Ce matin, Maelys, une jeune lycéenne âgée de 16 ans, a témoigné du harcèlement scolaire vécu depuis la 5e. Sur des images hyper violente tournées à Avion, près de Lens, on peut voir l'adolescente violemment frappée à plusieurs reprises par une jeune femme, face à d'autres jeunes. Elle s'en sort avec des hématomes, son crane est légèrement ouvert. Depuis quelques années, Maelys est régulièrement harcelée par deux camarades de son lycée.
"Je reçois des messages la journée et la nuit. Des messages me disant que je vais mourir. Elle fait des vidéos TikTok en disant que je vais retourner à l'hôpital", débute l'adolescente. Ses harceleuses ont retrouvé l'adresse de son domicile et ont brisé les fenêtres de chez elle.
"Au début, j'ai fait beaucoup de tentatives de suicide. Je me mutilais. Je m'enfermais dans ma chambre. J'avais peur que quelqu'un rentre chez moi", confie-t-elle. "Je veux juste que l'on laisse tranquille ma fille", a pour sa part indiqué sa mère.
Depuis, Maelys est déscolarisée et est suivie par des psychologues. Une plainte a été déposée contre ses agresseurs pour violences et diffusion d'images.
Vos réactions
qu'on donne les adresses et les renseignements sur ces harceleuse on va venir avec une équipe s'en occuper ,on va voir comment ces cafard vont réagir quand elle vont prendre des baleyette et grosse droite. Faut leur faire peur
Et on fait quoi maintenant ?
qu'on donne le nom et adresse de ces cafards je vais venir avec une équipe on va distribuer quelques balayette et quelques patates histoire de rigoler pour leur passer l'envi de recommencer
qu'on donne le nom et adresse de ces cafards je vais venir avec une équipe on va distribuer quelques balayette et quelques patates histoire de rigoler pour leur passer l'envi de recommencer
qu'on donne le nom et adresse de ces cafards je vais venir avec une équipe on va distribuer quelques balayette et quelques patates histoire de rigoler pour leur passer l'envi de recommencer
Tant que la justice sera laxiste et ne condamnera pas au premier fait (pour taper fort) de façon raisonnable et ferme, ca continuera.
Seconde chose, l’autorité (et pas l’autoritarisme) ne sont plus « a la mode » d’où certains comportements permissives
Y a des claques qui se perdent ! Effectivement si c’était ma gamine la victime j’aurais dégommé et les gamines qui l’on frappé et les parents de ces gamines … si c’était ma fille qui avait agressé une gamine comme ça , j’aurais dégommé ma gamine !
Désolé de vous contre dire mais les femmes qui fument et boivent ne le font pas depuis peu, c'est juste que maintenant elles ne se cachent plus. Et pour le reste aussi cela a toujours existé. Croire que tout est nouveau c'est se bercer d'illusions. Les réseaux sociaux ne sont que des amplificateurs et pas des créateurs de comportements.
Pas d'accord avec vous sur ce phénomène. Il y a peut-être toujours existé des femmes qui boivent et qui fument, mais les phénomènes de harcèlement et de violence ont beaucoup augmenté depuis l'avènement des réseaux sociaux.Je maintiens que le comportement des filles ADOS n'a pas toujours été celui qu'il est devenu actuellement. Il y a une vraie dérive qui se produit actuellement et cela devient inquiétant. Oui, la violence est amplifiée par les réseaux (mise en scène des pulsions destructrices) mais non et heureusement pour nous, le violence n'a pas toujours existé de façon aussi décomplexée qu'aujourd'hui. Ce n'est pas pour rien que certains emploient les termes d'ensauvagement ou de décivilisation.
Les filles sont devenues BEAUCOUP plus « masculines » qu'avant : elles se sont mises à boire, à fumer, à employer un langage grossier… « comme des garçons ». Alors que beaucoup de garçons se féminisent et baculent de l'autre côté. Même si les filles ados ont davantage tendance qu’eux à retourner leur agressivité sur elles-mêmes (scarifications, troubles alimentaires, etc.). Et elles utilisent plus volontiers la violence verbale et psychologique (brimades, rumeurs), qui trouve aujourd’hui un terrain de prédilection sur Internet, via le cyberharcèlement. Le tout sur un fond d'intolérance, de manque de dialogue avec les adultes et de fermeté. La "sortie de normes" devient une nouvelle norme pour certaines ados (elles sont de plus en plus influencées par la violence en ligne et l'image des femmes véhiculées sur les films pornos, elles voient les femmes comme des "objets" qu'on maltraite, qu'on utilise et qu'on ne respecte pas). 13 ans, c'est l'âge où les ados regardent ce genre d'images en ligne et cela produit des dégâts psychologiques et de la maltraitance. C'est l'âge aussi où les parents ne veulent pas se prendre la tête en se disputant avec leurs ados et ferment les yeux lâchement.
Désolé de vous contre dire mais les femmes qui fument et boivent ne le font pas depuis peu, c'est juste que maintenant elles ne se cachent plus. Et pour le reste aussi cela a toujours existé. Croire que tout est nouveau c'est se bercer d'illusions. Les réseaux sociaux ne sont que des amplificateurs et pas des créateurs de comportements.
Tu as lu ça chez Casino ?
Quel rapport avec Casino ? vous êtes vraiment un décérébré faudrait arrêter l'alcool. Ou alors vous êtes un frustré ? Votre femme déçue par vous serait elle partie avec votre meilleur ami ?
Les filles sont devenues BEAUCOUP plus « masculines » qu'avant : elles se sont mises à boire, à fumer, à employer un langage grossier… « comme des garçons ». Alors que beaucoup de garçons se féminisent et baculent de l'autre côté. Même si les filles ados ont davantage tendance qu’eux à retourner leur agressivité sur elles-mêmes (scarifications, troubles alimentaires, etc.). Et elles utilisent plus volontiers la violence verbale et psychologique (brimades, rumeurs), qui trouve aujourd’hui un terrain de prédilection sur Internet, via le cyberharcèlement. Le tout sur un fond d'intolérance, de manque de dialogue avec les adultes et de fermeté. La "sortie de normes" devient une nouvelle norme pour certaines ados (elles sont de plus en plus influencées par la violence en ligne et l'image des femmes véhiculées sur les films pornos, elles voient les femmes comme des "objets" qu'on maltraite, qu'on utilise et qu'on ne respecte pas). 13 ans, c'est l'âge où les ados regardent ce genre d'images en ligne et cela produit des dégâts psychologiques et de la maltraitance. C'est l'âge aussi où les parents ne veulent pas se prendre la tête en se disputant avec leurs ados et ferment les yeux lâchement.
Certains parents ne sont plus des parents, mais des bons copains, ils ne veulent plus punir.II y a un manque d'éducation, ils attendent que l'école éduquent leurs enfants.
Mais depuis on a eu Dolto et l'enfant-roi. Je n'ai jamais été malheureux chez moi, et si j'ai pris 2 giffles c'est le max. Mais on avait un respect.
Ce respect n'existe plus.
on n'a pas du lire les mêmes livres de dolto
dolto expliquait qu'un enfant était un être à part entière, et qu'il fallait l'écouter et discuter avec lui, comme si c'était un adulte, pour qu'il apprenne l'autonomie
vous savez, l'autonomie, chose que les français refusent de comprendre, car c'est toujours aux autres de résoudre leurs problèmes.
en résumé, au lieu d'engueuler bêtement un enfant, tu discutes avec lui pour qu'il comprenne son erreur et ses conséquence, afin qu'il analyse ce qu'il a fait et comprenne par lui même qu'il ne doit pas recommencer.
punir un enfant sans lui expliquer ce qu'il a fait de mal, ne sert à rien, car l'enfant ne comprend pas ce qu'il a fait de mal
c'est ça la théorie de dolto
encore faut il que les parents soient capable d'expliquer à leurs enfants le problème
Pauvre gamine, si on avait fait cela à ma fille, je n'aurai pas réfléchi et non seulement les gamines auraient morflé mais j'aurai dégommé les parents aussi. Et tant pis pour les conséquences.
Faut arrêter avec les "décharges de responsabilités". Les premiers responsables sont les harceleurs et harceleuses. Ensuite vient la question sur l'éducation par les parents eux mêmes. Ne pas reporter l'éducation de base sur l'Etat ou l'Ecole puisque la majorité des parents reprochent bien souvent aux profs ou aux instances un simple recadrage de leur cher bambin si il en subit un.
On reprochait l'éducation à la dure de nos grands parents mais quand on voit le résultat de celle à la bisounours de maintenant on se dit que sans doute on a pas pris le bon chemin.
Exemple ; Dans un passé lointain tu faisais une bêtise à l'école, tu recevais une baffe de l'instit. Tu te plaignais aux parents tu en recevais une deuxième. Et là ben le fauteur évitait d'en faire une seconde de même ordre.
Rien à foutre de la bien-pensance : certains jeunes méritent de se prendre de grosses tartes. Et si les parents ne sont pas capables de tenir leurs gosses ils en méritent tout autant
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