olivier minne 
Neuf millions d'euros pour aider à "sauver" le fort Boyard, emblématique édifice militaire devenu décor de télévision: c'est l'objectif de la collecte de dons lancée mardi par le Conseil départemental de la Charente-Maritime, en partenariat avec la Fondation du patrimoine. Au total, "il faut 36,6 millions d'euros hors taxe pour sauver" ce monument du XIXe siècle fragilisé par les assauts de l'océan Atlantique, a rappelé Ghislaine Guillen, codirigeante du projet "Sauvons le fort Boyard" et élue au conseil départemental, propriétaire du site depuis 1989.
Les trois quarts de cette somme sont déjà répartis: le Département va financer 21,6 millions d'euros hors taxe et 6 millions d'euros proviendront du Conseil d'architecture d'urbanisme et de l'environnement de la Charente-Maritime (CAUE) et du contrat de plan Etat - Région.
Il reste donc 9 millions d'euros à trouver. "Nous allons mobiliser la population locale, le grand public et le mécénat d'entreprise", a assuré Alexandre Giularis, le directeur général de la Fondation du Patrimoine, avec qui le Département a signé une convention.
Si les dons dépassaient cette somme, l'argent servirait alors à réparer le fort lui-même, car des pierres se désolidarisent et des fissures se sont faites jour. Ces réparations ne sont pas encore budgétées.
Les travaux, pour lesquels le Département a voté au printemps une autorisation atteignant 44 millions d'euros en tenant compte des taxes, débuteront à l'été 2025 et devraient s'achever en 2028.
Bâti entre 1803 et 1857, ancien ouvrage militaire devenu prison entre l'île d'Oléron et l'île d'Aix, le fort Boyard était tombé en déshérence avant d'être inscrit aux monuments historiques.
Racheté en 1988 par Jacques Antoine, producteur de jeux télévisés, il est cédé l'année suivante au département pour un franc symbolique, à charge pour ce dernier d'assurer son entretien.
L'émission "Fort Boyard", lancée en 1990 en France, a donné lieu à plus de 1.500 épisodes de ce jeu télévisé à succès dans une quarantaine de pays, faisant du fort une vedette.
Toute l'année, des sorties en mer emmènent des milliers de personnes admirer la silhouette ovale du monument de 68 mètres sur 31, qui n'est approchable que par bateau ou hélicoptère. Après les travaux, le grand public pourra visiter le fort Boyard par petits groupes d'environ 25 personnes. Le prix de la visite n'est pas encore déterminé.
olivier minne fort boyard willy rovelli Emmanuel Macron journaliste
Vos réactions
Avec les gauchos, ce n'est jamais le bon moment, jamais le bon endroit de soulever les problèmes à la source. Votre question ne se limite pas qu'à Fort Boyard. C'est que la France n'a pas d'argent pour entretenir son patrimoine qui tombe en délabrement. Les Français sont les plus taxés du monde, parmi les plus endettés du monde, et eux ne voient toujours pas quel lien pourrait-il y avoir avec les dépenses en dizaines de milliards CHAQUE ANNEE depuis 40 ans et à fond perdu dans l'immigration.
voila qq chose de factuel.... ca change des coms qui n'exposent que des croyances... des préjugés... des idéologies
T'as qu'à demander à ton Conseil Départemental comment va leur budget d'Aide Sociale à l'Enfance qui doit héberger des faux mineurs clandestins au lieu de servir à protéger des Français mineurs en danger immédiat. La préférence afro-islamique et l'anti-France ça a des conséquences que tu pourras nier de toutes tes forces en vain.
Rien qu'en dégageant les clandestins de 2 centres, ceux de Saintes et de Corme-Ecluse que je connais, 500 migrants au total, on pourrait économiser 25 000 000 d'euros CHAQUE année. Chaque clandestin coûte en moyenne 50 000 euros à la collectivité. Il y a forcément d'autres centres encore à vider du côté de la Rochelle ou plus au Sud vers Pons/Mirambeau.
On ne peut pas se coltiner de l'immigration en masse ET espérer investir aussi dans les hôpitaux, mieux rembourser les soins des affections longue durée, acheter des scanners et IRM qui manquent, réparer nos ponts et routes, sauver nos monuments historiques, nos églises, ... La gauche et l'Union Européenne ont choisi, ce sera l'immigration d'abord.
et les producteurs qui se sont enrichis avec le Fort Boyard, pour on ne leur demande rien ?
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