Trois écoles de police situées à Nîmes (Gard), Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et Oissel (Seine-Maritime), ont été évacuées en pleine nuit après avoir reçu des menaces de nature terroriste

Mise à jour dimanche 09h01: La lettre de menace d'attaque terroriste, retrouvée vendredi soir à l'école de police de Nîmes et qui a entraîné l'évacuation de l'établissement ainsi que des écoles de Oissel et Saint-Malo, provenait en fait d'un exercice interne de simulation d'attentat, selon des sources proches de l'enquête.

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Trois écoles de police situées à Nîmes (Gard), Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et Oissel (Seine-Maritime), ont été évacuées en pleine nuit après avoir reçu des menaces de nature terroriste, a appris l’AFP de sources policière et proche du dossier.

D’après la Direction générale de la police nationale, une information leur a été transmise «nécessitant la mise en œuvre d'une levée de doute dans plusieurs écoles de police, à savoir à Nîmes, Oissel et Saint-Malo».

Selon une source proche de l'enquête, il s'agit d'un courrier déposé à l'école de police de Nîmes comportant des menaces de nature terroriste. "Des vérifications, entreprises par précaution, ont conduit à évacuer les élèves policiers qui étaient hébergés", a ajouté la DGPN.

«Des vérifications, entreprises par précaution, ont conduit à évacuer les élèves policiers qui étaient hébergés», a ajouté la DGPN, tandis que la police nationale a indiqué de son côté que les reconnaissances «appuyées par la présence de chiens de recherche, sont encore en cours sans avoir rien révélé de suspect».