
Agressions sexuelles, coups de couteau et jets de projectiles sur les policiers ont rythmé la Fête de la musique, "marquée par une affluence inédite dans Paris avec une foule considérable principalement sur le secteur canal Saint-Martin et le centre de Paris", a affirmé le parquet de Paris. A Paris, le parquet recensait dimanche à midi "une centaine de gardes à vue" essentiellement pour "violences volontaires, notamment sur (personne dépositaire de l'autorité publique), vols, ports d'arme prohibé, dégradations volontaires, vente à la sauvette".
Le quartier des Halles, dans le centre, "a été particulièrement problématique" avec un "public hostile et deux tentatives de pillage de magasins (Nike et Sephora)", a détaillé le parquet. Un quartier qui les soirs de fête semble devenus peu fréquentable.
Le bilan est effrayant avec 1.500 blessés dont 14 grèves, 13 membres des forces de l’ordre ont été touchées, des dizaines de femmes ont été victimes de piqûres dans la foule, 51 voitures ont été brûlées, 39 incendies ont été allumés sur la voie publique.
Et pendant cette soirée de fête de la musique des dizaines de personnes ont été victimes de piqûres dans la foule alors qu’elles faisaient la fête. Plus d’une centaine de cas ont été recensés à travers la France. On ne sait pas ce qui était dans les seringues.
A Paris, trois enquêtes ont été ouvertes après qu'une adolescente de 15 ans, un jeune de 18 ans et une femme ont signalé avoir été victimes de piqûres dans trois lieux différents de la capitale. Tous les trois ont été pris de malaises. La préfecture de police de Paris a relevé 21 cas en Île-de-France, dont 13 à Paris.
Vos réactions
Il n'y a rien à comprendre avec ces racailles décérébrées... Ce sont des cas désespérés qu'il faut mettre hors d'état de nuire sans discuter. Virer du pays tous ceux qui peuvent l'être, en tous les autres au bagne ! Tant que certains feront les gentils en essayant de comprendre, ce sera de pire en pire...
"Pourquoi font-ils ça ?" ... Tant qu'on se pose cette question, on est encore dans le déni et la repentance. Agis, défends-toi au lieu de pleurer.
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