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11h51: Les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat ont annoncé ce mardi 15 octobre qu'ils proposeraient de renoncer à l'augmentation de la dotation de l'Etat aux deux chambres du Parlement dans le budget 2025, avec l'ambition de "participer à l'effort" de redressement des comptes publics.
Dans un communiqué commun, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher estiment "normal et indispensable que les deux assemblées participent à l'effort demandé à tous pour redresser les finances publiques de notre pays", alors que le projet de budget du gouvernement prévoyait l'indexation de la dotation du Parlement sur le taux d'inflation, soit 1,7%.
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11h30: L'Elysée ne demandera pas une hausse de sa dotation pour 2025, a fait savoir ce mardi 15 octobre la présidence après la polémique suscitée par l'augmentation de son budget de 2,5% prévue dans le projet de loi de finances.
Alors que "le gouvernement a annoncé de nombreuses économies", "le chef de l'Etat souhaite que la présidence de la République donne l'exemple", a ajouté l'Elysée dans un communiqué.
Les crédits de la présidence devaient passer de 122,6 millions d'euros à 125,7 millions, soit une augmentation supérieure à la hausse globale des prix prévue en 2025 par le projet de budget (1,8% d'inflation moyenne).
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Vos réactions
Macron anticipe un refus des députés , il donne l'exemple de rien du tout , de toute façon le budget c'est juste un previsionnel rien ne dit qu'il sera respecté , on sait trés bien que ça va dépasser
Ils ne comprennent pas !!! Ils ont un train de vie grandiose l'argent coule à flot chauffeur appartement restaurant chic etc ...... etc ....... Le peuple est dans la misère ça ne les touchent pas
Ces gens se sont mis dans la politique parce que ça rapporte
Et oui, les places sont tellement bonnes qu'ils se battent entre eux, quitte à se faire des saloperies, pour obtenir ces postes toujours bien rémunérés, cela va de soi, ou sinon ils n'iraient pas. Et qu'aucun de ces privilégiés ne vienne plus nous dire "j'ai fait ce choix pour servir mon pays, car je gagnerais mieux ma vie en dehors de la politique", on n'accorde plus de crédit à ces boni-menteurs professionnels.
Et donc, parmi tous ces gros malins, ces multi-diplômés, ces têtes intelligentes formées dans les plus grandes écoles, entourés d'un tas d'experts et de conseillers en communication, il n'y en a pas un qui s'est dit, à un moment donné, que ce genre de déclaration (augmentation des budgets de l'Elysée, de l'Assemblée nationale et du Sénat) était une absurdité par les temps qui courent, alors que l'on annonce des restrictions qui devront être supportées par tous les français ? Pas un de ces "élites" pour se dire que le message était désastreux et ne pouvait que soulever un tollé général de la population ? Il aura fallu que des protestations s'élèvent pour que ces grands penseurs fassent machine arrière, en démontrant une fois de plus leur incapacité à gérer un pays. On peut légitimement penser qu'ils ont tenté le coup, et que si cela avait une chance de passer, ils en auraient profité. J'ajoute également que, même comme ça, ce n'est toujours pas juste : les français doivent fournir un effort en faisant des économies, alors que ces nantis suceurs de fric de nos impôts, eux, se contentent de ne pas augmenter leurs dotations alors qu'ils devraient en réalité les réduire, pour être en phase avec la population.
Le Sénat de l'Assemblée se sont largement engraissés en 2023 en s'attribuant généreusement 700 euros pour les 1ers et 200 euros pour les députés.
Quelle honte !
Toujours pas une baisse en vue. S'il faut baisser pour l'éducation nationale et pour la santé, c'est certainement à prévoir aussi à l'Élysée.
Quelle spontanéité !
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