stephane plaza Dans une interview accordée au "Buzz TV", Vincent Lagaf’ évoque les graves problèmes de santé auxquels il a fait face l’été dernier. L'animateur du "Bigdil" confie: "On a beau être le plus sportif possible, je sentais la fatigue venir, je perdais mon souffle. "
Et d'ajouter: "Les copains de mon fils se sont inquiétés et m’ont dit d’aller faire des examens. Au sortir de ça, je me suis retrouvé avec un quintuple pontage".
Avant de poursuivre: "Quand le toubib me dit : “Tu restes là, je t’opère d’un quintuple pontage”, tu lui tapes dans le dos en éclatant de rire. Sauf qu’il me dit : “Non, ton pronostic vital est engagé”."
"Moi qui ai été pompier, quand j’entends cette phrase-là, je sais ce que ça veut dire. J’avais deux artères complètement bouchées alors que je ne bois pas, je ne fume pas, je ne mange pas de sauces, je suis sportif depuis 40 ans..."
L'animateur explique alors: "Le cholestérol peut être alimentaire mais aussi issu du stress. Comme je l’ai expliqué, 40 ans de show-business dont 20 à TF1, tu le paies. L’opération était à cœur ouvert, mon cœur a été arrêté pendant six heures et demie, on l’a retourné puis on a mis le booster, et c’est reparti".
Vincent Lagaf', qui vient d'être grand-père pour la première fois, confie alors: "J’ai eu très peur la veille de l’opération. Je me suis dit qu’il ne fallait pas que ça s’arrête là, ce serait trop con. Je vais avoir un petit-fils dans quelques jours et je suis grand-père depuis deux mois et demi. Donc j’ai eu très peur."
Et d'ironiser: "En plus, il y a eu une infirmière maladroite mais gentille comme tout qui me dit : “Ça n’a pas l’air d’aller monsieur Lagaf’ ?” Alors je lui réponds que j’angoisse un peu et je lui demande si ça se passe bien généralement. Elle me dit : “Ça se passe toujours très bien, ne vous inquiétez pas ! Et puis il faut bien mourir de quelque chose”"
Vos réactions
Il n'est pas le seul
oui mais il se croit obligé de nous raconter ça. Moi je ne l'ai dit qu'à mon entourage proche.
Je ne vois pas pourquoi cet homme de télévision vient nous raconter ce genre d'aventure. Ces opérations de pontages sont pratiquées tous les jours dans le milieu hospitalier. J'ai subi une quintuple pontages avec complications : 8 jours de réa, 22 jours d'hospitalisation. Et je me suis remis au mieux. Je n'ai pas été déballé mon aventure dans la presse locale ; non je ne suis pas people, j'ai des enfants et des petits enfants que je n'ai pas vu pendant plus de 3 semaines. Je remercie le ciel de m'avoir mis entre de bonnes mains de chirurgiens, humbles, simples ; d'infirmières d'une grande compétence, d'une modestie admirable dont je ne peux qu'elles continuent avec autant de gentillesse.
Il n'est pas le seul
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