
18h49: La circulation des trains à la SNCF ce jeudi sera «perturbée. Au niveau des TGV (Inoui et Ouigo), 3 trains sur 4 circuleront. Le trafic sera davantage affecté par la grève des cheminots dans les TER, avec 1 train sur 2 en moyenne nationale, et dans les Intercités : 1 Intercités de jour sur 4 roulera, et aucun Intercités de nuit. Les circulations Eurostar et Thalys seront elles «quasi normales».
Le trafic restera «légèrement perturbé» vendredi, fait par ailleurs savoir la SNCF.
Mouvement social national interprofessionnel : jeudi 6 avr. 2023, la circulation des trains sera perturbée. Nous vous invitons à consulter les horaires de vos trains sur les sites / appli SNCF ou sur vos canaux habituels et à annuler ou reporter vos déplacements.
— SNCF Voyageurs (@SNCFVoyageurs) April 5, 2023
16h25: La RATP annonce pour demain un trafic quasi-normal sur le RER, trois lignes de métro seront perturbées
Ligne 1 : trafic normal.
Ligne 2 : trafic normal.
Ligne 3 : 1 train sur 2.
Ligne 3 bis : trafic normal.
Ligne 4 : en raison des travaux d’automatisation, la ligne sera fermée à 22h15.
Ligne 5 : 1 train sur 2 le matin et 1 train sur 3 l’après-midi.
Ligne 6 : trafic normal. « La ligne 6 risque d’être perturbée par le parcours de la manifestation prévue l’après-midi », indique la RATP
Ligne 7 : trafic normal.
Ligne 7 bis : trafic normal.
Ligne 8 : circulation uniquement entre 5h30 et 23 heures.
Ligne 9 : trafic normal.
Ligne 10 : trafic normal.
Ligne 11 : en raison des travaux, la ligne sera fermée à 22 heures.
Ligne 12 : trafic normal.
Ligne 13 : 2 trains sur 3 le matin et 1 train sur 2 l’après-midi. Uniquement entre 6 heures et 20 heures.
Ligne 14 : en raison des travaux liés au prolongement, la ligne sera fermée à 22 heures.
[#MouvementSocial] À la suite d’un préavis appelant à une journée de grève interprofessionnelle le 6 avril, la #RATP prévoit un trafic quasi normal sur le RER. Le trafic sera quasi normal à l’exception de quelques lignes sur le métro, et normal sur les réseaux Bus et Tramway. pic.twitter.com/jcOQ22T7Zq
— RATP Group (@RATPgroup) April 4, 2023
13h26: 11.500 policiers et gendarmes seront mobilisés demain pour les manifestations en France, annonce Gérald Darmanin sur son compte Twitter. "Ce jeudi, 11.500 policiers et gendarmes seront mobilisés partout en France, dont 4.200 à Paris, afin d’encadrer les cortèges, permettre la liberté de manifester et assurer la sécurité des personnes et des biens. Merci à nos forces de l’ordre", déclare le ministre de l'Intérieur sur le réseau social.
.
Ce jeudi 11500 policiers et gendarmes seront mobilisés partout en France dont 4200 à Paris, afin d’encadrer les cortèges, permettre la liberté de manifester et assurer la sécurité des personnes et des biens. Merci à nos forces de l’ordre.
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) April 5, 2023
13h25: Le point sur ce que l'on sait à la mi-journée
La rencontre tant attendue entre Elisabeth Borne et l'intersyndicale pour sortir du conflit des retraites s'est soldée mercredi matin par un "échec" selon les syndicats, qui pointent le refus de la Première ministre de retirer la réforme contestée. Les leaders des huit organisations syndicales arrivés peu après 10H00, ensemble et à pied, à Matignon sont ressortis environ une heure après et c'est le patron de la CFTC, Cyril Chabanier, au nom de l'intersyndicale qui a résumé le contenu des conversations sur le perron.
"Nous avons redit à la Première ministre qu’il ne saurait y avoir d’autre issue démocratique que le retrait du texte. La Première ministre a répondu qu’elle souhaitait maintenir son texte, une décision grave", a déclaré M. Chabanier. "C’est forcément un échec quand la Première ministre ne fait aucune ouverture sur cette discussion. Donc oui c’est forcément un échec".
Les syndicalistes avaient prévenu qu'ils quitteraient la réunion si Elisabeth Borne refusait de parler du recul de l'âge de départ à 64 ans, qui cristallise la colère. C'est la première fois qu'ils sont reçus à Matignon depuis la présentation le 10 janvier de la réforme, qui a généré une mobilisation inédite dans la rue.
La Première ministre avait promis qu'elle serait "à l'écoute de tous les sujets" que les syndicats voudraient aborder en dépit de "points de désaccord", en particulier le recul de l'âge. Le leader de la CFDT Laurent Berger qui a dit s'en remettre à "la sagesse du Conseil constitutionnel" qui doit rendre sa décision le 14 avril, a appelé "un maximum de travailleuses et travailleurs à rejoindre les cortèges demain", date d'une 11e journée de mobilisation contre la réforme.
"On ne peut pas passer à autre chose tant que cette réforme n'est pas retirée", a dit Sophie Binet, secrétaire générale nouvellement élue à la tête de la CGT après la réunion. "L'intersyndicale sera unie jusqu'au bout", a-t-elle affirmé, balayant les spéculations sur les récentes dissonances entre la CFDT, qui réclame de "retirer ou suspendre" le texte, et la CGT, qui veut le "retrait" pur et simple.
Du côté des opposants à la réforme comme de l'exécutif, personne ne se faisait d'illusions sur l'issue de la rencontre Pour un ministre de premier plan, la rencontre entre Mme Borne et les syndicats était "déjà écrite". Celui-ci tablant avant même qu'elle n'ait lieu sur une impasse. Elisabeth Borne "ne nous a absolument rien sorti de différent", a déploré Benoît Teste, secrétaire général de la FSU, soulignant les "visages fermés" de ces interlocuteurs.
12h02: Élisabeth Borne a assuré mercredi à l’issue d’une rencontre avec l’intersyndicale qu’elle « n’envisage pas d’avancer sans les partenaires sociaux » malgré le constat « d’échec » établi par les leaders syndicaux, qui réclament le retrait de la réforme des retraites avant d’autres discussions sur les questions liées au travail.
« Même si nos désaccords sur l’âge n’ont pas permis de discuter de façon approfondie, je pense que cette réunion marque néanmoins une étape importante », a déclaré la cheffe du gouvernement lors d’une courte prise de parole devant la presse dans la cour de Matignon, en compagnie de ses ministres du Travail Olivier Dussopt et de la Fonction publique Stanislas Guérini.
« Les organisations syndicales, comme elles ont pu vous l’indiquer, sont disponibles pour travailler ultérieurement sur ces sujets et je leur ai dit ma disponibilité et celle de mon gouvernement parce que je n’envisage pas d’avancer sans les partenaires sociaux », a ajouté Mme Borne. Venue lui demander de renoncer au recul de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans, l’intersyndicale unie a constaté l’« échec » de cette rencontre.
Élisabeth Borne doit rencontrer mercredi après-midi les organisations patronales, puis les responsables des Républicains, Olivier Marleix (président du groupe à l’Assemblée), Bruno Retailleau (président du groupe au Sénat) et Eric Ciotti, président du parti, en début de soirée. Ces trois dirigeants de LR sont favorables à la réforme des retraites.
12h00: "Complet soutien à l'intersyndicale qui ne lâche rien. Demain, à leur appel : mobilisation dans le calme et le sang froid et grève dans tous les secteurs seront la censure populaire de ce gouvernement obtus qui choisit le blocage", a déclaré Jean-Luc Mélenchon sur Twitter.
.
Complet soutien à l'intersyndicale qui ne lâche rien. Demain, à leur appel : mobilisation dans le calme et le sang froid et grève dans tous les secteurs seront la censure populaire de ce gouvernement obtus qui choisit le blocage.
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) April 5, 2023
11h34: L’intersyndicale qui combat la réforme des retraites a constaté mercredi un « échec » après une rencontre de moins d’une heure à Matignon avec Elisabeth Borne, lors de laquelle la Première ministre a refusé, selon les syndicats, le retrait du texte.
« Nous avons redit à la Première ministre qu’il ne saurait y avoir d’autre issue démocratique que le retrait du texte. La Première ministre a répondu qu’elle souhaitait maintenir son texte, une décision grave », a déclaré Cyril Chabanier (CFTC) au nom de l’intersyndicale sur le perron de Matignon.
« C’est forcément un échec quand la Première ministre ne fait aucune ouverture sur cette discussion. Donc oui c’est forcément un échec », a-t-il ajouté. Les syndicats refusent de « tourner la page et d’ouvrir, comme le souhaite le gouvernement, d’autres séquences de concertations ».
« Nous en appelons à la sagesse du Conseil constitutionnel qui doit entendre la juste colère des travailleuses et des travailleurs », a encore dit le responsable syndical, alors que les Sages doivent se prononcer sur la réforme le 14 avril. Il a également invité « à se joindre massivement » à la onzième journée de mobilisation prévue jeudi.
« Nous ne passerons pas outre que des millions de salariés se mobilisent », a souligné à ses côtés, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, estimant qu’« on est en train de vivre une grave crise démocratique ».
« La Première ministre nous a adressé une fin de non-recevoir et choisi de nous renvoyer dans la rue », a lancé pour sa part la nouvelle secrétaire générale de la CGT Sophie Binet, pointant une réunion « inutile » et assurant que l’intersyndicale « sera unie jusqu’au bout ».
11h08: L'intersyndicale sort à l'instant de la réunion avec la Première ministre Elisabeth Borne
"Nous lui avons dit que sa réforme est injuste et brutale (...) A aucun moment nos propositions alternatives de financement n'ont été prises au sérieux (...) La Première ministre a dit qu'elle souhaitait maintenir son texte"
"C'est un échec, la Première ministre ne fait aucune ouverture. Nous ne retournerons pas à la table des négociations"
"La responsabilité à laquelle nous avons appelé est de ne pas appliquer cette réforme. La responsabilité du Conseil constitutionnel est de voir que notre démocratie a besoin d'apaisement", a déclaré Laurent Berger
10h57: Le point sur ce que l'on sait ce matin
Elisabeth Borne reçoit mercredi dans un geste "d'apaisement" les syndicats pour tenter de sortir de la crise des retraites, mais ces derniers n'entendent pas passer l'éponge de sitôt, réclamant de concert le "retrait" de la réforme. Les leaders des huit organisations syndicales sont arrivés peu après 10H00, ensemble et à pied, à Matignon mercredi matin pour demander à la Première ministre de renoncer à sa réforme des retraites, ce que le gouvernement refuse d'envisager. Ils n'ont pas fait de déclaration.
Seule la nouvelle patronne de la CGT Sophie Binet a levé un poing sur le perron. Les syndicalistes ont prévenu qu'ils quitteraient la réunion si Elisabeth Borne refusait de parler du recul de l'âge de départ à 64 ans, qui cristallise la colère. C'est la première fois qu'ils sont reçus à Matignon depuis la présentation le 10 janvier de la réforme, qui a généré une mobilisation inédite dans la rue.
La Première ministre a promis qu'elle serait "à l'écoute de tous les sujets" que les syndicats voudraient aborder en dépit de "points de désaccord", en particulier le recul de l'âge. Si l'exécutif refuse de parler des 64 ans, qui sera la "première intervention" des syndicats, "ça va être compliqué d'aborder les autres sujets", a déclaré mercredi le président de la CFTC Cyril Chabanier sur RFI/France24.
10h12: La réunion entre les syndicats et la Première ministre Elisabeth Borne vient de débuter à Matignon
.
09h58: Les syndicats sont arrivés à Matignon pour la rencontre prévue avec la Première ministre Elisabeth Borne
.
09h53: Les syndicats sont en route vers Matignon pour rencontrer la Première ministre Elisabeth Borne
.
09h30: Une source syndicale balaie les récentes dissonances entre la CFDT, qui réclame de "retirer ou suspendre" le texte, et la CGT, qui veut le "retrait" pur et simple: "en réalité parler de suspension, c'est comme pour le CPE (Contrat première embauche), c'est ne pas appliquer".
Outre le retrait, la CFDT devrait réclamer une conférence sociale sur le travail et les retraites, selon son secrétaire national Yvan Ricordeau. "On est dans une impasse" car "tant qu'il n'y aura pas de retrait (...) on ne passera pas à autre chose", a abondé la patronne des écologistes Marine Tondelier mardi à l'issue d'une rencontre avec Elisabeth Borne, qui consulte tous azimuts pour "élargir la majorité" et bâtir un programme de gouvernement pour les mois à venir.
"Et quand on est dans une impasse, il faut faire demi-tour", a renchéri la leader du PS Olivier Faure, qui a trouvé la Première ministre "démunie" de solutions pour sortir de la crise.
07h41: La nouvelle secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a déjà donné le ton en refusant d'échanger au téléphone avec la Première ministre et Olivier Dussopt, selon L'Express.
07h18: C'est la première fois que la Première ministre reçoit les organisations syndicales depuis la présentation le 10 janvier de la réforme. Celle-ci a généré une mobilisation quasi hebdomadaire inédite allant jusqu'à 1,3 million de personnes dans la rue le 7 mars (selon les autorités), soit davantage qu'en 1995 ou 2010.
Et ces manifestations ont connu un regain de tensions après l'adoption sans vote de la réforme au Parlement, via le 49.3. Les syndicats avaient déjà demandé, en vain, d'être reçus par Emmanuel Macron. Elisabeth Borne les avaient alors renvoyés au ministère du Travail.
07h01: Elisabeth Borne reçoit ce matin dans un geste "d'apaisement" les syndicats pour tenter de sortir de la crise des retraites, mais ces derniers n'entendent pas passer l'éponge de sitôt, réclamant de concert le "retrait" de la réforme. La Première ministre a promis qu'elle serait "à l'écoute de tous les sujets" que les syndicats voudraient aborder lors de cette rencontre qui débutera à 10H00 à Matignon, en dépit de "points de désaccord" sur la réforme des retraites, en particulier le recul de l'âge de départ de 62 à 64 ans.
Si l'exécutif refuse de parler des 64 ans, "on partira", a prévenu le leader de la CFDT, Laurent Berger.
"Ca peut durer cinq minutes", a abondé la nouvelle patronne de la CGT, Sophie Binet. "Demain, le gouvernement qui veut tourner la page va voir qu'on ne veut pas tourner la page", a affirmé auprès de l'AFP un leader syndical, à l'issue d'une réunion mardi de l'intersyndicale en présence de Sophie Binet.
"L'intersyndicale est bien unie, soudée. C'est rassurant, rien n'a changé" depuis le remplacement de Philippe Martinez à la tête de la CGT, a fait valoir ce responsable. La rencontre avec Mme Borne, qui a lieu la veille d'une 11e journée de manifestations et de grèves contre la réforme, "est déjà écrite", estime un ministre de premier plan, qui table sur une impasse.
Une source syndicale balaie les récentes dissonances entre la CFDT, qui réclame de "retirer ou suspendre" le texte, et la CGT, qui veut le "retrait" pur et simple: "en réalité parler de suspension, c'est comme pour le CPE (Contrat première embauche), c'est ne pas appliquer".
Outre le retrait, la CFDT devrait réclamer une conférence sociale sur le travail et les retraites, selon son secrétaire national Yvan Ricordeau. "On est dans une impasse" car "tant qu'il n'y aura pas de retrait (...) on ne passera pas à autre chose", a abondé la patronne des écologistes Marine Tondelier mardi à l'issue d'une rencontre avec Elisabeth Borne, qui consulte tous azimuts pour "élargir la majorité" et bâtir un programme de gouvernement pour les mois à venir.
"Et quand on est dans une impasse, il faut faire demi-tour", a renchéri la leader du PS Olivier Faure, qui a trouvé la Première ministre "démunie" de solutions pour sortir de la crise.
Vos réactions
Il existe encore des climatosceptiques ?
Dingue d'être inculte à ce point...
Des milliers d'études ont montré que l'activité humaine, comme la combustion de combustibles fossiles, contribue au réchauffement de la planète et aux changements climatiques en cours.Les effets du changement climatique sont réels: Il est important de reconnaître que les effets du changement climatique sont déjà perceptibles à travers le monde, notamment des phénomènes météorologiques extrêmes tels que des inondations, des sécheresses, des vagues de chaleur, des tempêtes et des ouragans plus fréquents et plus intenses.
Mais non, certains préfèrent faire l'autruche ou imaginer que le pire est "le grand remplacement", puisque leur berger leur à dit
T’as acheté ta voiture électrique ? EDF et ton gouvernement n´ont pas trop gueulés sur ta Conso pour la recharger ? T’as bien baissé le chauffage à 16 cet hiver ? Tu roules bien à 30 en ville ? Tu as bien éteint la lumière des WC et de la salle de bain en sortant ? J’espère pour toi que tu n’as pas de cheminée en plus, sinon la loose ! C’est bien, tu es un bon berger et surtout un bon mouton Idiot. C’est toi l’inculte.
Pas lu.
Je t'aime bébé ♥️
Et on se tient à disposition pour que tu cesses de polluer tous les sujets de ce site mec. C’est juste insupportable. Règles tes comptes ailleurs merci.
wahou c'est d'un niveau...
Donc en aucun cas cela ne vous dérangera pas que l'on bloque votre emploeur et que donc par concequence vous perdiez votre emploi et n'arrivez pas à payer vos facture en fin de mois ?
A moins que vous êtes un de ces syndiqué , qui touche 70% de son salaire a glander car couvert par la générosité de certains français...
Une des Putes à macron qui n’est pas capable d’écrire une phrase sans faute de Français qui ouvre sa grande gueule… T‘oses tout toi.
Merci Madame Elisabeth Borne, vous êtes une grande politique.
Je goûte à sa juste valeur l'ironie de votre propos, que j'approuve entièrement. J'ajouterai que borne n'est tout simplement qu'une employée modèle, totalement dévouée, bien fixe et le bout des doigts bien sur couture du pantalon, aux ordres de son patron qu'elle vénère probablement, et qu'elle sait pertinemment qu'elle ne fait qu'appliquer les directives qu'il lui dicte. Elle n'a aucune marge de manoeuvre : ou elle réussit ce qu'il lui dit de faire et elle en sera récompensée, ou elle loupe ses objectifs et elle sera virée, c'est aussi simple que cela.
Le 14 Avril ce sera plié. Les vacances de Pâques arrivent et les choix budgétaires de l'ouvrier moyen évidents . Le gouvernement ne lâchera rien , Macron non plus . Les syndicats rêvent qu'ils ont du pouvoir , ce n'est pas le cas car peu crédibles .
Je ne suis pas de votre avis concernant votre conclusion. Il n'y a aucune honte à savoir reculer devant un obstacle momentanément insurmontable. Il aurait été plus judicieux de la part du président, plutôt que d'aller taper le bout de gras avec Ping Pong au sujet d'une guerre qui va finir par nous concerner directement, de dire aux français qu'il a compris leurs préoccupations et qu'il allait revoir sa copie, en concertation avec toutes les parties prenantes. Il fallait calmer le jeux. Il fait l'inverse en envoyant la très charismatique Borne au casse pipes.
S'il pense que des gens qui ont perdu au bas mot 15 jours de salaire vont gentiment rentrer chez eux et passer a autre chose, il se trompe. Je pense que nous allons au devant d'une crise qui ne fait que commencer.
Hello "L'homme de nulle part" (un petit clin d'oeil aux Beatles ?). Bien que vous déclariez ne pas être d'accord avec ma dernière phrase, je confirme cependant que nous sommes tout à fait sur la même longueur d'onde, et j'approuve d'ailleurs vos propos lorsque vous dites qu'il n'y a pas de honte à savoir reculer. J'ajouterais même que c'est une preuve d'intelligence. Quand je disais que macron et borne n'étaient pas en position de reculer, ou du moins de concéder quelques aménagements, je faisais référence à l'état d'esprit dont ils font preuve (nous gouvernons, nous détenons la vérité et vous allez faire comme on vous l'impose, c'est en tout cas comme cela que je le ressens), et que la haute opinion que ces gens ont d'eux-mêmes, leur certitude d'avoir toujours raison, la fierté de macron qui l'amène assez régulièrement à mépriser ceux qui ne sont pas de son avis, tout cela fait qu'ils n'ont pas dans leur logiciel la fonction "marche arrière" puisque, je le redis, ce serait reconnaître leur propre échec. Et comme vous le dites si justement, macron devait à tout le moins calmer le jeu, comprendre les besoins et les difficultés des citoyens, et qu'au lieu de ça, à cause de son attitude hautaine, méprisante et intransigeante, ses propos parfois vulgaires envers une partie du peuple français qui n'est pas en accord avec ses idées (le petit roitelet n'aime pas la contradiction) et sa fierté bien mal placée, il persiste et signe en continuant à jeter de l'huile sur le feu.
Franchement, qu'est-ce qu'ils croyaient, les syndicats ? Qu'il suffirait d'aller passer une heure ou deux pour discuter du bout de gras, et que borne et macron finiraient par annuler tout ce qu'ils ont eu tant de mal à faire passer ? (en force avec le 49.3 pour éviter le vote des députés qui risquait de retoquer leur réforme). Sont-ils à ce point naïfs ou croient-ils encore au Père Noël ?
Il faut menacer et/ou bloquer les travaux et déroulement de Paris 2024
#BLOQUERPARIS2024
A quoi servent les manifestations? Combien de gens qui protestes ne se sont pas deplaces pour voter au election? Et de ce fait ont participe a l'election de macron !!!!! encore 4 ans de calme et le prochain president pourra si il le souhaite abroger la loi. Un simple appelle a voter !!!!!!! pour faire vivre la democratie et non le desordre
Je continue de penser que, stratégiquement, les syndicats ont eu tort de se précipiter à une première invitation de borne. Ils avaient la main, ils auraient dû attendre encore un peu pour accepter cette réunion, histoire de faire encore un peu plus monter la pression. Je parie qu'aujourd'hui, rien de bien intéressant ne va se dire, et que les syndicats seront une fois de plus les dindons de la farce et vont en ressortir outrés et déçus. C'est une réunion dans laquelle tous les sujets vont pouvoir être abordés, certes, mais totalement inutile puisque borne et le gouvernement ne lâcheront rien sur les 64 ans votés il y a quelques jours à peine. macron n'a aucune marge de manoeuvre : il sait que s'il concède quoi que ce soit, ce serait reconnaître qu'il a perdu la bataille.
Réagissez
Nouveau ?
Inscrivez-vousDéjà membre ?
Mot de passe oublié ?