«Une enquête est en cours pour retrouver les auteurs», précise le tweet émanant de la Préfecture de police.
Il s'agit d'insultes et d'éléments permettant de les identifier : le numéro de plaque d'immatriculation de leurs véhicules, selon une source policière à CNEWS.
Une nouvelle affaire qui n'est pas sans rappeler celle de Savigny-le-Temple, en banlieue parisienne. Le 29 octobre dernier, des tags appelant au meurtre et au viol de policiers avaient été découverts dans un immeuble connu pour être un lieu de deal.
La tête des policiers avait été mise à prix, avec des inscriptions telles que : «Couper la tête d'un policier = 500.000 euros», «Violer une policière, prime de 500.000 euros».«En les attaquant, en appelant à leur viol et à leur meurtre, on veut appeler au meurtre et au viol de la République. Il ne peut pas y avoir de provocations comme celles-ci qui restent impunies», avait alors réagi le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui s'était rendu sur place.

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