
10h18: Selon Paris Match, la garde à vue du rappeur Nekfeu a été prolongée ce matin
06h20: C'est un nouveau coup de théâtre dans un combat juridique qui dure depuis plusieurs années. Le rappeur Nekfeu est en garde à vue depuis hier dans le cadre de plusieurs plaintes pour viol, agressions sexuelles, mais aussi pour violences habituelles sur conjoint. Ce sont nos confrères de Paris Match qui révèle l'information et qui apportent des précisions sur ce qui s'est dans ce commissariat du 15e arrondissement.
Nekfeu, de son vrai nom Ken Samaras, a été ouverte après le dépôt de plusieurs plaintes par son ex-compagne avait été classée sans suite par le parquet de Paris, avant d’être relancée après la découverte récente de nouveaux éléments, et notamment un témoignage, inconnu jusqu’alors de la justice.
Selon Libération, la plaignante aurait fourni de nombreux échanges par SMS, des éléments «probants» qui dessineraient des comportements violents de la part de Nekfeu.
Entre septembre 2023 et mai 2024, trois plaintes successives pour viol, violence ou harcèlement de l’ex-compagne de Nekfeu,, avec laquelle il a eu un enfant et dont il a la garde, avait été classées par la justice.
De son côté, Nekfeu, 35 ans, a également engagé plusieurs procédures contre son ex-compagne pour non-représentation d’enfants entre 2022 et 2024. Depuis un jugement prononçant le divorce le 28 mars 2024, la résidence de leur enfant de 4 ans avait été fixée chez l’artiste et la mère récupérait son fils un vendredi sur deux, jusqu’au dimanche.
L’artiste de 35 ans reprochait à son ex-compagne de 33 ans de ne pas lui avoir remis leur garçon à plusieurs reprises entre 2022 et 2024. Des faits pour lesquels Mme B. a été relaxée en partie pour certaines dates reprochées de non-représentation et condamnée pour d’autres à deux mois de prison avec sursis le 19 mars dernier.
Depuis bientôt un an et la médiatisation de l’affaire par l’avocate de l'ex femme du rappeur, les conseils de Nekfeu dénoncent une forme de harcèlement judiciaire.
Vos réactions
C'est marrant, d'ailleurs, on n'a jamais entendu les connasses fausses-écolo à propos des rappeurs systématiquement épinglés pour ces mêmes raisons ... N'est-ce pas la chiasseuse de Sandrine Rousseau, toujours si prompte à relever tout et n'importe quoi ! Tu as peur qu'on vienne te gifler en pleine rue, pauvre andouille ?
Le rap est la négation de la créativité, de la subtilité, de l'intelligence, de la qualité, de la tendresse, de la fraternité, du bonheur de vivre. C'est de la médiocrité brute, brutale, vulgaire, malodorante, dégueulasse, l'exemple absolument inverse de ce que les jeunes doivent découvrir, et qui devrait tout simplement être interdit de publication.
Il ne serait pas difficile de sanctionner immédiatement les propos anti-France, sexistes et violents. La musique de merde, c'est effectivement plus difficile car le niveau s'est tellement effondré depuis tant d'années qu'on ne s'étonne même plus de voir les gamins se dandiner de manière ridicule sur ces boucles Bontempi mongoloïdes.
Si les néoféministes ne s'occupent pas des femmes violées par les migrants, ni celles tabassées par les rappeurs, toujours pas des filles excisées par leurs parents extra-européens, et ont piscine pour les jeunes mariées de force au bled, on va pouvoir leur raboter les subventions d'autant et il ne restera plus grand chose.
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