
Ce matin, Yona et Anaïs, membres du collectif Némésis, étaient les invitées de Jean-Marc Morandini dans "Morandini Live" sur CNews. En exclusivité, elles ont témoigné après avoir été frappées et attaquées lors de la manifestation anti RN qui s'est déroulée hier soir à République (Paris).
"On voulait dénoncer l'investiture de certains candidats, notamment de la LFI, lors de ces élections législatives. Notamment Raphaël Arnault, qui a menacé de mort notre présidente Alice Cordier. C'est ça qu'on a voulu dénoncer. On était présent de manière pacifique avec des pancartes", ont-elles déclaré.
Et d'ajouter : "On a été attaquées sans avoir eu le temps de discuter. On a été violemment bousculées, alors qu'on a simplement sorti des pancartes, par des hommes et par des femmes. Ils étaient très très violents".
"On s'est infiltrées dans la manifestation avec le service d'ordre, qui était là pour nous protéger en cas de violence. On a une de nos militantes qui a été à l'hôpital. Elle a pris des coups ultra violents sur le haut du crane. Elle est sortie, elle va bien. Un militant d'extrême gauche a sauté à pieds joints sur un des membres de notre sécurité", ont poursuivi Yona et Anaïs.
"On a pu voir Sophie Binet [secrétaire générale de la CGT, ndlr] qui a dit 'félicitations' alors qu'on était en train de se faire lyncher devant ses yeux et devant les yeux des militants d'extrême gauche. Les gens nous ont sautées dessus. C'était de l'hystérie pure. Dans leurs yeux, on voyait une haine viscérale. C'était nous qu'ils voulaient attaquer", ont continué les deux jeunes femmes.
"Le service d'ordre a essayé de nous protéger. C'était invraisemblable. On était en état de choc hier, maintenant ça va mieux. On a été sorti par notre service d'ordre. On s'est dispatché, on était neuf filles. C'était assez violent. On a dû courir car certains était en train de nous courir après", ont déclaré Yona et Anaïs en précisant "on ne sait plus quoi faire pour dénoncer l'inaction et hypocrisie de la gauche".
Vos réactions
Ces gauchistes, hommes ou femmes sont à vomir !
des femmes courageuses frappes à terre par des hommes de gauche humanistes et féministe - ON SE FOUTRAIT PAS DE NOS GUEULE A GAUCHE - HYPOCRITE - vous êtes de vrais fachos de gauche - la démocratie vous vous en foutez - les gens de droite sont patriotes et humbles - vous traitez tout le monde de facho des qu'on est pas d accord avec vous - regardez vous en face - gens de gauche , vous ne valez pas mieux que les nazis , en tout cas vous en prenez la direction
Toujours ce chiffre trompeur. On parle de 28 personnes de nationalité étrangères sur les 36 personnes interpelées pour viol en 2023 à Paris.
Sachant que ça occulte tous les viols commis dans le cercle familial qui sont ultra majoritaires et ceux qui ne sont pas élucidés.
C'est 36 de trop, mais ils n'ont aucune valeur statistique.
Répéter sans cesse ce chiffre est malhonnête intellectuellement.
Les chiffres sont effectivement trompeurs parce-qu'il y'a des naturalisés dedans
Toujours ce chiffre trompeur. On parle de 28 personnes de nationalité étrangères sur les 36 personnes interpelées pour viol en 2023 à Paris.
Sachant que ça occulte tous les viols commis dans le cercle familial qui sont ultra majoritaires et ceux qui ne sont pas élucidés.
C'est 36 de trop, mais ils n'ont aucune valeur statistique.
Répéter sans cesse ce chiffre est malhonnête intellectuellement.
Sauf que même dans les viols de cercle familial à Paris, encore 58% des cas sont étrangers ou d'origine étrangère. Dans le rapport SSMSI, il faut tourner les pages coco, pas découper les paragraphes comme si t'étais encore à la maternelle.
Simplement leur discours qui tend à rendre responsable les étrangers de tous les maux possibles sous prétexte de défendre les femmes.
Bah les faits sont là, toutes les études en Europe le prouvent
Des panneaux contre Pannot ... fallait pas tomber dans le panneau !
En bon gauchiste vous êtes contre la liberté d'expression ?
J'attends avec impatience quand un black bloc ou un gauchiste se fera agresser dans une manif de droite !
Pas un mot contre vos congénères qui frappent des femmes donc qui ne dit mot...
Vous êtes des lâches !
Non, je ne suis pas gauchiste. Je remarque simplement que nous avons une culture de la violence en France qui pose problème dans les moments de tension sociale. On l’a vu avec les Gilets Jaunes, avec des scènes dignes de pays totalitaires ! En l’occurrence, la violence est venue des manifestants de gauche cette fois-ci.
Quand on voit, par exemple, comment la police en Angleterre maintient l’ordre, ça n’a vraiment rien à voir avec chez nous !
Je suis pour l’ordre, mais je remarque que notre culture française (de toutes parts : black blocs, CRS*…) est problématique, empreinte de violence, sur les manifestations et autres mouvements dits sociaux. On n’a pas appris suffisamment à dialoguer, à écouter l’autre qui ne pense pas comme soi-même, à faire des compromis (cf. la serie d’exclusions a LFI, Reconquête, LR et avant au RN…) contrairement à l’Allemagne par exemple.
*) les gendarmes y compris les gendarmes mobiles, militaires, ont une doctrine davantage intelligente
Alors, résumons : il y a une manif anti-RN avec forcément des gens très « militants« dedans. Les femmes du Collectif Némésis viennent s’infiltrer pacifiquement dans cette manifestation avec des pancartes très provocatrices pour LFI. Ça dégénère et les femmes de Némésis sont protégées et exfiltrees par le service d’ordre de la manifestation qui les a protégées. Peut être ne fallait il pas s’infiltrer au départ, non ?
Aux USA, on voit ça, des gens avec des pancartes (qui marchent en file indienne circulaire) devant d’autres gens, ils gueulent leurs slogans mais ça se passe sans heurts au final. Ils ont cette culture de la confrontation pacifique.
En France, pays de la Révolution et des têtes coupées, ça tourne vite à l’affrontement physique direct…
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