
19h33: Message de Jordan Bardella : "La page du gouvernement Bayrou est désormais tournée. Le changement n’attend plus : parlons de l’avenir du pays !"
La page du gouvernement Bayrou est désormais tournée. Le changement n’attend plus : parlons de l’avenir du pays !
— Jordan Bardella (@J_Bardella) September 8, 2025
Je serai ce mardi à 8h15 l’invité de @RTLFrance. pic.twitter.com/V3UFGRHCBF
19h22: En dépit de la présence de ministres de droite au sein de l'exécutif, 13 élus Les Républicains ont voté contre et 9 se sont abstenus sur un groupe qui compte 49 députés. Le président des députés LR Laurent Wauquiez a voté pour la confiance tout en revendiquant "la liberté de vote" de ses élus.
19h16: Jean-Luc Mélénchon déclare : "Bayrou est tombé. Victoire et soulagement populaire. Macron est désormais en première ligne face au peuple. Lui aussi doit partir."
Bayrou est tombé. Victoire et soulagement populaire. Macron est désormais en première ligne face au peuple. Lui aussi doit partir. pic.twitter.com/MTkCQU6yXH
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) September 8, 2025
19h14: Les députés ont très largement voté contre la confiance au gouvernement lundi 8 septembre, lors d'une session extraordinaire à l'Assemblée nationale à Paris. Le Premier ministre avait choisi de solliciter les parlementaires sur la question du déficit public et de l'effort budgétaire à fournir pour le résorber.
Au total, 364 députés ont voté contre la confiance au gouvernement et 194 pour. La décision des députés entraine mécaniquement la chute du gouvernement. François Bayrou a prévu de remettre sa démission, mardi, à 8 heures, en cas de chute de son gouvernement, a appris France Inter de sources gouvernementales.
"Vous avez le pouvoir de renverser le gouvernement", mais pas celui "d'effacer le réel", avait-il lancé aux députés lors de son discours.
19h01: Très sévère revers pour François Bayrou avec seulement 194 voix "Pour" la confiance et 364 "Contre" - Le Premier Ministre François Bayrou doit démissionner - Il le fera demain à 8h à l'Elysée.
Dans le détail, sur 573 votants et 558 suffrages exprimés, 364 députés se sont prononcés contre la confiance envers le chef du gouvernement, a annoncé la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. 194 ont voté pour la confiance envers le Premier ministre. 15 élus se sont abstenus.
18h17: Le vote est ouvert pour 30 minutes jusqu'à 18h50
18h12: François Bayrou reprend la parole : "Je ne répondrai pas aux polémiques ou aux propos insultants. Ces neuf mois ont été des mois de profond bonheur.
17h55 : Mathilde Panot (LFI) : "Nous ne partageons pas votre diagnostic, et encore moins vos remèdes. Nous nous félicitons de n'avoir voté aucun budget depuis 8 ans. Les plus grands drogués à la dépense publique ces dernières années, ce sont les grands patrons. Mais François Bayrou appartient désormais au passé.
DIRECT - "Aujourd'hui est un jour de soulagement pour des millions de Français", entame Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, dans l'hémicycle. #franceinfo #canal16 pic.twitter.com/Cbmp30berJ
— franceinfo (@franceinfo) September 8, 2025
17h44: Gabriel Attal : "La politique est malade des certitudes, des lignes rouges, des oukazes, des intransigeances. La France étouffe et les Français ne croient plus en la politique", s'inquiète encore l'ancien Premier ministre. L'heure est venue de réduire notre dette (...) Réduire la dette, ce n'est pas une obsession comptable, c'est une urgence vitale.
Nous avons tous des désaccords sur le budget présenté par le gouvernement mais pour autant, faut-il tout casser au risque d'envoyer la France dans le mur ? Les députés de mon groupe vont voter pour la confiance, pour garantir la stabilité de la France."
«Ils appellent à faire revoter les Français […] Ce n’est pas aux Français de régler les problèmes du Parlement, mais au Parlement de régler ses problèmes et les problèmes des Français», estime Gabriel Attal, président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée… pic.twitter.com/Loo1XwxnfN
— CNEWS (@CNEWS) September 8, 2025
17h25: Marine Le Pen : "Ce moment marque la fin de l'agonie d'un gouvernement fantôme, c'et un moment de vérité. Nous vivons l'effondrement d'un système. Dirigeants de droite, comme de gauche, vous êtes coupables. Nous n'appelons pas à la destitution, contrairement à La France insoumise,mais à la dissolution, qui n'est pas une option mais une obligation. Nous irons à Matignon (...) Le changement n'attend plus.
S’il n’y a pas de dissolution, nous continuerons avec un esprit constructif mais sans faiblesse, de faire valoir les idées que nos électeurs nous commandent de défendre.
Mais je le dis avec solennité, n’attendez pas que le groupe RN ne vous suive dans votre folie fiscale et migratoire, dans vos petits partis pris idéologiques qui vous empêchent de voir la réalité du pays », dit également Marine Le Pen, qui espère, malgré tout, « une majorité absolue pour mettre en œuvre un programme de redressement national. Le changement n’attend plus »
Il est des moments politiques particuliers dans la petite histoire d’une mandature, ou dans la plus grande histoire de la vie parlementaire d’un pays.
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) September 8, 2025
Celui-ci en est un. C’est un moment de vérité. pic.twitter.com/eXNJheABH0
16h55: "Vous êtes un pompier pyromane", lance Éric Ciotti, président du groupe Union des droites pour la République, à François Bayrou. "Vous quittez le pouvoir aujourd'hui sans avoir redressé ce pays que vous avez au contraire accablé", lance-t-il au Premier ministre, le qualifiant d'"irresponsable politique". "Vous n'êtes pas l'homme du redressement. Vous êtes au contraire, avec Emmanuel Macron, les artisans de la débâcle française".
«Pour la première fois sous la Ve République, l’Assemblée nationale est appelée à valider une lettre de démission», ironise Éric Ciotti, président de l’UDR et député des Alpes-Maritimes. pic.twitter.com/fTXNASXTtJ
— CNEWS (@CNEWS) September 8, 2025
16h34: François Bayrou a prévu de remettre sa démission demain à 8 heures, en cas de chute de son gouvernement, a appris France Inter de sources gouvernementales.
15h54: Laurent Wauquiez prend la parole pour la Droite Républicaine : "Notre pays s'enfonce dans l'instabilité et personne ne peut s'en réjouir. Nous n'accepterons jamais qu'un gouvernement soit composé avec des députés de la France Insoumise. LFI avec Jean-Luc Mélenchon est le premier danger politique pour notre République.
Les députés de la Droite républicaine n'ont jamais été dans la posture. Ils ont toujours été force de proposition. Et je regrette, monsieur le Premier ministre, que ces propositions n'aient pas été plus reprises". Pourquoi avez-vous autant de mal à convaincre Mr le Premier Ministre ?
Les Français ne sont pas aveugles sur la situation du pays, les Français veulent des économies, de vraies économies et pas des augmentations d'impôts déguisées.
Je vous demandais plus d'économie vous ne l'avez pas entendue. L'Assemblée Nationale est divisée, il n'y a pas de majorité absolue.
Laurent Wauquiez, président des députés LR : «Nous n'accepterons jamais qu'un gouvernement comporte des députés de La France insoumise. Nous n'accepterons jamais que se mette en place ici le programme funeste du Nouveau front populaire». pic.twitter.com/Ezrcb1Rz4X
— CNEWS (@CNEWS) September 8, 2025
15h44: Boris Vallaud répond pour le PS : "Nous sommes au regret de ne pas pouvoir vous faire confiance ! Monsieur le Premier ministre, vous ne ferez pas de votre défaite, une victoire. Derrière votre geste politique, votre faux sacrifice en dissimule un vrai : celui des Françaises et des Français. En votant aujourd'hui contre la confiance, les socialistes prennent la responsabilité d'affirmer qu'ils sont prêts, avec la gauche et les écologistes, à gouverner.
Nos choix ne sont pas les vôtres, mais ils sont ceux des Français. Pas le travail, le capital. Pas les jours fériés, les héritiers. Pas le ruissellement, la redistribution. Pas les PME, les multinationales. Pas la récession, la relance. Nous proposons un autre chemin, celui des peuples qui refusent la résignation et regardent plus loin que leurs chaînes.
C'est désormais à la gauche, arrivée en tête de gouverner !"
Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée : «Ce vote auquel vous vous soumettez n'est pas un acte de courage, c'est une dérobade [...] Face à l'adversité, vous vous résignez» pic.twitter.com/XliSpnWTyg
— CNEWS (@CNEWS) September 8, 2025
15h00: François Bayrou prend la parole devant l'Assemblée :
"J’ai voulu ce rendez-vous et certains d’entre vous, les plus nombreux, les plus sensés probablement, ont pensé que c’était déraisonnable, que c’était un trop grand risque. Or, je pense exactement le contraire. Le plus grand risque était de ne pas en prendre, de laisser continuer les choses sans que rien ne change.
Les migrations liées aux différences de développement, à la misère chez les uns avec une démographie expansive à l’approche et maîtriser les arrivées et intégrées ceux qui sont et seront là. Il faut les intégrer par le travail, par la langue, par l’engagement à respecter nos principes de vie.
Notre pronostic vital est engagé alors que la France n'a pas connu de budget en équilibre depuis 51 ans.
Tous les partis politiques qui ne font pas partie du gouvernement ont annoncé leur décision de renverser ce gouvernement, exploit tout relatif, puisque ce gouvernement est sans majorité, ni majorité absolue, ni majorité relative. Gouvernement dont la chute irrévocable était annoncée depuis la première minute de son existence
Mesdames et Messieurs les députés, vous avez le pouvoir de renverser le gouvernement, mais vous n’avez pas le pouvoir d’effacer le réel. Le réel demeurera inexorable, les dépenses continueront d’augmenter, et le poids de la dette, déjà insupportable, sera de plus en plus lourd et de plus en plus cher !
J’ai parlé de prise de conscience. Ayant vécu ces derniers mois dans cet exercice inédit, je crois sans précédent, de transparence entre citoyens, j’ai vu la puissance des forces qui veulent qu’on continue à fermer les yeux.
Les uns disent (et ne croyez pas que j’ignore l’efficacité du discours) : ce sont les immigrés qu’il faut mettre à contribution, ce sont les étrangers qui sont la cause de tout (...)
Ou bien de la part des mêmes : c’est l’Europe, nous nous ruinons à respecter nos engagements. Je suis d’accord, je l’ai dit, pour qu’on vérifie, mesure par mesure s’il y a des anomalies, des injustices au détriment de nos compatriotes.
Je m’adresse à vous en prenant nos principes au pied de la lettre, principes énoncés à l’article 27 de la Constitution :
'Le droit de vote des membres du Parlement est personnel'. Ce qui veut dire qu’en principe, les mots d’ordre n’ont pas leur place ici. Ce qui a sa place ici, c’est la conscience personnelle de chacun des députés de la nation'".
️ Vote de confiance : François @bayrou débute sa déclaration de politique générale. "Certains d'entre vous ont pensé que c'était déraisonnable, que c'était un trop grand risque. Je pense exactement le contraire", explique le Premier ministre.#DirectAN #votedeconfiance pic.twitter.com/oUgz7jMjkS
— LCP (@LCP) September 8, 2025
14h44: Beaux coups pour le journal du service public. Bruno Retailleau et Jean-Luc Mélenchon seront les invités du 20 Heures de France 2, ce soir, à l'issue du vote de confiance à l'Assemblée nationale.
Olivier Faure du Parti Socialiste sera lui au même moment sur TF1.
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14h37: Voici les noms de ceux qui pourraient succéder à François Bayrou, selon le Parisien : Plusieurs noms circulent déjà pour Matignon : les ministres
Sébastien Lecornu (Armées),
Gérald Darmanin (Justice),
Catherine Vautrin (Travail et Santé),
Éric Lombard (Économie),
Xavier Bertrand, président LR des Hauts-de-France
Jean-Yves Le Drian, l'ancien chef de la diplomatie et ex-socialiste ..
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14h17: "Ce n'est pas nous qui renversons le gouvernement, c'est ce gouvernement qui a décidé de lui même de chuter" a déclaré le président du Rassemblement national Jordan Bardella.
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"Ce n'est pas nous qui renversons ce gouvernement, c'est ce gouvernement qui a décidé lui-même de chuter"
— BFMTV (@BFMTV) September 8, 2025
Le président du RN Jordan Bardella s'exprime avant le vote de confiance #BFM2 pic.twitter.com/NFHKacQuyR
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12h42: A 15 heures, François Bayrou prendra la parole à l'Assemblée nationale. Franceinfo rappelle qu'au même moment, c'est la ministre de l'Education Elisabeth Borne, numéro 2 du gouvernement dans l'ordre protocolaire, qui lira le discours du Premier ministre au Sénat.
11h26: Le point sur ce que l'on sait
La France attend lundi la chute annoncée du gouvernement de François Bayrou lors d’un vote de confiance au Parlement, venant alimenter sur les spéculations sur la possibilité d’un nouveau Premier ministre venant de la gauche.
Tous les regards sont tournés vers Emmanuel Macron, à la recherche de son troisième Premier ministre depuis la dissolution de 2024 qui n’a dégagé aucune majorité à l’Assemblée nationale et plongé le pays dans une crise politique et budgétaire.
Après moins de neuf mois à Matignon, François Bayrou montera à 15H00 (13H00 GMT) à la tribune de l’Assemblée pour engager la responsabilité de son gouvernement sur son projet de budget, prévoyant 44 milliards d’euros d’économies pour 2026.
La réponse des 577 députés est attendue à partir de 19H00. Mais il n’y a aucun suspense: la coalition parlementaire soutenant Emmanuel Macron n’a pas la majorité et les partis d’opposition, de l’extrême droite à l’extrême gauche, ont prévenu qu’ils voteraient non.
La France, qui ploie chaque jour un peu plus sous le poids de sa dette publique (114% du PIB), redoute de s’enfoncer encore plus dans une crise politique.
Le parti d’extrême-droite (Rassemblement national) pousse pour la tenue de nouvelles législatives. Selon un sondage paru dimanche, en cas d’élections, le RN et ses alliés arriveraient largement en tête du premier tour avec 33% des suffrages devant la gauche et le camp présidentiel.
L’option d’une dissolution de l’Assemblée nationale est pour l’instant écartée par le chef de l’Etat, dont l’entourage indique qu’il veut aller vite pour désigner un nouveau chef de gouvernement.
Les tractations ont déjà commencé. Le PS s’est placé au centre du jeu, se déclarant « prêt » à gouverner - mais avec un gouvernement de gauche sans les macronistes.
Emmanuel Macron devrait donc plutôt tenter d’élargir son bloc central (appelé « socle commun ») et de chercher une personnalité de droite ou du centre qui serait acceptée par le Parti socialiste. « Il faut de la stabilité. Et le plus stable, c’est le socle commun qui dialogue avec les socialistes », estime un proche du président.
Mais la tâche s’annonce ardue face à des partis qui campent sur leurs positions. « Le problème actuel en France, c’est que chacun (des partis) a des lignes rouges et que ces lignes rouges rendent totalement impossible la formation d’une coalition. Il n’y a pas de coalition majoritaire, une coalition qui puisse tenir durablement », estime pour l’AFP Mathieu Gallard, de l’Institut de sondage Ipsos
Plusieurs noms circulent, dont ceux des ministres des Armées Sébastien Lecornu, de la Justice Gérald Darmanin, ou de l’Economie Éric Lombard.
08h34: Dans un contexte de défiance généralisée envers Emmanuel Macron, dont la cote de popularité est au plus bas depuis son arrivée au pouvoir en 2017 (environ 77% des personnes de mécontents slon un récent sondage), plusieurs échéances plaident pour une vacance courte.
Un mouvement « citoyen » né durant l’été sur les réseaux sociaux sous le slogan « Bloquons tout », soutenu par certains syndicats et la gauche radicale, a appelé à paralyser le pays mercredi. Mais la portée réelle de la mobilisation - qui rappelle à certains égards celui des « gilets jaunes » qui a secoué la France en 2018-2019 - reste incertaine.
Parmi les actions envisagées: blocages de sites stratégiques, sabotages de radars ou distributeurs de billets, opérations péage gratuit...
L’ensemble des organisations syndicales ont, elles, appelé à la grève et aux manifestations le 18 septembre.
Vendredi, l’agence Fitch doit annoncer la note de la dette française, avec une possible dégradation dans le contexte actuel.
05h57: Malgré sa tournée d'adieux, le Premier ministre a eu beau se démener, sa chute, cet après-midi ne fait plus aucun doute. Il pensait trouver un chemin pour éviter d’être renversé lundi et refusait de croire toutes les oppositions qui promettaient depuis deux semaines de ne pas voter la confiance, mais François Bayrou a fini par se rendre à l’évidence : son avenir est scellé.
Le chef du gouvernement a ainsi commencé à évoquer, dans ses dernières interventions médiatiques, l’après-8 septembre. Il a estimé, vendredi 5 septembre, sur RTL, "extrêmement difficile" le choix que devra faire Emmanuel Macron après son renversement et a assuré qu’il n’y aurait pas "d’interruption du gouvernement".
"Je remplirai ma mission avec tout ce que j'ai de conscience et de volonté de préserver les choses, et je serai là pour aider mon pays", a-t-il affirmé.
François Bayrou avait annoncé à la mi-juillet son intention de doubler de 50 à 100 euros le plafond annuel de ces sommes qui restent à la charge des assurés sociaux sur les boîtes de médicaments, actes paramédicaux, transports sanitaire et consultations médicales – montre également qu’il ne se voit plus aux commandes après le vote de confiance.
Celui-ci se déroulera lundi en fin d’après-midi ou en début de soirée.
La séance s’ouvrira à 15 h et débutera par l’intervention de François Bayrou.
Puis un représentant de chaque groupe s’exprimera, avant que le Premier ministre ne leur réponde. Cette séquence pourrait durer entre trois et quatre heures. Le vote se tiendra dans la foulée et durera 30 minutes.
Vos réactions
Il a perdu son temps à faire sa tournée d'adieu qu'elle honte pour lui !!!
Le 12 septembre Fitch nous enlèvera notre double A, début de la fin.
Le 28 novembre Standard and Poor's enlèvera aussi notre double A, là cela deviendra ultra sérieux.
La plupart des préteurs à qui on emprunte depuis 51 ans pour payer nos dettes ont dans leurs statuts l'interdiction de prêter à un pays qui n'est pas au moins double A. Ils ne nous prêterons donc plus.
Quelques mois plus tard la France sera en faillite, ne pourra plus payer ses dettes faute de pouvoir emprunter.
Là le FMI, ou nos créanciers, nous obligerons comme d'autres avant nous à prendre enfin les mesures efficaces, comme baisser de 40% la pension de retraite de nos 17 millions de retraités et vendre tout un tas de trucs non rentables. Bien sur pour survivre la plupart des retraités devront déménager vers la campagne paumée tellement moins chère et apprendre à cultiver des patates.
Les retraités sont la cible idéale et sont donc toujours visés car ils coutent très chers, et en étant à la retraite ils ne peuvent plus se rebeller en bloquant l'appareil de production !
Sans oublier la ponction de 30 % sur tous les comptes épargne et assurance-vie. Par contre, pas touche au droit d'asile, AME, droits humains, etc.
S'il nomme Lombard, je chiale de rire.
Cet ancien socialiste multimillionnaire représente physiquement l'impôt.
La gauche va enfin pouvoir gouverner. En attendant Mélenchon pour 2027 et 2032.
Et sutout, n'oubliez pas le 10, on bloque tout.
Tu veux dire : l'effondrement de la France va pouvoir s'accélérer ?
8 mois et 26 jours Premier ministre pour absolument rien.
Une catastrophe.
PS : Jordy est de plus en plus roux.
" Premier ministre pour absolument rien. " pas tout à fait , pour lui retraite ( une de plus ) + avantages d'ancien 1 er ministre ... indemnité de départ , voiture , assistant , agent de sécurité
Maintenant place à le corps nu.
Le 12 septembre Fitch nous enlèvera notre double A, début de la fin.
Le 28 novembre Standard and Poor's enlèvera aussi notre double A, là cela deviendra ultra sérieux.
La plupart des préteurs à qui on emprunte depuis 51 ans pour payer nos dettes ont dans leurs statuts l'interdiction de prêter à un pays qui n'est pas au moins double A. Ils ne nous prêterons donc plus.
Quelques mois plus tard la France sera en faillite, ne pourra plus payer ses dettes faute de pouvoir emprunter.
Là le FMI, ou nos créanciers, nous obligerons comme d'autres avant nous à prendre enfin les mesures efficaces, comme baisser de 40% la pension de retraite de nos 17 millions de retraités et vendre tout un tas de trucs non rentables. Bien sur pour survivre la plupart des retraités devront déménager vers la campagne paumée tellement moins chère et apprendre à cultiver des patates.
Les retraités sont la cible idéale et sont donc toujours visés car ils coutent très chers, et en étant à la retraite ils ne peuvent plus se rebeller en bloquant l'appareil de production !
la France passera en commission de surendettement la dette sera éffacée et nous repartirons d'un pas alerte pour recommencer
En espérant qu'on ne mette pas quelqu'un de gauche en premier ministre ou sinon nous les français on est mort...
Les socialistes se disent disponibles.
Et tout le monde s'en fout mdr
Il pensait vraiment le vote de l’assemblée ?!
Il aura fait une belle parade !!! il s'est fait ridiculiser
Le 12 septembre Fitch nous enlèvera notre double A, début de la fin.
Le 28 novembre Standard and Poor's enlèvera aussi notre double A, là cela deviendra ultra sérieux.
La plupart des préteurs à qui on emprunte depuis 51 ans pour payer nos dettes ont dans leurs statuts l'interdiction de prêter à un pays qui n'est pas au moins double A. Ils ne nous prêterons donc plus.
Quelques mois plus tard la France sera en faillite, ne pourra plus payer ses dettes faute de pouvoir emprunter.
Là le FMI, ou nos créanciers, nous obligerons comme d'autres avant nous à prendre enfin les mesures efficaces, comme baisser de 40% la pension de retraite de nos 17 millions de retraités et vendre tout un tas de trucs non rentables. Bien sur pour survivre la plupart des retraités devront déménager vers la campagne paumée tellement moins chère et apprendre à cultiver des patates.
Les retraités sont la cible idéale et sont donc toujours visés car ils coutent très chers, et en étant à la retraite ils ne peuvent plus se rebeller en bloquant l'appareil de production !
Enfin l'heure de gloire pour Lucie Castets mdr
C’est fou car :
- Bayrou avait fait une « clé de bras » à Macron pour avoir le poste
- il a fait voter pour S. Royal face à Sarkozy (2007) et pour F. Hollande en 2012… et se faisait fort depuis le Modem, de parler au PS, à LR, d’être « au centre » et de régler les affaires du pays par le dialogue.
Les personnes qui le côtoient savent toutefois que F. Bayrou ne sait pas écouter et travailler en équipe, a un melon pas possible… tout le monde (à part Marielle de Sarnez) en avait marre et avait fui l’UDF/Modem tellement Bayrou était tout le temps en mode « moi, moi, moi… »
A 74 ans, il se prend une belle claque, là. Pas de soucis financiers toutefois : il touche ses différentes retraites (comme les autres) d’ancien ministre, ancien député…
C'est d'un ridicule sa tournée d'adieu !!!! je ne comprends pas que des personnes intelligentes puissent agir de telle sorte !!! ils sont déconnectés ils vivent dans leur Tour d'Argent
Ils ont tellement le melon qu'ils sont hors sol
La photo est très expressive !!!!!!!
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