceta ou le mercosur c'est le retour de bâton puisque ça concerne les importations. La FNSEA et l’État français ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes.

Dixit le mec qui ne mange pas de viande.

Portrait de Maître Toubab
18/décembre/2025 - 12h39

Le mercosur est simplement la conséquence des choix qui ont été faits depuis des décennies. Le modèle agricole dominant en France est le productivisme, c'est à dire produire le plus possible pour exporter le plus possible. Le tout subventionné par de l'argent public pour être le moins cher possible et battre la concurrence des pays qui ne sont pas assez riches pour subventionner leur agriculture. Désormais avec le ceta ou le mercosur c'est le retour de bâton puisque ça concerne les importations. La FNSEA et l’État français ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes.

Portrait de soly
18/décembre/2025 - 12h59

Qu'il se la ferme Macron, lui qui est le toutou de Von der Leyen, il ne fera absolument rien pour les agriculteurs français.

Portrait de Touché01
18/décembre/2025 - 11h24

Oui c'etait pareil à Strasbourg quand il y avait encore une vie parlementaire importante : les habitants des grands axes proches du parlement (loin du centre ville), étaient habitués aux blocages réguliers et personne ne se souciait de qui bloquait et pourquoi.

Les habitants évitaient de passer par là, c'est tout.

Portrait de Çabaigne
18/décembre/2025 - 11h05

Les manifestations à Bruxelles, ça vaut la peine de s’y intéresser. Plusieurs centaines de manifestations par an. On fait défiler les manifestants dans des quartiers de bureaux, si possible le weekend. Tout cela à très peu d’impact sur les habitants, les fonctionnaires et autres. On laisse brailler des mécontents venus parfois de très loin. Quelques mètres derrière le dernier manifestant, la vie reprend son cour jusqu’à la prochaine. Une parfaite illusion de démocratie.

Portrait de Touché01
18/décembre/2025 - 10h42

Sauf que vos souverainistes veulent rester dans l'UE :

RN, Reconquete (zemmour, knafo), Debout la France (dupont-aignan), les patriotes(philippot), veulent rester dans l'UE et c'est pour cela qu'ils ont accès à la télé !

Le seul souverainiste à vouloir vraiment totalement sortir de l'UE (et de de l'euro, et de l'otan et des traités annexes sur les droits de l'homme) c'est l' Union Populaire Républicaine (UPR) de Asselineau depuis 18 ans. Comme il est le seul à présenter un danger pour la règle de libre circulation des capitaux qui permet d'enrichir les milliardaires, il est banni de la télé et se retrouve quasi inconnu des électeurs.

Vos souverainistes (comme le RN ou Knafo) qui veulent rester dans l'UE ne changeront rien de fondamental, seul l'emballage, l'esthétique, changera; mais tout continuera.  

Portrait de PhilRAI
18/décembre/2025 - 10h23

Fallait pas voter depuis 40 ans pour des mondialistes ! La seule chose à faire maintenant c'est de voter  massivement pour les souverainistes aux prochaines élections nationales.

Portrait de Touché01
18/décembre/2025 - 09h21

Ce sont ces gens là, les agriculteurs, qui ont poussé depuis des décennies a toujours plus d'europe car c'etait tellement bon pour eux de toucher les milliards de la PAC en subventions.

Et voila maintenant le retour de balancier : la concurrence même pas subventionnée de l'amerique du sud. La-bas ils n'ont pas besoin de subventions car les salaires sont ultra bas et ils peuvent utiliser presque tous les substances qu'ils veulent pour booster leur rendement.

Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse !

Vous avez chantez toutes ce décennies de grasses subventions, et bien dansez maintenant !