31/12/2022 11:58

Accusations de viols dans la télé réalité - Après Julien Bert, Illan Castronovo publie à son tour une vidéo pour se défendre: "Avec notre contentieux, Julien essaie de m'enfoncer !" - Regardez

Deux plaintes contre X ont été déposées pour des viols en 2018. Dans celles-ci, figure le nom de la star de téléréalité Illan Castronovo, a-t-on appris le jeudi uprès de l'avocat des plaignantes. Une information judiciaire a été ouverte et confiée à un juge d'instruction de Blois.

Illan Castronovo a tenu à répondre à ces accusations avec un témoignage vidéo sur Instagram : "Il n'y a jamais eu personne qui a été drogué ou je ne sais quoi. Vous venez sortir une histoire fausse, qui est sortie déjà il y a huit mois. Il le sait très bien Julien. C'est juste qu'avec le contentieux qu'on a tous les deux, il essaie de sortir de l'histoire et si au passage il peut un peu m'enfoncer...

Cette soirée, je m'en souviens très bien, je ne bois pas d'alcool, je me souviens de tout ce que je fais. Et lui, Julien Bert, s'en souvient très bien, il avait filmé. Cette histoire on l'a racontée à plein de candidats tellement cette soirée était drôle. Personne n'a été forcé ou drogué, Julien le sait très bien".

Hier, le fameux Julien Bert, cité par Illan s'était également expliqué : "J'ai zéro plainte contre moi. Je fais attention aux femmes surtout aux femmes qui m'entourent et moi je ne leur manque pas de respect"..

Illan Castronovo a déjà été accusé à plusieurs reprises, notamment d'agressions sexuelles et de harcèlement, par au moins cinq candidates d'émissions de téléréalité. À Nice, une enquête préliminaire a été ouverte en décembre 2021 après le signalement d'un ex-candidat qui, selon son avocate, accuse Illan Castronovo "de viol et agression sexuelle" sur un tiers.

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Portrait de Capri
31/décembre/2022 - 15h47

Dans le sang, la durée de vie de la molécule du GHB (« drogue du violeur ») est d'environ six à huit heures et dans les urines un tout petit peu plus: on peut retrouver le psychotrope jusqu'à douze heures après ingestion. Passé ce laps de temps, impossible de déceler la moindre trace de GBL ou de GHB. Un vrai problème, surtout lorsque les victimes ne réalisent pas tout de suite qu'elles ont été droguées, ou que les services d'urgence tardent à faire des tests spécifiques qui permettent de détecter la présence de cette substance.