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La Préfecture de Police de Paris semble avoir trouvé le moyen de stopper les soirées sexuelles "Gang Bang" dans le XVe, où une femme volontaire se retrouve avec plusieurs hommes

A Paris, dans le XVe, la rue d’Alleray, est le théâtre de soirée "Gang Bang" depuis plusieurs mois, comme le Parisien l'avait révélé en relayant la colère des riverains. Lors de cette soirée organisée 3 fois par semaine, une femme volontaire et différente ) chaque fois, se retrouve au centre de l'attention de plusieurs hommes qui défilent les uns après les autres, seuls ou à plusieurs.

La prix de l'entrée est fixé à 80 euros et si chacun semble y trouver son compte, les riverains dénoncent les nuisances que provoquent ces soirées.

Sur le plan légal, la justice n'a rien à dire sur ces soirées puisque tous les participants sont volontaires et majeurs. Une légalité qui désespérait les riverains, mais la Préfecture semble avoir trouver une faille qui concerne non pas les actes sexuels, mais l'accueil du public.

Le Parisien raconte en effet que victime de son succès, les organisateurs qui restent anonyme ambitionnait d’augmenter la jauge d’accueil de ses « gang bangs ». L’organisateur avait alors annoncé à ses clients, en février dernier, avoir « déposé un dossier en préfecture » en ce sens

Mais dans une lettre envoyée cette semaine, la préfecture de police de Paris « a informé l’exploitant du refus de sa demande de dérogation d’accessibilité et, en conséquence, de l’interdiction d’accueil du public dans son établissement.

Le seul événement encore annoncé sur le site au 6 septembre est donc annulé.

Mais l'organisateur ne semble pas démoralisé par ces décisions, puisque Le Parisien révèle que l'on peur lire que les activités reprendront "aux alentours de novembre, voire plus tôt si on s’en sort bien  après une dernière soirée avec Esme, superbe femme caucasienne, mince, d’une élégance rare et d’une perversion douce  accompagnée de «4 hommes européens, caucasiens, entre 30 et 45 ans pour un superbe gang bang."

Soirée Gang Bang selon Wikipedia 

"De nos jours, des « soirées gang bang » sont proposées dans des clubs échangistes ou libertins et les soirées privées, parfois même organisées à la demande d'une femme dont c'est le fantasme, précisant ses souhaits en termes de scénario, de pratiques, de nombre et de profil des participants.

Contrairement à une idée reçue, le fantasme du gang bang, assez répandu chez les hommes qui sont parfois impressionnés au point de perdre leurs moyens une fois au pied du mur ; ce fantasme l'est aussi chez les femmes, celles qui apprécient d'être le centre de l'attention ainsi que le sentiment de puissance que leur donne le fait de montrer qu'elles sont capables "d'achever" les nombreux hommes à une "contre" plusieurs.

Cependant, les plus grands gang bangs hétérosexuels de nos jours sont réalisés par des actrices de films pornographiques, où la pratique vise le record de partenaires.

La pionnière de ce sous-genre est Annabel Chong, qui établit le record du monde en 1995 dans le film The World's Biggest Gang Bang (251 rapports sexuels avec 80 hommes différents)."

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Vos réactions

Portrait de Talya
10/août/2025 - 09h25
le phénix renaît toujours de ses cendres. a écrit :

Quelque chose m’échappe : pourquoi payer pour un gang bang ? C’est tellement facile à mettre en place, gratuitement en plus, il suffit d’inviter quelques mecs en manque et 1fille qui s’ennuie un dimanche après-midi. À croire que l’organisation logistique d’un sandwich humain nécessite un budget de production hollywoodien. Peut-être que le ticket d’entrée inclut le service traiteur et les serviettes personnalisées, qui sait. Ou alors c’est juste pour l’illusion romantique de consommer du vice en version premium, avec facturation et reçu fiscal. Dans tous les cas, ça reste l’unique “soirée privée” où l’on peut repartir avec plus de souvenirs que de vêtements

Je pense la même chose que vous, c'est une perversion à but commercial. Le soi-disant "fantasme" de certaines femmes a bon dos, elles sont comme toujours exploitées par des hommes qui organisent et qui consomment du vice. Ce sont le plus souvent des femmes exploitées par l'industrie pornographique. Au niveau sanitaire, payer n'empêche ni la transmission des MST, ni des virus, ni la souffrance du corps des femmes face à la brutalité de plusieurs hommes. Tout cela n'est pas soft, ni physiquement, ni psychologiquement. 

Portrait de Talya
10/août/2025 - 09h24
le phénix renaît toujours de ses cendres. a écrit :

Quelque chose m’échappe : pourquoi payer pour un gang bang ? C’est tellement facile à mettre en place, gratuitement en plus, il suffit d’inviter quelques mecs en manque et 1fille qui s’ennuie un dimanche après-midi. À croire que l’organisation logistique d’un sandwich humain nécessite un budget de production hollywoodien. Peut-être que le ticket d’entrée inclut le service traiteur et les serviettes personnalisées, qui sait. Ou alors c’est juste pour l’illusion romantique de consommer du vice en version premium, avec facturation et reçu fiscal. Dans tous les cas, ça reste l’unique “soirée privée” où l’on peut repartir avec plus de souvenirs que de vêtements

Je pense la même chose que vous, c'est une perversion à but commercial. Le soi-disant "fantasme" de certaines femmes a bon dos, elles sont comme toujours exploitées par des hommes qui organisent et qui consomment du vice. Ce sont le plus souvent des femmes exploitées par l'industrie pornographique. Au niveau sanitaire, payer n'empêche ni la transmission des MST, ni des virus, ni la souffrance du corps des femmes face à la brutalité de plusieurs hommes. Tout cela n'est pas soft, ni physiquement, ni psychologiquement. 

Portrait de le phénix renaît toujours de ses cendres.
10/août/2025 - 09h14

Quelque chose m’échappe : pourquoi payer pour un gang bang ? C’est tellement facile à mettre en place, gratuitement en plus, il suffit d’inviter quelques mecs en manque et 1fille qui s’ennuie un dimanche après-midi. À croire que l’organisation logistique d’un sandwich humain nécessite un budget de production hollywoodien. Peut-être que le ticket d’entrée inclut le service traiteur et les serviettes personnalisées, qui sait. Ou alors c’est juste pour l’illusion romantique de consommer du vice en version premium, avec facturation et reçu fiscal. Dans tous les cas, ça reste l’unique “soirée privée” où l’on peut repartir avec plus de souvenirs que de vêtements

Portrait de danyh
9/août/2025 - 17h13

On s'en bat les c.......les

Portrait de garlaban
9/août/2025 - 15h52

Il suffit que le lieu du gang bang soit aussi un point de deal pro-Hamas et la préfecture les laissera tranquille.

Portrait de le phénix renaît toujours de ses cendres.
9/août/2025 - 14h18

 chacun fait ce qu il veut de ses fesses

Portrait de Party People
9/août/2025 - 13h19

Et oui, ces communistes veulent aussi vous interdire de fourrer la dinde.

Une seule solution : adieu la gauche.

Portrait de Bigpower
9/août/2025 - 13h03
Ma vision des choses a écrit :

La préfecture de police semble plus facilement empêcher les soirées gang bang (entre adultes consentants) que les points de deal (qui gênent aussi les riverains du reste)...

C'est clair.   La préfecture semble avoir le zèle sélectif...

Portrait de Un Black ou rien
9/août/2025 - 12h53

Très instructif.

Portrait de Ma vision des choses
9/août/2025 - 12h23

La préfecture de police semble plus facilement empêcher les soirées gang bang (entre adultes consentants) que les points de deal (qui gênent aussi les riverains du reste)...