
16h55: Le gouvernement israélien autorise l'entrée d'aide humanitaire dans Gaza depuis l'Egypte. "Israël n'empêchera pas l'aide humanitaire depuis l'Egypte tant qu'il s'agit de nourriture, d'eau et de médicaments pour la population civile dans le sud de la bande de Gaza", d'après un communiqué du bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui précise qu'Israël "n'autorisera aucune aide humanitaire à partir de son territoire vers la bande de Gaza" tant que les otages pris par le Hamas "ne seront pas rendus".
16h48: Le Conseil de sécurité des Nations unies a rejeté mercredi une résolution portée par le Brésil condamnant la guerre entre le Hamas et Israël et notamment les «attaques terroristes odieuses» du groupe islamiste palestinien. Sur 15 États membres du Conseil, 12 ont voté pour, deux se sont abstenus, dont la Russie, mais les États-Unis, un des cinq membres permanents, ont voté contre, ce qui suffit à rejeter toute résolution.
16h22: Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a fermement condamné mercredi l'attaque «effroyable» d'un hôpital de Gaza qui a fait des centaines de morts et dont Israël et les mouvements armés palestiniens s'accusent mutuellement. «Cette attaque meurtrière inqualifiable a visé des civils dont une majorité d'enfants et de femmes» en «violation manifeste du droit international», a-t-il déploré dans un communiqué.
16h09: Le président américain, Joe Biden, a affirmé mercredi que des "données" montrées par son équipe au sujet d'une frappe sur l'enceinte d'un hôpital de Gaza disculpaient Israël, accusé par le Hamas palestinien d'en être l'auteur. Interrogé par des journalistes sur les raisons le poussant à ne pas croire qu'Israël était responsable de la frappe, le président américain a évoqué "des données montrées par (son) département de la Défense", à l'occasion d'une visite en Israël intervenant au lendemain de ce tir ayant fait des centaines de morts.
15h47: Le président américain Joe Biden a assuré mercredi à Tel-Aviv qu'il travaillerait avec Israël pour éviter «davantage de tragédie» aux civils, au douzième jour d'une guerre entre Israël et le Hamas palestinien dans la bande de Gaza ayant fait des milliers de morts. «Nous continuerons de travailler avec vous et nos partenaires à travers la région pour éviter davantage de tragédie aux civils innocents», a-t-il déclaré. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, à ses côtés, a promis que son pays «fera tout ce qu'il peut» pour épargner les civils.
La visite du président américain, arrivé mercredi matin en Israël, intervient au lendemain d'une frappe ayant fait plus de 200 morts dans l'enceinte d'un hôpital de Gaza, territoire sous contrôle du Hamas. «Le Hamas ne représente pas tout le peuple palestinien et ne leur a apporté que souffrance» Le mouvement islamiste accuse Israël, qui de son côté attribue la frappe au Djihad islamique, une autre organisation armée présente dans la bande de Gaza, qui a démenti. Le président américain a soutenu la version des autorités israéliennes. «J'ai été profondément attristé et choqué par l'explosion dans l'hôpital à Gaza hier (mardi). Et sur la base de ce que j'ai vu, il apparaît que cela a été mené par la partie adverse, pas par vous», a-t-il déclaré à Benjamin Netanyahu. «Nous devons aussi garder en tête que le Hamas ne représente pas tout le peuple palestinien et ne leur a apporté que souffrance», a-t-il ajouté.
Plus de 1400 personnes sont morts en Israël, essentiellement des civils tués le jour de l'attaque lancée par le Hamas le 7 octobre, la plus meurtrière depuis la création de l'État d'Israël. Les frappes de représailles israéliennes sur la bande de Gaza ont tué plus de 3000 personnes, en majorité des civils palestiniens, selon les autorités locales.
15h45: La Turquie va décréter trois jours de deuil national après la frappe sur un hôpital de Gaza, a indiqué à l'AFP un haut responsable turc, confirmant une information de plusieurs médias locaux. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé mardi soir à "mettre fin à cette brutalité sans précédent à Gaza", accusant Israël d'avoir "frappé un hôpital abritant des femmes, des enfants et des civils innocents".
15h11: Vingt-quatre Français ont été tués et sept sont toujours portés disparus, « plusieurs probablement retenus en otage » dans la bande de Gaza par le Hamas depuis l'attaque sans précédent du mouvement islamiste lancée le 7 octobre contre Israël, a annoncé mercredi Elisabeth Borne.
Paris a par ailleurs rapatrié 3.500 Français d'Israël. « D'ici ce soir nous aurons permis à 3.500 de nos concitoyens de rejoindre la France », a dit la Première ministre devant le Sénat, lors de la séance des questions au gouvernement. Un débat sera organisé « la semaine prochaine » au Parlement « sur la situation au Proche-Orient », a aussi indiqué Mme Borne.
13h39: Le président américain Joe Biden a assuré mercredi à Tel-Aviv qu'il travaillerait avec Israël pour éviter « davantage de tragédie » aux civils, au douzième jour d'une guerre entre Israël et le mouvement palestinien Hamas qui fait des milliers de morts. « Nous continuerons de travailler avec vous et nos partenaires à travers la région pour éviter davantage de tragédie aux civils innocents », a-t-il déclaré. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, à ses côtés, a affirmé que son pays « fera tout ce qu'il peut » pour épargner les civils.
13h31: L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé Israël et le Hamas à cesser toute attaque contre les structures médicales, au lendemain du tir meurtrier qui a tué au moins 200 personnes dans l’enceinte d’un hôpital de Gaza. « Nous demandons au minimum de cesser toute attaque contre les établissements de santé », a dit le patron de l’OMS Europe, Hans Kluge dans un entretien à l’AFP.
« Deuxièmement, il faut protéger les civils, les enfants, et troisièmement, il faut permettre à l’aide humanitaire d’accéder de Rafa à l’intérieur de Gaza, car toutes nos fournitures sont déjà basées là-bas, mais la frontière n’est pas encore ouverte », a-t-il ajouté, se disant « très inquiet ».
12h42: Le point sur la situation à la mi-journée
Le président américain Joe Biden est arrivé mercredi à Tel-Aviv au lendemain d'une explosion, dont Israël et les Palestiniens se rejettent la responsabilité, qui a fait des centaines de morts dans un hôpital de Gaza et provoqué des manifestations de colère dans le monde musulman.
Le mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza a accusé Israël d'être à l'origine de cette frappe mardi soir, que l'armée israélienne impute à un tir de roquette du Jihad islamique, autre groupe armé palestinien, onze jours après le début de la guerre déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël. Le Jihad islamique a démenti et mis lui aussi en cause Israël. "De 200 à 300" personnes sont mortes", a déclaré le ministère de la Santé du territoire palestinien, selon qui "des centaines de victimes se trouvent encore dans les décombres" de l'hôpital Ahli Arab, dans le centre de Gaza.
Le Hamas parle de plus de 500 morts. Le tir a suscité de nombreuses condamnations et des manifestations de colère à Téhéran, Amman, Istanbul, Tunis ou encore à Beyrouth. Joe Biden s'est dit "indigné et profondément attristé par l'explosion". Il est arrivé mercredi matin en Israël pour une visite de soutien à son allié, et aussi pour tenter de débloquer l'entrée de l'aide d'urgence à Gaza.
Mercredi, des centaines de camions d'aide humanitaire attendaient toujours à Rafah, du côté égyptien de la frontière, de pouvoir entrer dans la bande de Gaza où sont massés des centaines de milliers de déplacés palestininens désespérés. La situation dans le territoire "devient incontrôlable", a lancé le patron de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
10h58: Le président américain Joe Biden, en visite en Israël mercredi, a soutenu la version des autorités israéliennes imputant à des combattants palestiniens la frappe ayant tué des centaines de personnes dans un hôpital de Gaza. « J'ai été profondément attristé et choqué par l'explosion dans l'hôpital à Gaza hier (mardi). Et sur la base de ce que j'ai vu, il apparait que cela a été mené par la partie adverse », a déclaré le président américain, aux côtés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Tel-Aviv.
10h27: La frappe sur un hôpital de Gaza ayant fait des centaines de morts est un « crime » et un « acte de déshumanisation », a dénoncé mercredi la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, en appelant Israël, qui dément en être l’auteur, à prouver son innocence.
« Nous voyons en ce moment une volonté (de la part d’Israël) de se défaire de toute responsabilité. Si cette tentative constitue une intention sérieuse (...) de prouver son innocence (...) alors il faut présenter les faits », a-t-elle déclaré à la radio Spoutnik. Elle a appelé les Etats-Unis et Israël à fournir des images satellites permettant d’enquêter sur l’origine de la frappe, en accusant les chancelleries occidentales de donner l’impression dans leurs réactions que « la frappe s’est faite toute seule ».
09h59: La plateforme GeoConfirmed, gérée par des bénévoles, assure, sur X (ex-Twitter), qu’un "missile lancé par des groupes palestiniens a explosé en plein vol et l'un des morceaux est tombé sur la cour de l'hôpital arabe Al-Ahli".
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GeoConfirmed ISR-PAL.
— GeoConfirmed (@GeoConfirmed) October 17, 2023
A missile launched by Palestinian Groups exploded mid-air and one of the pieces fell on the Al-Ahli Arab Hospital's yard.
31.504822, 34.46169
Before reacting READ our thread.https://t.co/qbpUGQk89o
1/X
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09h54: Le président américain Joe Biden est arrivé mercredi pour une visite de solidarité en Israël, au douzième jour d’une guerre avec le mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza, a constaté un journaliste de l’AFP. Sa visite intervient au lendemain d’une explosion ayant fait des centaines de morts dans l’enceinte d’un hôpital de Gaza, pour laquelle Israël et Palestiniens se rejettent la responsabilité.
Le président Biden s’est dit mardi « indigné et profondément attristé » par ce drame. Il a été accueilli à sa descente de l’avion par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président Isaac Herzog sur le tarmac de l’aéroport Ben Gourion.
Outre ses discussions avec les responsables israéliens, il doit rencontrer des familles de victimes de l’attaque sanglante de commandos du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre ayant déclenché cette nouvelle guerre qui a fait des milliers de morts. Il devait également participer à un sommet, en Jordanie, avec le roi jordanien Abdallah II, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et le dirigeant de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas mais Amman l’a annulé après l’explosion à l’hôpital.
John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, a assuré qu’il appellerait le dirigeant palestinien et le président égyptien dans l’avion du retour, mercredi soir.
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President Biden lands in Tel Aviv, Israel.
— AF Post (@AFpost) October 18, 2023
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09h37: Le point sur la situation ce matin
Une explosion dont Israël et les Palestiniens se rejettent la responsabilité a fait des centaines de morts dans un hôpital de Gaza et provoqué des condamnations internationales et des manifestations à travers le monde musulman, à quelques heures de l'arrivée mercredi du président américain Joe Biden dans la région.
Le mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza a accusé Israël d'être à l'origine de cette frappe mardi soir, que l'armée israélienne a elle imputée à un tir de roquette du Jihad islamique, autre groupe armé palestinien, onze jours après le début de la guerre déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël. Le Jihad islamique a démenti et mis lui aussi en cause Israël.
Le tir a suscité de nombreuses condamnations et des manifestants sont descendus dans les rues à Téhéran, Amman, Istanbul, Tunis ou encore à Beyrouth. A Ramallah, en Cisjordanie occupée, des affrontements ont éclaté mardi soir entre des manifestants appelant au départ du président palestinien Mahmoud Abbas et ses forces de sécurité. Attendu en Israël, Joe Biden va "reporter" son étape prévue ensuite en Jordanie, a indiqué la Maison Blanche.
M. Biden s'est dit "indigné et profondément attristé par l'explosion", dans un communiqué. La Jordanie avait auparavant annoncé l'annulation d'un sommet auquel M. Biden devait participer avec son homologue égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, et le président Abbas. "De 200 à 300" personnes sont mortes", a déclaré le ministère de la Santé du territoire palestinien, selon qui "des centaines de victimes se trouvent encore dans les décombres" de l'hôpital Ahli Arab, dans le centre de Gaza.
Le Hamas parle de plus de 500 morts, et a incriminé Israël. L'armée israélienne a réfuté cette accusation, affirmant que "d'après des informations des services de renseignement (...) le Jihad islamique est responsable du tir de roquette raté". Elle a dit plus tard dans la nuit qu'elle allait fournir les "preuves" de ses affirmations.
"Mensonges", a rétorqué le Jihad islamique, qui a accusé Israël de vouloir "se dérober à la responsabilité de son crime". Selon ce groupe allié du Hamas, classé comme lui organisation terroriste par les Etats-Unis, l'Union européenne et Israël, l'hôpital avait été sommé par Israël d'évacuer sous la menace d'un bombardement, et c'est une bombe larguée par un avion de l'armée israélienne qui a causé la tragédie. A la demande de la Russie et des Emirats arabes unis, le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra mercredi une réunion d'urgence, et se prononcera juste avant sur une résolution portée par le Brésil pour tenter de trouver une position commune sur le conflit.
09h27: Tsahal, l'armée israélienne, accuse le Hamas d'exagérer le bilan des victimes de l'explosion dans l'hôpital de Gaza. Dans un tweet, un porte-parole dénonce "une fausse campagne de propagande pour cacher la vérité". Israël a également assuré qu'elle apporterait les "preuves" de l'implication du Jihad islamique dans la frappe sur l'hôpital. Ce mercredi, des porte-paroles de l'armée israélienne ont diffusé une vidéo censée apporter des éléments. L'armée israélienne déclare qu'aucun cratère ou autre élément n'indique qu'une frappe aérienne est à l'origine de l'explosion. Elle ajoute également ne voir aucun dégât structurel sur les bâtiments voisins de l'hôpital.
#عاجل حسب معلوماتنا لقد قامت حماس بفحص التقارير الأولية عن الانفجار في المستشفى المعمداني وتأكد انه ناجم عن عملية اطلاق فاشلة وقررت فتح حملة دعائية كاذبة لاخفاء الحقيقية. في إطار هذه الحملة قامت حماس بتضخيم عدد القتلى في الحادث
— افيخاي ادرعي (@AvichayAdraee) October 18, 2023
08h38: Des centaines de manifestants se sont rassemblées devant les ambassades de France et du Royaume-Uni à Téhéran dans la nuit de mardi à mercredi après le bombardement d'un hôpital à Gaza, selon un photographe de l'AFP sur place. Au moins 200 personnes ont été tuées mardi dans un tir sur l'enceinte d'un hôpital à Gaza, selon le ministère de la Santé du mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a imputé cette frappe à Israël.
L'armée israélienne a pour sa part attribué la frappe à un tir de roquette raté par l'organisation palestinienne Djihad islamique, alliée du Hamas. «Mort à la France et à l'Angleterre», ont crié des manifestants à Téhéran, en lançant des œufs sur les murs de l'enceinte de l'ambassade de France. Ces rassemblements ont pris fin vers 3h dans le calme.
07h03: Le département d'État américain a relevé mardi soir son alerte de déplacement concernant le Liban, conseillant de "ne pas voyager" dans le pays, citant la situation sécuritaire alors que des affrontements ont éclaté près de la frontière sud entre le Hezbollah et l'armée israélienne.
06h50: La vague de colère se propage bien au-delà du Proche-Orient. Des milliers de manifestants se sont rassemblés mardi 17 octobre au soir devant l'ambassade de France à Tunis pour protester contre le tir meurtrier sur un hôpital de la ville palestinienne de Gaza et ont réclamé le renvoi des ambassadeurs français et américain.
Le mouvement islamiste palestinien, au pouvoir dans la bande de Gaza, a fait état de plus de 200 morts et en a imputé la responsabilité à Israël qui a démenti. "Les Français et les Américains sont les alliés des sionistes", ont scandé les manifestants en colère devant le siège de l'ambassade de France au centre de Tunis.
"Le renvoi de l'ambassadeur est un devoir", "pas d'ambassade américaine sur le territoire tunisien" ont-ils crié, entourés d'un dispositif policier. Au début, des centaines de manifestants se sont rassemblés devant l'ambassade de France mais leur nombre a augmenté pour atteindre plus de 3 000 personnes.
Les manifestants, dont des figures de l'opposition et des représentants de la société civile ainsi que des avocats, ont scandé aussi des slogans hostiles au président français Emmanuel Macron.
Des centaines de manifestants se rassemblent devant l'ambassade de France en Tunisie après le bombardement de l'hôpital de Gaza. Les manifestants dénoncent la position de la France et les États-Unis sur le conflit israélo-palestinien. #Palestine #Gaza #Israel #Hamas pic.twitter.com/e2dGNe8jC4
— Anonyme Citoyen (@AnonymeCitoyen) October 17, 2023
05h51: Au moins 200 personnes ont été tuées mardi soir dans un tir sur l'enceinte d'un hôpital de la ville de Gaza, a rapporté le ministère de la Santé du Hamas, l'imputant à Israël. L'armée israélienne a pour sa part attribué la frappe à un tir de roquette raté par l'organisation palestinienne Jihad islamique, alliée du Hamas.
La Tunisie, qui a abrité de 1982 à 1994 l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) de Yasser Arafat après son départ du Liban, a depuis toujours adopté une position de ferme soutien à la cause palestinienne.
Dans ses discours, le président tunisien Kais Saied a qualifié à plusieurs reprises de "crime" une normalisation avec Israël et une commission parlementaire doit examiner prochainement un projet de loi visant à pénaliser un tel processus.
IMAGES BRUTES : une roquette visant Israël a subi un dysfonctionnement et a explosé à 18h59—au même moment où l'hôpital à Gaza a été touché. pic.twitter.com/SZUtEujEKm
— Tsahal (@Tsahal_IDF) October 17, 2023
Plusieurs éléments semblent confirmer , au fil de la nuit , que le missile qui a touché un hôpital a #Gaza est bien tiré depuis Gaza et non depuis les positions israéliennes . Il n’est question ici ni de communiqués , ni de vidéos fake qui pullulent sur ce réseau mais de… https://t.co/Jxj6toT7a6
— francoise degois (@francoisedegois) October 18, 2023
Vos réactions
Est-ce que LFI osera dire que ces 200 civils tués ne sont que des victimes collatérales engendrées par le conflit entre Israël et le mouvement de résistance Hamas?
Dans leurs folies meurtrières, ces terroristes n’ont même pas été capables de sauver tout ces pauvres gens.
200~300 morts selon les médias
1'000 selon la propagande du groupe terroriste hamas
10'000 ici selon certains allumés qui se reconnaîtront
Une chose est sûre 1 mort civil est un mort de trop. Que ce soit en Ukraine, Russie, Israël et Gaza
La guerre est finis en Ukraine car plus un seul mot dans les médias désormais... comme en Arménie ! même LCI qui diffuse toujours Ukraine-Russie depuis 2 ans n'en parle plus.
@vixen87 c’est aussi fréquent que des missiles israéliens tombent sur des hôpitaux palestinien…
Gaza envoie a chaque guerre des milliers de missiles sur Israel, il y en a un grand nombre qui retombent sur Gaza.
Israel pourrait raser Gaza s'ils le voulaient.
S'ils y vont lentement, c'est parce qu'ils veulent éviter au maximum de tuer des civils.
Alors que le hamas n'en a rien à faire.
Le Hamas s'est toujours servi du peuple palestinien comme bouclier humain. Je ne serais pas surpris que ce tir vienne de lui pour faire incriminer Israël. Ils n'en sont plus à une ou deux abominations de plus ou de moins...
C'est fréquent que les missiles du hamas retombe sur la palestine.
Mais là aussi, on voit pas mal de gens qui leur pardonne facilement de tuer autant d'innocents.
À Tunis ils nous ouvrent les yeux sur la guerre de civilisation qu’ils souhaitent mener…
les occidentaux ont intérêt à se sortir les doigts si ils ne veulent se faire massacrer pour des revendications du moyen age.
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