
L'ancienne candidate de téléréalité Milla Jasmine, influenceuse basée à Dubaï, doit "cesser" des pratiques commerciales jugées trompeuses sur ses comptes Instagram, Tik Tok et Snapchat, a indiqué la Répression des fraudes (DGCCRF), un service du ministère de l'Economie.
La Direction départementale de la protection des populations de Paris a enquêté sur les pratiques d'une société, Gold Mind FZE, et de sa dirigeante "connue sous le pseudonyme Milla Jasmine", et a relevé des pratiques commerciales trompeuses, indique la DGCCRF sur son site internet.
En l'occurrence, Milla Jasmine, ancienne candidate de l'émission de téléréalité "Les Princes de l'amour 3", diffusée en 2015, n'a pas indiqué "le caractère publicitaire" de "posts, publications et stories" sur ses différents comptes, alors qu'elle recevait "une rémunération ou toute autre contrepartie de la part d'un annonceur", indique la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes.
"L'absence de cette indication peut laisser croire (...) que la recommandation est faite sous l'angle de l'expérience personnelle plutôt que celui d'une publicité rémunérée", ce qui revient à tromper le consommateur.
La Répression des fraudes, qui a pris une mesure d'injonction administrative, n'a pas précisé qui était l'annonceur qui avait rémunéré ou offert une contrepartie à l'influenceuse en échange de publications.
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