
Une femme qui a tué son grand-père grabataire de 95 ans en mettant le feu à son lit et plaidé un «geste d'amour» pour abréger ses souffrances, a été condamnée en appel à cinq ans de prison, dont un an ferme, par la cour d'assises de l'Ain.
La peine d'un an ferme sera toutefois aménagée en détention à domicile avec un bracelet électronique, a précisé la cour, pour qui les faits «d'une extrême gravité» ne sont «nullement une démarche raisonnée d'euthanasie».
Le parquet avait requis quinze ans de réclusion, la même peine que celle réclamée en première instance, où la jeune femme avait été condamnée à cinq ans de prison avec sursis.
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