26/08 20:06

Vote de confiance : François Bayrou va à nouveau prendre la parole demain soir au 20h de TF1 - Désormais, il appelle les députés à choisir entre "le chaos" ou "la responsabilité"

20h04: François Bayrou va à nouveau prendre la parole demain soir au 20h de TF1

 

17h13: "Nous ne sommes, aujourd'hui, sous la menace d'aucune intervention, ni du FMI, ni de la BCE, ni d'aucune organisation internationale", assure sur le réseau X le ministre de l'Economie et des Finances Eric Lombard. 

"La situation de nos finances publiques réclame du calme et de la lucidité.

Le calme, c’est de constater que l’économie française est solide, que la signature de la France sur les marchés est reconnue et que nous finançons notre dette sans difficulté. Nous ne sommes, aujourd’hui, sous la menace d’aucune intervention, ni du FMI, ni de la BCE, ni d’aucune organisation internationale.

La lucidité, maintenant, nous impose d’agir pour rétablir nos finances publiques, dont le déséquilibre compromet durablement notre liberté en tant que nation. Penser que la France serait, par nature, exemptée de maîtriser sa dette et à l’abri de tout risque est une fable.

C’est cet équilibre qui guide mon action en tant que Ministre de l’Économie et des Finances.

 

Le Parlement aura un choix en conscience à faire. Il ne doit être présidé ni par la légèreté ni par la peur, mais par l’intérêt du pays."

 

 

16h27: Lors d’une intersyndicale prévue vendredi, la CFDT proposera une date de mobilisation pour le mois de septembre. «Ce n’est pas une fatalité de nous promettre du sang et des larmes», a assuré la secrétaire générale du syndicat, Marylise Léon.

La N°1 de la CFDT s'exprimait face à la presse à l'issue d'un discours prononcé par le premier ministre François Bayrou en ouverture de l'université d'été du syndicat à Boissy-la-Rivière (Essonne).

15h44: Le ministre de l'Intérieur et président de LR Bruno Retailleau a appelé à "la résistance contre la fatalité", estimant qu'il y avait "un risque que la France se défasse" dans "ce monde en voie de liquéfaction avancée".

Au lendemain de la décision de François Bayrou de demander le 8 septembre la confiance de l'Assemblée nationale, Bruno Retailleau a saisi l'occasion d'un discours pour la 81e anniversaire de la libération de Paris à la préfecture de police pour brosser à grands traits la situation du pays, qu'il juge dramatique.

"Certes 2025 n'est pas 1944, et rien ne serait plus vain que de vouloir dresser de faux parallèles entre les époques", a-t-il dit, "mais nous vivons à nouveau des temps tragiques".

"Et dans ces temps, le risque n'est plus que la France soit défaite mais qu'elle se défasse", a poursuivi le ministre.

A ses yeux, le pays est "confronté à l'hydre islamiste qui corrompt les esprits", à "la pieuvre du narcotrafic qui étend son emprise sur tous les territoires de la République", à "l'antisémitisme" et "à la violence désinhibée d'une société ensauvagée, décivilisée".

Le ministre et président de LR a appelé la police "à tenir bon". "Dans ce monde en voie de liquéfaction avancée, vous incarnez la solidité des murs porteurs de notre idéal républicain, d'un idéal de dévouement contre la tentation du chacun pour soi".

Gratifiant les policiers d'un "esprit de résistance contre la fatalité, contre le désespoir", il a jugé que c'était "une flamme d'espoir, la flamme de l'espoir de protéger les plus vulnérables, de réparer notre société, de redresser notre pays".

"Cette flamme surgira des plus grands feux", a ajouté le ministre dans la cour d'honneur de la préfecture de police, face aux plus hauts responsables de la police et de la préfecture, aux élus dont la maire de Paris Anne Hidalgo et à nombre de personnalités parmi lesquelles l'ancien Premier ministre Michel Barnier.

14h59: Le premier ministre François Bayrou, qui entame aujourd'hui devant la CFDT une opération de la dernière chance pour tenter d’arracher la survie de son gouvernement, juge le moment "extraordinairement inquiétant".

"C’est un moment précisément de bascule alors que nous imaginions révolu, ou en tout cas presque révolu, le monde des rapports de force militaire, financière, commerciale ou de la domination par les réseaux".
Et de regretter que "partout, ce soit désormais la force qui triomphe" et "non plus le respect du droit". 

Avant d'appeler les députés à choisir entre "le chaos" ou "la responsabilité", évoquant "un moment de clarification et de vérité".

Et d'assurer que c'est "une fois la réalité acceptée" que "comme un grand peuple", nous pourrons dire que "nous ne fuirons pas nos responsabilités, que nous avons la charge de nos enfants et que nous ne les laisserons pas dans cette dérive".

Avant de plaider pour l’invention d’un "monde nouveau qui passera autant par la démocratie sociale que par la démocratie politique".

François Bayrou a également assuré être prêt à demander "un effort spécifique" aux plus hauts revenus, afin de contribuer aux 43,8 milliards d'euros d'économies à réaliser pour réduire le déficit dès 2026.

Le Premier ministre a également demandé aux oppositions, notamment le Rassemblement national et La France insoumise de "réfléchir" et de renoncer à leurs "réflexes spontanés". Les deux partis ont déjà annoncé leur intention de voter contre la confiance au gouvernement.

11h32: Les Républicains voteront la confiance au gouvernement, annonce Bruno Retailleau. Le ministre LR de l’Intérieur Bruno Retailleau a mis en garde mardi contre un vote le 8 septembre qui ferait chuter le gouvernement de François Bayrou et serait contraire « aux intérêts de la France », portant notamment le risque d’« une crise financière majeure ».

« Nous sommes entrés au gouvernement pour éviter le chaos et l’extrême gauche, il serait irresponsable de précipiter le pays dans une crise financière majeure dont les conséquences atteindraient d’abord les plus fragiles. Voter pour la chute du gouvernement, ce serait voter contre les intérêts de la France », a-t-il dit dans un communiqué publié en sa qualité de président du parti Les Républicains.

« Cohérente et constante, la droite française ne peut pas s’associer au cartel du déni et aux démagogues qui refusent de voir la réalité en face », a ajouté le ministre, alors que toutes les oppositions de gauche et d’extrême droite ont fait savoir qu’elles ne voteraient pas la confiance le 8 septembre, rendant très probable la chute du gouvernement.

Dans son communiqué, publié après une réunion mardi matin des ministres et responsables parlementaires LR, Bruno Retailleau prend ses distances avec ces propositions.

Un vote de confiance des LR le 8 septembre « ne veut pas dire pour autant que toutes les mesures budgétaires proposées par François Bayrou nous convenaient », dit-il. « La France des honnêtes gens ne peut consentir à de nouveaux efforts qu’à la condition que ceux-ci soient justes », a-t-il ajouté.

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10h56: Le point sur ce que l'on sait

Les soutiens de François Bayrou tentent mardi de croire encore dans le pari du Premier ministre d’arracher la confiance de l’Assemblée le 8 septembre, mais la quasi-certitude d’un vote négatif lance déjà les spéculations sur l’après: nouveau Premier ministre, dissolution ou même départ d’Emmanuel Macron comme réclamé par Jean-Luc Mélenchon.

Confronté au rejet de son plan d’économies budgétaires de près de 44 milliards d’euros d’économies, par les opposants comme dans l’opinion, ainsi qu’à des appels à bloquer le pays le 10 septembre, le Premier ministre a brandi un va-tout lundi pour sa rentrée.

A sa demande, Emmanuel Macron va convoquer une session parlementaire extraordinaire le 8 septembre, et M. Bayrou sollicitera le jour même la confiance de l’Assemblée sur une déclaration de politique générale. Son espoir: faire valider la nécessité d’un tel plan de réduction du déficit public, avant d’en négocier les mesures, dans un second temps.

« Oui, on met nos têtes sur le billot, et alors ? La France mérite ça », a reconnu le ministre des Relations avec le Parlement Patrick Mignola sur Franceinfo.

Mais les réactions des oppositions ont été immédiates et ne semblent laisser quasiment aucune chance de réussite au gouvernement, privé de majorité depuis sa naissance en décembre.

Du Rassemblement national à La France insoumise en passant par les Ecologistes et les communistes, tous ont promis de voter contre la confiance.

Matignon espérait peut-être trouver un compromis avec le Parti socialiste. Mais « les socialistes voteront contre la confiance » à François Bayrou, a tranché aussitôt leur patron Olivier Faure.

Les partisans du gouvernement s’accrochent encore mardi à l’espoir d’un revirement des socialistes d’avis d’ici le 8 septembre.

« Nous sommes à la bataille dans un travail de conviction pour avoir cette majorité le 8 septembre », a plaidé le ministre de l’Economie Eric Lombard sur France inter, assurant « qu’il y a évidemment une marge de négociation sur le partage de l’effort » des 44 milliards d’économies voulues par François Bayrou.

« Tout parti politique qui aujourd’hui aspire à gouverner notre pays ne peut pas refuser de réduire la dette », a plaidé la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet sur TF1.

Mais, sauf coup de théâtre, ces oppositions conjuguées assurent que la France sera virtuellement sans gouvernement dans deux semaines. Un nouveau rebondissement dans l’instabilité politique provoquée par la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, qui risque d’ouvrir une phase de turbulences financières.

07h44: François Bayrou a annoncé, hier, qu'il engagerait ce jour-là la responsabilité de son gouvernement sur la maîtrise des finances. Mais les positions exprimées par les oppositions semblent vouer le gouvernement à la chute dans deux semaines.

La France insoumise (LFI), qui avait déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure le 23 septembre, a fait savoir qu'elle se mobiliserait pour faire tomber le gouvernement Bayrou. Le Premier ministre "préfère choisir lui-même sa date de départ", a ironisé la cheffe de file des députés LFI à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot. "Bien évidemment, nous voterons pour faire tomber Bayrou et son gouvernement", a-t-elle affirmé devant la presse.

Première force à l'Assemblée nationale, le Rassemblement national (RN) a aussi indiqué, par la voix de son président Jordan Bardella, qu'il ne voterait pas la confiance dans le gouvernement. "François Bayrou vient d’annoncer la fin de son gouvernement, miné par son immobilisme satisfait. Jamais le RN ne votera la confiance à un gouvernement dont les choix font souffrir le peuple français", a écrit Jordan Bardella sur le réseau social X.

Les socialistes, sur lesquels compte Matignon pour trouver d'éventuelles voies de compromis, n'entendent pas venir au secours du gouvernement. Le patron du PS, Olivier Faure, juge "inimaginable que les socialistes votent la confiance au Premier ministre" François Bayrou, qui "a fait le choix de partir", considère-t-il dans un entretien au Monde publié lundi soir.

Le premier secrétaire du Parti socialiste estime que la décision de François Bayrou de demander la confiance à l'Assemblée nationale le 8 septembre "est une autodissolution. Il pense le faire avec le panache de quelqu'un qui envisage une autre étape de sa vie politique".

Sur TF1 ensuite, Olivier Faure a indiqué que le PS allait présenter dans les prochains jours un projet de budget alternatif. "Nous verrons quelle est la réponse de l'exécutif, mais je n'ai pas beaucoup de doutes à cet endroit puisque la réalité, c'est que François Bayrou voudrait dissocier les deux votes. Un vote le 8 septembre où on lui accorderait la confiance, et à partir de là, on aurait un débat sur les mesures. Mais tout est lié", a ajouté Olivier Faure.

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Vos réactions

Portrait de stylo07
27/août/2025 - 09h17

Maintenant ils vont faire peur au peuple c'est la méthode Macron  !!!!!

Ils mentent sans cesse c'est pitoyable !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Portrait de morbac103
27/août/2025 - 03h31

Ok. Donc demain : éteindre TV. 20H00.

Merci. 

Ps : 26 ème censure chez les défenseurs de la liberté d'expression. La deuxième aujourd'hui. Pourquoi vous luttez les gars ? Sérieusement. Je serais toujours là. Je dirai toujours ce que j'ai envie. Pourquoi lutter ?

Portrait de Amandecroquante
26/août/2025 - 23h16

Après la chaos viendra la renaissance

Portrait de bergil
26/août/2025 - 20h53
Sandor Sovosst a écrit :

Un simple esclavagiste qui est mandaté pour essorer la classe moyenne jusqu'à la mort.

Merci à la modération de ne pas effacer mon commentaire.

Toujours la même rengaine !

Portrait de MICMAH458
26/août/2025 - 20h25

Et voilà, bayrou en est très exactement au même point que lors des votes demandés à la population : il a tellement peur de perdre sa très bonne place (et il faut croire qu'elle est très bonne vu le mal qu'ils se donnent tous pour y arriver et pour la garder) qu'il fait la tournée des médias afin de racler les fonds de tiroirs pour ne pas être désavoué par les députés et leur motion de censure, avec toujours la même stratégie de faire peur, à laquelle plus personne d'ailleurs ne croit, à savoir : 

"Si vous ne votez pas pour moi, alors ce sera le chaos, la catastrophe terrible et définitive, le désordre absolu, l'effondrement des Bourses et le retour des 10 fléaux qui vont détruire le pays (comme en Egypte, genre invasion des moustiques, des sauterelles et la météo qui provoquera des cataclysmes), bref l'apocalypse et la fin de  l'humanité.  Tout cela ne sont évidemment que des mensonges de la part de ces menteurs professionnels, parce qu'ils se succèdent à un rythme infernal (le turn-over chez le politique est très élevé) et pourtant rien de dramatique ne se passe jamais.  Cela continue à tourner avec de nouvelles têtes et les institutions fonctionnent toujours, jusqu'au moment ou d'autres viendront les remplacer, et ainsi de suite...

Et quand bayrou nous dira encore et encore que le pays est un bord du surendettement, j'aimerais beaucoup qu'il ait à chaque fois le courage, ou simplement l'honnêteté, de nous rappeler les noms de ceux qui sont responsables de la situation dans laquelle nous sommes, et qui n'ont pas été compétents et en capacité de trouver les solutions adéquates.  Je pense ici à macron, à son expert comptable lemaire, mais aussi à quelques-uns qui sont actuellement dans le gouvernement et qui ont eux aussi une part de responsabilité dans cet échec.

Portrait de B612
26/août/2025 - 19h55

S'il y a un "chaos", ce ne seront pas les élus qui ne votent pas la confiance (ou son budget) qui en seront responsables, ni les français qui protestent (ce qu'ils ont le droit de faire d'ailleurs).

Le responsable sera celui qui prévoit de présenter un budget dont l'effort est surtout supporté par les classes moyennes et modestes qui n'y arrivent déjà plus, qui ne pouvait que braquer l'opinion publique et ne pas faire consensus à l'Assemblée Nationale. Résultat : protestation.

Qui se permet ensuite de culpabiliser les français et de faire du chantage pour que la confiance en son gouvernement dont il a prévu le vote deux jours avant un mouvement social soit votée.

Au risque de laisser un mouvement social sans Premier Ministre ni Gouvernement en face, situation inédite dans ce pays. Qui pourrait plonger davantage dans l'instabilité politique en cas de dissolution.

Portrait de cbor33500
26/août/2025 - 18h28

prêt à ramasser la savonnette pour obtenir la confiance des députés et appliquer son plan pourri !!! Dans quelques jours, il va réduire à 1 seul jour férié travaillé au lieu de 2 !!!!!

Portrait de KawahIjen
26/août/2025 - 18h06

recette de l etat 500 milliards ?? les mecs sont incapable de reduire de 10% pour recuperer 50 millliards  , c est comme nous si on gagnait 1500 euro pas capable de reduire pour  avoir  150 euro en fin de mois  , la honte

Portrait de stylo07
26/août/2025 - 18h05
Dragon13127 a écrit :

ce n'est pas aux plus riches ni aux français moyens de combler la dette mais au gouvernement et à Macron. Supprimons les avantages aux anciens élus ainsi que les voitures de fonction lors des déplacements privés ainsi que les institutions cour des comptes , conseil constitutionnel , sénat , CMU , AME. Supprimons de donner de l'argent à certains pays tel que l' Ukraine , l'Algérie etc. Et refusons les migrants sauf ceux choisis. Et la France ira mieux.

Voilà tout est dit !!

Portrait de Dragon13127
26/août/2025 - 17h01 - depuis l'application mobile

ce n'est pas aux plus riches ni aux français moyens de combler la dette mais au gouvernement et à Macron. Supprimons les avantages aux anciens élus ainsi que les voitures de fonction lors des déplacements privés ainsi que les institutions cour des comptes , conseil constitutionnel , sénat , CMU , AME. Supprimons de donner de l'argent à certains pays tel que l' Ukraine , l'Algérie etc. Et refusons les migrants sauf ceux choisis. Et la France ira mieux.

Portrait de stylo07
26/août/2025 - 18h05

Paroles paroles et paroles ......il ne m'inspire plus du tout confiance  

S'il voulait il peut trouver  l'argent  mais il faut du courage 

Pour redresser le pays il faut un Président qui ait du Courage  un homme Juste Honnête qui ne pense pas à lui  ,  un homme ou une femme qui ne soit pas déconnecté qui connait la base 

Portrait de KawahIjen
26/août/2025 - 16h44

voleur de jour feriéssss !!!

Portrait de Yeto
26/août/2025 - 16h41

Et les politiques (de tous bords) qui touchent depuis des années (n'est-ce pas Merluche !!) et qui toucheront jusqu'à la fin SANS RIEN FAIRE...... ils vont donner, eux ????

Portrait de MacPhisto
26/août/2025 - 16h36

Les LR sont vivants, hallelujah!

On ne les entendait plus depuis des années...

Portrait de bergil
26/août/2025 - 16h29
stylo07 a écrit :

Bayrou est calculateur il sait très bien qu'il allait partir et ce n'est pas innocent    ... on va parler de lui plus tard ........

Macron va encore le nommer à un poste important comme celui ce haut commissaire où il est resté 4 ans sans rien foutre !

Portrait de camille352
26/août/2025 - 16h04

Je sens l'arnaque depuis le début.

Il "promet" des trucs qu'il ne tiendra pas. Si les députés croient cela et adhèrent à ses fausses carabistouilles, une fois le vote de confiance validé, bah on est mangé tout cru ! On aura plus que nos yeux pour pleurer. Car dans ce budget, il aura une autoroute pour nous étrangler de tous les côtés, puisque ce sera signé.

Portrait de Exmona
26/août/2025 - 16h04

Allez papy, hop dégage à la retraite. 

Portrait de MICMAH458
26/août/2025 - 15h13

Et toujours le même discours éculé, juste pour faire peur et tenter de garder leurs places qui doivent être tellement bonnes et confortables, vu le mal qu'ils se donnent pour ne pas partir : si vous ne votez pas pour moi, alors ce sera le chaos, la catastrophe nationale, le désordre absolu, les bourses vont s'effondrer, l'apocalypse et la fin de tout.  Et ce ne sont que des mensonges de la part de ces menteurs professionnels, parce qu'ils se succèdent à un rythme effréné (le turn-over chez le politique est très élevé) et pourtant rien de dramatique ne se passe jamais.  Cela continue à tourner avec de nouvelles têtes et les institutions fonctionnent toujours, jusqu'au moment ou d'autres viendront les remplacer, et ainsi de suite...

Portrait de stylo07
26/août/2025 - 14h42

Bayrou est calculateur il sait très bien qu'il allait partir et ce n'est pas innocent    ... on va parler de lui plus tard ........

Portrait de Troubled Sandor
26/août/2025 - 13h32

Combien vous pariez que les socialistes vont s'abstenir ?

Ces gauchistes veulent toujours plus de taxes pour voler le fric.

Portrait de djelloul
26/août/2025 - 12h21

les LR voteront mais ca suffira pas Dsl

Portrait de stylo07
26/août/2025 - 11h47

Je ne pense pas que tous les LR voteront la confiance à Bayrou

Portrait de Touché01
26/août/2025 - 11h15

ne voteront pas la confiance ...

Et l'abstention, elle est comptabilisée comment ? Parce que ne pas voter la confiance peut aussi s'exprimer par l'abstention !

Elle est comptabilisée comme un vote "dégage !", ou comme un vote "reste !" ?

Portrait de KawahIjen
26/août/2025 - 10h32

et ? bayrou va prendre sa retraite de 1 ier ministre et tout ses avantages , ,et hop un nouveau 1ier ministre  , et 1 retraite a payé et avantage pour ce nouvo