
Il n’est « pas prévu » que Gabriel Attal soit candidat aux élections municipales à Paris en 2026, a déclaré lundi l’ancien Premier ministre, répétant que Renaissance choisirait sa tête de liste pour la capitale « cet été ». « C’est pas prévu, non », a répondu M. Attal lundi, interrogé sur France Inter.
« Aujourd’hui, je suis à la tête de mon parti, je cherche à reconstruire ma famille politique », a-t-il précisé. « Ma ligne, c’est de faire en sorte qu’on puisse agir dans les deux ans qui viennent (...) et à préparer évidemment un projet pour le pays », a développé le secrétaire général de Renaissance.
« On n’a pas pris la décision encore de la personnalité qu’on soutiendrait à Paris », a également déclaré M. Attal. Rachida Dati est-elle la meilleure candidate ? « On répondra à cette question cet été ». Renaissance a désigné jeudi vingt « pilotes » dans vingt villes pour les municipales de 2026. « On a une boussole (...) c’est comment on est le plus utile.
Dans un certain nombre de cas ça voudra dire se présenter sous nos propres couleurs, avec des personnalités issues de Renaissance, qui ont travaillé à un projet. Je pense à Thomas Cazenave à Bordeaux, à Violette Spillebout à Lille, et à d’autres », a indiqué Gabriel Attal.
« Dans d’autres cas, ça sera de se mettre derrière un maire sortant ou une maire sortante, parce qu’il a bien travaillé, parce qu’il a des valeurs qui sont les nôtres, parce qu’il a des projets qui se rapprochent des nôtres ». Maire sortant qui pourrait être des Républicains (LR), « ou socialiste », a-t-il précisé.
« Et parfois, ça sera se mettre derrière une personnalité qui n’est pas de notre parti mais qui peut incarner l’alternance mieux que nous », a ajouté M. Attal. Interrogé sur l’hypothèse Jean-Michel Aulas à Lyon, l’ancien Premier ministre a répondu: « on va travailler, réfléchir à un éventuel soutien, mais on n’en n’est pas là aujourd’hui ».
Vos réactions
Ce type ne doit pas croire lui-même en ce qu'il dit. Et s'il dément être candidat à quoi que ce soit, c'est qu'il le sera, parce qu'il a pris l'habitude de changer de job tous les 8 mois. Ce qui fait qu'il ouvre un tas de dossiers, qu'il classe ensuite dans un tiroir ou qu'il refile à son successeur, puisque lui n'a jamais le temps d'aller au fond des choses car ses ambitions politiques le mènent toujours à d'autres postes qu'il juge plus prestigieux (ou plus utiles à sa carrière).
Les ministres, il passe de la santé à l'agriculture puis à l'éducation nationale et à la défense sans rien connaître
Pour un travail il faut un diplôme...il n'a rien !
petit parasite
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