
Après son discours aux César, Judith Godrèche prend une nouvelle fois la parole dans le Parisien et revient sur cette soirée et le discours qu'elle a souhaité prononcer ce soir là, face au monde du cinéma, en expliquant que personne ne l'avait lu avant sa montée sur scène, c'était une des conditions, qu'elle avait imposée.
Dans le quotidien, l'actrice revient sur sa motivation de parler sur scène :
"C’était une décision mûrement réfléchie d’accepter de venir incarner ma bataille et ma parole dans ce lieu-là. J’ai beaucoup hésité. C’était très angoissant, j’avais l’impression d’entrer dans une forteresse complètement fermée, d’arriver dans un dîner où certains auraient préféré que je ne sois pas là.
Mais après avoir parlé dans les médias et sur Instagram, il fallait que j’aille au bout de ma démarche. Que je regarde ce milieu droit dans les yeux, lors d’une cérémonie qui célèbre le cinéma français. C’était symboliquement important. (...)
Ceux qui m’ont envoyé des messages se comptent sur les doigts de la main. Il y a un silence que je vis au jour le jour. D’abord, le silence des adultes de l’époque où j’étais adolescente, qui se cachent dans les bois : même si je comprends que ces gens doivent faire face à la culpabilité, à la difficulté de dire les choses, c’est quand même assez stupéfiant.
Ensuite, le silence du milieu du cinéma en général. (...)
J’ai été très touchée par le fait que les gens se lèvent. Mais ce que veut vraiment dire cette standing ovation, on le saura dans les jours qui viennent. Si c’est l’expression d’un sentiment commun, alors ça se traduira par des actes."
Vos réactions
Perso je trouve ça très bien, ce #MeToo2 Avant que les mecs concernés ne meurent (eh oui, ils ont tous 75 ans+, les baby boomers qui avaient 18-20 ans en 1968 !!), c’est bien qu’« ils sachent qu’on sait » ce qu’ils ont fait. Et que ça s’arrête.
Elle s'en merde pas de raconter toute sa life? Je pleins ses enfants.
jacquot, Doillon, Barthélémy, Boon : elle s'est tapée la moitié des réalisateurs français et maintenant elle crache dans la soupe. Quant à Doillon, pour appuyer son propos, elle vient dire que "ça se passait sous les yeux de Jane Birkin"... qui vient de mourir et qui ne pourra plus dire le contraire... J'espère que son avenir au cinéma est derrière elle.
Pas un mot sur ces groupies qui sont prêtes à tout et dès leur plus jeune âge pour approcher, toucher ou plus si affinité leurs idoles dont elles rêvent jour et nuit.
Souvenez-vous à l'époque de Mourousi quand il animait des émissions ou le JT depuis Cannes et les "starlettes" nichons à l'air qui étaient mises en avant un peu partout. Prêtes à tout pour un passage à la TV, un minuscule rôle dans un film, un verre avec une celebrité... Tout le monde sur les plateaux les regardait avec des yeux mi-lubriques, mi-goguenards
En tous les cas elle est rusée car sur le plan professionnel c'est le calme plat pour elle depuis quelques années déjà.
Et dans son discours elle a fait allusion au risque d'être black listée par le milieu du cinéma suite à ce discours.
Ainsi si sa situation reste la même elle pourra invoquer le boycott des producteurs et se victimisera.
Ou si des producteurs, qui veulent paraître, comprehensifs lui donnent un rôle cela lui fera un apport financier qui sera certainement bienvenu.
Pas un mot sur ces groupies qui sont prêtes à tout et dès leur plus jeune âge pour approcher, toucher ou plus si affinité leurs idoles dont elles rêvent jour et nuit.
Deux poids deux mesures !Pendant ce temps-là, en 1992, Emmanuel 15 ans, est sous l'emprise de sa prof, Brigitte, de 44 ans, et visiblement, tout le monde trouve ça normal...
C'est mes yeux, ou elle a l'air un peu cinglée ?
Qu'elle mène son combat en privé car les faits sont prescrits... De plus, pour être cohérente et crédible, elle devrait aussi déposer plainte contre ses parents qui ont laissé faire sans agir. Son histoire ressemble à celle de Brigitte et Macron...qui est scandaleuse mais que certains français trouvent normal...
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