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M. Bruno LE MAIRE, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique ;
M. Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer ;
Mme Catherine VAUTRIN, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités ;
Mme Nicole BELLOUBET, ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse ;
M. Marc FESNEAU, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ;
Mme Rachida DATI, ministre de la Culture ;
M. Sébastien LECORNU, ministre des Armées ;
M. Éric DUPOND-MORETTI, garde des Sceaux, ministre de la Justice ;
M. Stéphane SÉJOURNÉ, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères ;
M. Christophe BÉCHU, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires ;
M. Stanislas GUERINI, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques ;
Mme Amélie OUDÉA-CASTÉRA, ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques ;
Mme Sylvie RETAILLEAU, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ;
Ministres délégués :
Auprès du Premier ministre :
Mme Prisca THEVENOT, chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement ;
Mme Marie LEBEC, chargée des Relations avec le Parlement ;
Mme Aurore BERGÉ, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations ;
Auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique :
M. Roland LESCURE, chargé de l’Industrie et de l’Energie ;
Mme Olivia GRÉGOIRE, chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation ;
M. Thomas CAZENAVE, chargé des Comptes publics ;
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :
Mme Dominique FAURE, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité ;
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer :
Mme Marie GUÉVENOUX, chargée des Outre-mer ;
Auprès de la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, de la ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse et du garde des Sceaux, ministre de la Justice :
Mme Sarah EL HAÏRY, chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles ;
Auprès de la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités :
Mme Fadila KHATTABI, chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées ;
M. Frédéric VALLETOUX, chargé de la Santé et de la Prévention ;
Auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire :
Mme Agnès PANNIER-RUNACHER ;
Auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères :
M. Franck RIESTER, chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité, de la Francophonie et des Français de l’étranger ;
M. Jean-Noël BARROT, chargé de l’Europe ;
Auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :
M. Patrice VERGRIETE, chargé des Transports ;
M. Guillaume KASBARIAN, chargé du Logement ;
Secrétaires d’Etat :
Auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique :
Mme Marina FERRARI, chargée du Numérique ;
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :
Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, chargée de la Ville ;
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer :
Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, chargée de la Citoyenneté ;
Auprès du ministre des Armées :
Mme Patricia MIRALLÈS, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire ;
Auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères :
Mme Chrysoula ZACHAROPOULOU, chargée du Développement et des Partenariats internationaux ;
Auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :
M. Hervé BERVILLE, chargé de la Mer et de la Biodiversité.
19h36: Selon des sources concordantes recueillies par CNEWS, Marie Guévenoux serait nommée ministre déléguée chargée des Outre-mer.
19h31:Le député Horizons Frédéric Valletoux, ancien président de la Fédération hospitalière de France et ancien Maire de Fontainebelau, est nommé ministre délégué à la Santé.
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19h29: Marina Ferrari (MODEM) nommée ministre déléguée aux Affaires européennes et remplace donc Laurence Boone.
19h16: Nicole Belloubet devient ministre de l'Education nationale. Elle remplace Amélie Oudéa-Castéra, qui elle, conserve son poste de ministre des Sports. Nicole Belloubet a été ministre de la Justice entre juin 2017 et juillet 2020, quand Edouard Philippe était encore en poste à Matignon.
18h50: La ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnelle, Carole Grandjean, annonce son départ et son «choix de ne pas exercer de nouvelles fonctions ministérielles». Elle était en poste depuis le 4 juillet 2022.
14h40: "Nous assumons notre rôle de vigie pour que les engagements pris devant les Français en 2017 et réaffirmés en 2022 soient tenus, pour que la majorité reste la majorité", écrit le MoDem dans un communiqué. "Donnons-nous les moyens de réconcilier les Français, qu'ils se sentent écoutés et acteurs. C'est ainsi que les violences et les radicalités baisseront", estime le parti.
11h38: Le point sur ce que l'on sait ce matin
La liste complète du nouveau gouvernement français, en suspens depuis près d’un mois, est attendue jeudi, avec déjà un parfum de crise politique: le centriste François Bayrou, ex-ministre et allié de la première heure du président Emmanuel Macron, refuse d’y participer.
« Sans accord profond sur la politique à suivre, je ne pouvais pas accepter d’entrer au gouvernement », a confié mercredi soir le président du Mouvement démocrate (MoDem) à l’AFP, mettant fin aux spéculations. En épinglant une « dérive » de l’actuel pouvoir vers une « technocratie gestionnaire », il étale au grand jour des divergences de fond avec le chef de l’Etat.
De quoi nourrir des rumeurs de retrait de son parti du camp présidentiel, où le MoDem incarne une aile centriste au côté de nombreuses personnalités issues de la droite qui ont actuellement le vent en poupe. Une perspective à laquelle M. Bayrou a mis fin dès jeudi matin: le MoDem est « membre à part entière de la majorité qui veut reconstruire le pays », a-t-il clarifié sur la radio franceinfo.
Pilier de la vie politique, plusieurs fois candidat à la présidentielle, et qui s’était désisté au profit d’Emmanuel Macron lors de la campagne de 2017, M. Bayrou (72 ans) avait abandonné cette année-là son poste de ministre de la Justice en raison d’une affaire d’assistants parlementaires européens indûment employés pour des tâches politiques nationales. Mis hors de cause par la justice en début de semaine « au bénéfice du doute », M. Bayrou a vu son horizon personnel s’éclaircir, même si plusieurs personnalités de son camp et le parti centriste qu’il préside ont été sanctionnés.
En épinglant une « dérive » de l’actuel pouvoir vers une « technocratie gestionnaire », il étale au grand jour des divergences de fond avec le chef de l’Etat. L’équipe resserrée d’une quinzaine de ministres (Economie, Intérieur, Affaires étrangères...) annoncée le 11 janvier doit ainsi encore être complétée par une quinzaine de ministres délégués et secrétaires d’Etat (Logement, Transports, Santé, Outre-mer...), très attendus par les secteurs concernés.
Pressé de prendre sa revanche après sept ans de banc de touche gouvernemental à cause de ses ennuis judiciaires, François Bayrou promettait d’être un « poids-lourd » encombrant pour Gabriel Attal, 34 ans, dont il a publiquement mis en doute « l’expérience » lors de sa nomination à Matignon.
10h22: Gabriel Attal est arrivé ce matin à l'Élysée pour s'entretenir avec Emmanuel Macron au moment où la nomination de la deuxième moitié du gouvernement est attendue dans la journée, après les désaccords exprimés par François Bayrou. Le Premier ministre et le chef de l'État ont multiplié les rencontres ces derniers jours pour finaliser leur casting. Le président du MoDem a annoncé mercredi soir qu'il ne redeviendrait pas ministre, en l'absence d'«accord profond sur la politique à suivre».
10h00: Le président du MoDem, François Bayrou, qui a refusé avec fracas d’entrer dans le gouvernement Attal, a assuré jeudi que son parti restait « membre à part entière » de la majorité « pour reconstruire le pays » et a laissé entendre qu’il serait candidat en 2027. « Nous sommes membre à part entière de la majorité qui veut reconstruire le pays », a déclaré le maire de Pau sur franceinfo, estimant que « le pays a besoin de plus de compréhension politique de ce qui se passe à la base et de moins de technocratie gestionnaire ».
« Je n’ai jamais renoncé à aucun des devoirs qui sont les miens », a ajouté l’allié historique d’Emmanuel Macron, très critique sur son nouveau Premier ministre et son gouvernement, jugeant que « l’enjeu de 2027, c’est précisément qu’on arrive à réconcilier la France qui se bat en bas avec la France qui décide en haut ». Interrogé sur l’argument d’une absence d’« accord profond » qu’il a avancé mercredi auprès de l’AFP pour justifier son refus de participer au gouvernement Attal, François Bayrou a insisté sur le fait qu’il parlait « de la politique éducative ».
Se disant en désaccord avec « la musique de fond » selon laquelle « les enseignants ne travaillent pas assez », il a dit que l’Education nationale ne pouvait pas « se redresser dans un climat gestionnaire ». Son désaccord vaut-il pour l’ensemble de la politique menée ? « J’espère que non », a-t-il tranché.
Mais il a dénoncé « une dérive ». « Le moment est venu de remettre les choses à l’endroit, de rappeler pourquoi nous sommes là », a insisté celui qui se pose volontiers comme un sage, à son poste de Haut-commissaire au Plan. Il a notamment pointé « la multiplication des indices selon lesquels la crise, on ne va pas l’équilibrer, on ne va pas l’arrêter, mais on fait comme si elle n’existait pas ».
« Mon soutien ne se marchande pas à condition que soit entendue l’inquiétude qu’un très grand nombre de Français ressentent, qui se traduit dans tous les sondages », a encore expliqué François Bayrou.
09h55: Selon plusieurs sources au sein du camp présidentiel, une seule certitude semble pour l'heure se dégager, à l'heure des annonces : après l'avoir longtemps soutenue, Emmanuel Macron se serait résolu à écarter Amélie Oudéa-Castéra du ministère de l'Education nationale.
"Le seul critère qui compte, c'est la capacité à agir et faire avancer les choses", glisse un conseiller de l'exécutif, alors que "AOC" est empêtrée dans les polémiques nées de ses critiques contre l'école publique pour justifier la scolarisation de ses enfants dans le privé. Elle pourrait être rétrogradée pour ne garder qu'une partie de ses attributions, notamment les Jeux olympiques.
Pour lui succéder, émergeait mercredi soir le nom de Nicole Belloubet, Garde des Sceaux de 2017 à 2020, durant le premier quinquennat d'Emmanuel Macron. Outre son expérience gouvernementale, Mme Belloubet, âgée de 68 ans et issue du PS, fut notamment rectrice des académies de Limoges et Toulouse, entre 1997 et 2005, avant de démissionner en dénonçant les suppressions de postes d'alors.
09h34: En excluant de revenir au gouvernement, François Bayrou a enlevé une inconnue de poids à l'équation du remaniement, dont le dénouement est désormais attendu jeudi. Mais en insistant sur ses divergences politiques, il ouvre de nouvelles incertitudes sur les équilibres de ce casting si complexe.
"Sans accord profond sur la politique à suivre, je ne pouvais pas accepter d'entrer au gouvernement", a confié mercredi soir le président du MoDem à l'AFP, achevant 48 heures de feuilleton sur un possible retour au gouvernement du principal allié d'Emmanuel Macron. D'un côté, la fin de cette hypothèse, qui compliquait considérablement la donne, dégage la voie pour une annonce du reste du gouvernement de Gabriel Attal, sans cesse reportée ces derniers jours.
"On espère jeudi!", dit-on désormais dans l'entourage du chef de l'État. Même son de cloche du côté de Matignon. Depuis sa relaxe lundi dans l'affaire des assistants parlementaires du Modem, le nom de François Bayrou circulait avec insistance pour l'Education nationale, où Amélie Oudéa-Castéra, empêtrée dans une série de polémiques, a fait une entrée ratée.
Mais son arrivée impliquait aussi un rééquilibrage du pack resserré de 15 ministres annoncé le 11 janvier et qui doit encore être complété par une quinzaine de ministres délégués et secrétaires d'Etat (logement, transports, santé, Outre-mer...), très attendus par les secteurs concernés.
Vos réactions
Macron a désigné Belloubet pour déstabiliser Gabriel ATTAL
Gabriel Attal a plus de popularité que le Président et ça , il ne le supporte pas !!!
Les Enseignants étaient contents de Gabriel Attal et voilà que Belloubet est contre tout ce qu'il avait annoncer !!!
Si j'étais le Premier Ministre je démissionnerai : Le Président va lui mettre les bâtons dans les roues
Mr Macron il ne faut surtout pas lui faire de l'ombre !!!
Belloubet pourrait être pire que Pape N'Diaye
Et bien ! … ça en fait du monde payé à rien foutre !
Un mois pour former la Dream Team, je trouve que ça valait le coup. ahaha je rigole
Encore un "gouvernement de combat "? Encore "de l'action, de l'action, de l'action"? La tronche du redressement de la France ! On voit qu'ils ont hésité entre Belloubet, Claire Chazal et Manuel Valls pour l'éducation.
On nous ressort la vieille chouette belloubet, quelle honte.
Je me rappelle quand la jeune Milla a du quitter son lycée et vivre cachée à cause de la fatwa que les muzz ont mis sur sa tête, la vieille chouette s'était rangée du côté de ces terroriste.
Ca promet pour les petits français déjà remplacés physiquement et culturellement.
Ce numéro de chaises musicales de bons à rien macronistes me dégoute.
C'est surtout celle qui a "vidé les prisons" pendant le covid. On ne saura jamais combien de français ont été enrichi à cause d'elle, surement des milliers.
La gauche recycle toujours ses ordures.
François BAYROU bientôt 73 ans...
Qu'il prenne sa retraite ... GABRIEL ATTAL a bien raison de ne pas l'accepter !!
place aux jeunes
Ah oui avec Belloubet c'est très jeune. Plus personne ne veut le suivre.
Ils sont vraiment à court de personnel, et il semble que les choix ne soient pas bien nombreux pour remplacer ceux qui ont démontré leur incompétence : reprendre belloubet, ancienne Ministre de la Justice, quelle drôle d'idée, elle qui, si je me souviens bien, n'avait déjà pas été parfaite ni exempte de tout reproche. Et la ravie de la crèche à l'air constamment béat de oudéa-castéra uniquement aux Sports, c'est clairement lui dire qu'elle n'était pas capable d'assurer le job mais que, pour ne pas tout lui enlever d'un coup, on lui fait une fleur de la maintenir dans un ministère. Que tout cela est pauvre, décevant et manque d'ambition...
Bravo pour ce grand n'importe quoi ... Heu recyclage pardon !!!! ...
François BAYROU bientôt 73 ans...
Qu'il prenne sa retraite ... GABRIEL ATTAL a bien raison de ne pas l'accepter !!
place aux jeunes
François va tout faire péter.
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