06/03/2019 06:12

Prison de Condé-Sur-Sarthe : Le terroriste blessé par balles et sa compagne tuée lors de l'intervention du Raid - Il voulait "venger" Chérif Chekatt, l'auteur de l'attentat de Strasbourg

Michaël Chiolo, le détenu radicalisé qui a poignardé mardi matin deux surveillants à la prison de haute sécurité de Condé-sur-Sarthe, a été interpellé dans la soirée à l'issue d'un assaut des forces de l'ordre au cours duquel sa compagne a été tuée.

Ce détenu de 27 ans, qui s'est retranché avec elle durant près de dix heures dans l'unité de vie familiale de la prison, a été hospitalisé après avoir été blessé "sans gravité" lors de l'assaut du Raid lancé peu avant 19H00, a indiqué le procureur de la République de Paris Rémy Heitz, qui a par ailleurs précisé que trois gardes à vue étaient en cours.

Il s'agirait pour deux d'entre eux d'un co-détenu et sa compagne, également présents dans l'unité de vie familiale au moment de l'agression des surveillants, selon des sources concordantes.

L'identité de la troisième personne en garde à vue n'était pas certaine mardi soir. Une enquête de flagrance a été ouverte pour "tentative d'assassinat sur personnes dépositaires de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs en vue de préparer des crimes d'atteintes aux personnes", a précisé M. Heitz.

"L'enquête ne fait que débuter pour établir les circonstances de cette grave agression criminelle", a-t-il ajouté. L'attaque, qui s'est produite vers 9H45, avait été qualifiée de "terroriste" dès la mi-journée par la ministre de la Justice Nicole Belloubet.

Se fondant sur de premiers témoignages, Rémy Heitz a expliqué dans la soirée que le détenu voulait "venger" Chérif Chekatt, l'auteur de l'attentat jihadiste de Strasbourg de décembre, et avait crié "Allah Akbar" au moment de se jeter sur les deux surveillants. Ces derniers ont été grièvement blessés au visage et au thorax, selon une source policière. Âgés d'une trentaine d'années, ils ont été hospitalisés mais leurs jours ne sont pas en danger.

D'après Philippe Devique (Ufap), l'un des surveillants, blessé au thorax, "est sorti du bloc opératoire et est maintenant en convalescence, sous le choc à la fois de l'opération et de l'agression sauvage".

Quant au deuxième, "il est assez gravement blessé au visage et psychologiquement très perturbé". Détenu de droit commun, Michaël Chiolo, qui purge une peine de 30 ans, se serait "radicalisé en prison", selon une source policière, mais n'était pas détenu dans le quartier pour radicalisés ouvert en septembre.

"Je crois savoir que c'est un individu qui était fiché", a précisé la ministre de la Justice. Pour agresser les deux surveillants, il a utilisé un couteau en céramique qui "aurait pu lui être apporté" par sa compagne, avait avancé Mme Belloubet à la mi-journée. Selon des sources concordantes, la compagne du détenu aurait pu cacher cette arme ainsi que la ceinture d'explosifs factice dans un faux ventre de femme enceinte. Nicole Belloubet a annoncé avoir saisi l'Inspection générale de la justice pour comprendre comment ce couteau a été introduit en détention sans être détecté lors des contrôles de sécurité.

Un rapport devra lui être remis "dans un mois", a-t-elle précisé.

"Vous avez des portiques de détection mais la céramique ça ne sonne pas à moins de faire une fouille à corps de la personne extérieure. On n'a pas le droit de fouiller les personnes extérieures comme ça", a expliqué Philippe Devique.

20h45: Selon Europe 1, sa compagne a été tuée par balles dans l'assaut du Raid. Le détenu a, lui, été blessé. Tous les deux portaient de faux gilets pare-balles, mais pas d'explosifs.

20h42: Le détenu radicalisé qui a poignardé mardi matin deux surveillants à la prison de haute sécurité de Condé-sur-Sarthe (Orne), et sa compagne avec qui il s'était retranché dans une unité de vie familiale, ont été interpellés mardi par le RAID. "Le détenu et sa compagne ont été interpellés par le RAID", a annoncé le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner sur Twitter. Ils ont été blessés lors de l'opération, ont indiqué des sources concordantes.

Selon une source proche du dossier, la femme du détenu, qui serait probablement enceinte, a été plus gravement touchée. Michaël Chiolo, 27 ans, était retranché depuis près de dix heures dans l'unité de vie familiale de la prison avec sa compagne qui a également été appréhendée à l'issue de l'assaut donné par les forces d'élites de la police nationale.

Le RAID avait lancé l'assaut contre le centre pénitentiaire vers 18h40. De nombreuses détonations étaient entendues sur place par des journalistes de l'AFP. L'attaque, qui s'est produite en début de matinée, avait été qualifiée de "terroriste" dès la mi-journée par la ministre de la Justice Nicole Belloubet.

Le parquet antiterroriste de Paris s'est immédiatement saisi du dossier et les équipes régionales d'intervention et de sécurité (Eris) de Rennes et le RAID, unité d'élite de la police nationale, avaient été dépêchés au centre pénitentiaire. Le procureur de la République de Paris Rémy Heitz, dont dépend le parquet antiterroriste, était sur place. Mme Belloubet est arrivée dans la soirée à Alençon, où elle a rendu visite aux surveillants blessés avant de se rendre à la prison.

Les faits se sont déroulés mardi, vers 09H45, quand le détenu a attaqué les deux surveillants avec un couteau en céramique, selon l'administration pénitentiaire. Les surveillants ont été grièvement blessés au visage et au thorax, selon une source policière.

Âgés d'une trentaine d'années, ils ont été hospitalisés mais leurs jours ne sont pas en danger, a précisé Alassanne Sall, délégué FO de la prison, ajoutant que le détenu avait dit "Allah Akbar" en agressant les surveillants.

20h32: Le détenu et sa compagne, qui étaient tous les deux en possession d'un couteau, ont tous les deux été blessés par balle lors de l'interpellation.

Le pronostic vital de la femme du détenu est engagé, selon des sources policières.

19h41: Christophe Castaner annonce que le détenu et sa compagne viennent d'être interpellés après une intervention qui a duré une heure 

Michaël Chiolo, 27 ans, était retranché depuis près de dix heures dans l'unité de vie familiale de la prison avec sa compagne qui a également été appréhendée à l'issue de l'assaut donné par les forces d'élites de la police nationale.

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19h11 : Les détonations se poursuivent à l'intérieur de la prison

18h49: Plusieurs détonations dans la prison de Condé-sur-Sarthe, entendues par des journalistes sur place. L'assaut serait visiblement en cours.

Les détonations entendues sont des grenades assourdissantes selon BFM TV.

18h02: Le point complet sur la situation

Un détenu radicalisé a poignardé deux surveillants mardi matin, les blessant grièvement avant de se retrancher avec sa compagne au sein de l'unité familiale de la prison ultra sécurisée d'Alençon à Condé-sur-Sarthe, une attaque dont le parquet antiterroriste de Paris s'est immédiatement saisi. "Le caractère terroriste de cette attaque ne fait aucun doute", a déclaré la ministre de la Justice Nicole Belloubet, au cours d'un point presse en début d'après-midi.

Le détenu "est encore retranché sur place", a-t-elle ajouté. Les équipes régionales d'intervention et de sécurité (Eris) de Rennes et le RAID, unité d'élite de la police nationale, ont été dépêchés au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe (Orne).

Le procureur de la République de Paris Rémy Heitz, dont dépend le parquet antiterroriste, s'est rendu sur place.

Les faits se sont déroulés mardi, vers 09H45, quand le détenu a attaqué les deux surveillants avec un couteau en céramique, selon l'administration pénitentiaire. Les surveillants ont été grièvement blessés au visage et au thorax, selon une source policière. Âgés d'une trentaine d'années, ils ont été hospitalisés mais leurs jours ne sont pas en danger, a précisé Alassanne Sall, délégué FO de la prison, ajoutant que le détenu avait dit "Allah Akbar" en agressant les surveillants.

Le surveillant le plus grièvement blessé "est au bloc pour une intervention chirurgicale après un scanner", selon le syndicaliste.

L'autre surveillant a été touché à la mâchoire, au visage et dans le dos, selon la même source. Détenu de droit commun, Michaël Chiolo, 27 ans, qui purgeait une peine de 30 ans, est considéré comme "radicalisé en prison", selon une source policière. Il n'était cependant pas détenu dans le quartier pour radicalisés ouvert en septembre, d'après FO.

"Je crois savoir que c'est un individu qui était fiché", a précisé la ministre de la Justice. Le couteau qui a servi à l'agression "aurait pu lui être apporté par sa femme", a ajouté la ministre. Mais selon Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO pénitentiaire, ce genre de couteau "est fourni par la pénitentiaire" dans les unités de vie familiale (UVF).

La compagne aurait aussi "agressé les collègues avec un couteau fourni par l'établissement", selon le syndicaliste.

Selon Me Pauline Brion, l'ancienne avocate du détenu, il a rencontré sa compagne "en prison et ils projetaient de se marier". "Il avait écrit à quelqu'un après sa conversion pour qu'on lui trouve une épouse", a-elle indiqué à l'AFP.

17h28: La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, est en route pour la prison de Condé-sur-Sarthe

16h31: Selon Sud Ouest, le détenu, qui se revendique de l’Etat islamique, a annoncé aux forces de l’ordre qu’il ne se rendra pas

16h07:  Les surveillants de prison sont appelés à bloquer les établissements dès aujourd'hui. Le secrétaire général adjoint du syndicat FO pénitentiaire déclare sur franceinfo : "Nous avons décidé de partir en mouvement social (...) Nous continuerons de faire ce que l'on doit faire pour obtenir ce qui nous est dû."

16h00: Ce que l'on sait cet après-midi

Un détenu radicalisé a poignardé deux surveillants mardi matin, les blessant grièvement avant de se retrancher avec sa compagne au sein de l’unité familiale de la prison ultra sécurisée d’Alençon/Condé-sur-Sarthe, une attaque dont le parquet antiterroriste de Paris s’est immédiatement saisi.

«Le caractère terroriste de cette attaque ne fait aucun doute», a déclaré la ministre de la Justice Nicole Belloubet, au cours d’un point presse en début d’après-midi. Le détenu «est encore retranché sur place», a-t-elle ajouté.

Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (Eris) de Rennes et le RAID, unité d’élite de la police nationale, ont été dépêchés au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe (Orne). Le procureur de la République de Paris Rémy Heitz, dont dépend le parquet antiterroriste, s’est rendu sur place.

Les faits se sont déroulés mardi, vers 09H45, quand le détenu a attaqué les deux surveillants avec un couteau en céramique, selon l’administration pénitentiaire. Les surveillants ont été grièvement blessés au visage et au thorax, selon une source policière. Âgés d’une trentaine d’années, ils ont été hospitalisés mais leurs jours ne sont pas en danger, a précisé Alassanne Sall, délégué FO de la prison, ajoutant que le détenu avait dit «Allah Akbar» en agressant les surveillants.

Le surveillant le plus grièvement blessé «est au bloc pour une intervention chirurgicale après un scanner», selon le syndicaliste. L’autre surveillant a été touché à la mâchoire, au visage et dans le dos, selon la même source.

Détenu de droit commun, Michaël Chiolo, 27 ans, qui purgeait une peine de 30 ans, est considéré comme «radicalisé en prison», selon une source policière. Il n’était cependant pas détenu dans le quartier pour radicalisés ouvert en septembre, d’après FO. «Je crois savoir que c’est un individu qui était fiché», a précisé la ministre de la Justice. Le couteau qui a servi à l’agression «aurait pu lui être apporté par sa femme», a ajouté la ministre.

Mais selon Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO pénitentiaire, ce genre de couteau «est fourni par la pénitentiaire» dans les unités de vie familiale (UVF). La compagne aurait aussi «agressé les collègues avec un couteau fourni par l’établissement», selon le syndicaliste.

Selon Me Pauline Brion, l’ancienne avocate du détenu, il a rencontré sa compagne «en prison et ils projetaient de se marier». «Il avait écrit à quelqu’un après sa conversion pour qu’on lui trouve une épouse», a-elle indiqué à l’AFP.

En réaction à l’agression de Condé-sur-Sarthe, des surveillants ont débrayé mardi devant des établissements, retardant leur prise de service notamment à Fleury-Mérogis (Essonne) selon FO pénitentiaire.

En janvier 2018, les surveillants avaient mené pendant trois semaines un mouvement de mobilisation en France, le plus important depuis 25 ans, après l’agression d’un de leurs collègues par un détenu jihadiste à Vendin-le-Vieil, prison ultra-sécurisée du Pas-de-Calais.

«Soutien total aux surveillants pénitentiaires, qui subissent de plein fouet l’islamisme. La situation de nos prisons est suffisamment tendue pour que le gouvernement n’y ajoute pas le retour des djihadistes +français+!», a réagi Marine Le Pen (RN) sur Twitter.

15h09: Ouest France rapporte que l'état du surveillant le plus gravement blessé serait désormais stable, mais ses poumons auraient été perforés pendant l'attaque.

14h50: Selon le témoignage de l'un des gardiens blessés, rapporté par BFMTV, la femme du détenu a fait un malaise pour le faire venir avec son collègue. 

14h21: "Le caractère terroriste de cette attaque ne fait aucun doute", déclare la ministre de la Justice, après l'agression de deux surveillants à la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne).

14h17:  FranceInfo rapporte que l'homme retranché à la prison a affirmé porter une ceinture d'explosifs. Des chiens renifleurs sont sur place pour détecter la présence d'éventuels explosifs.

13H47: La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, doit se rendre à la prison d'Alençon-Condé, rapportent plusieurs médias

13h45: Ouest France rapporte plusieurs témoignages de surveillants qui indiquent que le couteau en céramique aurait été apporté au détenu par sa compagne. « La céramique ne sonne pas au portique. Enceinte, elle n’a pas été fouillée », explique le syndicat Force ouvrière.

13h08: Les deux victimes ont été transportées à l'hôpital mais leur pronostic vital n'est pas engagé.

12h56: Le parquet antiterroriste se saisit de l'enquête

12h32: Voici le communiqué publié par le ministère de la Justice

Ce matin à 9h45, un détenu du quartier maison centrale de Condé-sur-Sarthe (Orne) a agressé deux surveillants. Il était à l’unité de vie familiale (UVF), avec sa femme, où il a agressé deux surveillants avec un couteau en céramique. L’un des agents a été plus grièvement atteint. Ils ont été immédiatement pris en charge, et conduits vers l’hôpital ; leur pronostic vital n’est pas engagé.

Le détenu s’est retranché dans l’unité avec son épouse. Il est condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour arrestation, enlèvement, séquestration suivi de mort et vol avec arme, et à un an d’emprisonnement pour apologie publique d’acte de terrorisme. Il est libérable, à ce jour, en 2038.

L’ERIS de Rennes est en route vers la maison centrale ; les forces de sécurité intérieure sont également mobilisées. Le parquet est saisi. Une cellule de crise a immédiatement été ouverte aux niveaux régional et national. La ministre de la Justice apporte tout son soutien aux agents blessés et à leurs proches, ainsi qu’à leurs collègues actuellement mobilisés ; elle se rend à la cellule de crise nationale

12h19: Ce que l'on sait ce midi

Un détenu qui se trouvait mardi matin à l’unité de vie familiale du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d’Alençon, a blessé grièvement deux surveillants avec un couteau avant de se retrancher avec sa compagne dans l’unité, a-t-on appris auprès de la direction de l’administration pénitentiaire.

Condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour arrestation, enlèvement, séquestration suivis de mort et vol avec arme, il a aussi été condamné à un an de prison pour apologie d’acte de terrorisme, a précisé le ministère de la Justice dans un communiqué.

12h04: Selon des sources syndicales rapportées par Ouest-France, le détenu - prénommé Michaël C - a poignardé les deux surveillants "en criant Allahou Akbar". 

11h39: Le Raid et les Eris, les équipes régionales d'intervention et de sécurité, sont sur place, explique BFMTV

11h36: Le pronostic vital de l'un des deux surveillants poignardés est engagé

11h34: Le détenu a poignardé les surveillants avec une arme artisanale

11h31: Les Équipes régionales d'intervention et de sécurité (ERIS), des unités d'interventions spécialisées sont en route vers la prison, explique LCI.

11h30: De son côté, "le détenu est retranché avec sa compagne dans une unité de vie familiale", ajoute Le Parisien. Le SAMU s'est rendu sur place, et les forces d'intervention sont en rouge.

11h24: Ce matin, un détenu radicalisé a blessé grièvement au couteau deux surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe, rapporte Le Parisien. D'après nos confrères, l'homme avait été condamné pour apologie du terrorisme.

Les deux surveillants ont été grièvement blessés au visage et au ventre.

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Vos réactions

Portrait de nina83
5/mars/2019 - 20h49

Ca va donner encore des voix à Marine aux prochaines élections, on est heureux d'apprendre que cet extrêmiste vivait en "résidence familiale" où il pouvait voir sa compagne, qui venait en visite voilée, top pour les contrôles ! vraiment c'est super ! alors j'imagine déjà ceux qui vont revenir bientôt de Syrie....... 

Portrait de Suzie Goto
5/mars/2019 - 20h40
swatss a écrit :

Et sinon , comment faite vous pour arriver à un tel niveau de haine envers la gauche....

Juste pour votre gouverne , l'arrêt systématique de la fouille est issu d'une loi de 2009 , sous Sarkozy faudra me dire comment vous imputer ça à Hollande....

Vous avez raison, et ne pas oublier que les lois ont un délai d'application ce qui fait que sous un autre mandat une loi peut être attribuée par erreur au successeur ! 

et oui !

 

Portrait de Yoko69
5/mars/2019 - 17h15
Philou.2 a écrit :

Pas de négociations inutile surtout !! Juste une balle dans la tête.. 

Bonjour,

Vous parlez d'assassiner quelqu'un ? Pourquoi ? Vous dites souvent des bêtises et je ne sais jamais si vous êtes sérieux ou non.

Portrait de Peter Healer
5/mars/2019 - 16h25

Le frère du terroriste qui a oeuvré sur le Marché de Noël à été condamné à la prison, mais il n'ira pas en prison...

La procureteuse de cette ville maudite vous l'expliquera, la maudite

Portrait de Jilou1994
5/mars/2019 - 16h03
BILOU T a écrit :

si c'était vrai les Etats Unis seraient un pays calme, sans tueries de masse, cela serait la même chose en Chine, Iran, Irak, Pakistan, Arabie ,etc    il n'a jamais été prouvé que la peine de mort soit dissuasive par rapport à un emprisonnement à vie... pour info on considère aux Etats Unis que 4% des condamnés à mort sont innocents.....

La peine de mort est efficace mais doit être appliquée rapidement et sans aucun doute sur la culpabilité. De plus c'est acte d’ôter la vie à une personne peut sembler très cruel pour une personne matérialiste identifiée à son corps matériel mais pas pour une personne éveillée au savoir spirituel. Qu'un meurtrier soit condamné à une peine de mort par l'État est une bonne chose pour le coupable, car lors de sa prochaine vie, il n'aura pas à souffrir pour son acte de meurtre. Et oui l'âme qui habite le corps ne meurt jamais. Cet atome d'énergie spirituelle est le véritable possesseur du corps temporaire constituée d'énergie matérielle. Tout comme on ne se lamente pas sur la perte d'un vêtement usé, l'âme éveillée au savoir spirituel ne se lamente pas sur la perte du corps puisque l'entité vivante réelle n'a rien à voir avec ce vêtement neuf ou usé. Ainsi les lois du karma s'appliquent à tous, que l'on y croit ou pas. En conclusion la peine de mort est une bonne chose pour protéger les innocents des criminels mais c'est aussi une très bonne chose pour le criminel pour ne pas à devoir subir dans sa prochaine vie les conséquences de ses actes. Tout le monde est gagnant alors que d'épargner un criminel dans cette vie ne l’épargnera pas d'en subir les conséquences dans sa prochaine vie et maintient la société sous anxiété. Tout ceci est très bien expliqué dans le Srimad Bhagavatam 1,7,17 ou dans la Bhagavad Gita chap.2; Pour la petite histoire La Bhagavad Gita (édition rare) c'est le livre qu'à offert en cadeau en mars 2018 le président E.Macron au premier ministre hindou Narendra Modi. Ce même livre de sagesse sur l'âme, la réincarnation, le karma était le livre de chevet de Mahatma Gandhi et est aussi le livre de référence du premier ministre Narendra Modi. ref youtube: 

PM Narendra Modi's speech at unveiling of 'Astounding Bhagavad Gita' in New Delhi
Portrait de lucieat
5/mars/2019 - 15h56

Si c'était moi, je les laisserai enfermés dans leur "unité familiale" en état de siège, sans ravitaillement, jusqu'à ce qu'ils rendent grâce, eau,chauffage, électricité coupées, on ne va pas risquer la vie d'autres gardiens pour ces gens là, ils ont choisi leur vie, ne les laissons pas prendre celle des autres

Portrait de Jilou1994
5/mars/2019 - 15h02

On vit dans une une hypocrisie institutionnelle d'avoir aboli encore une fois contre l'avis de la majorité des français la peine de mort que nous appliquons bien sûr sans état d'âme en dehors de nos frontières au nom de la "démocratie" via l'armée.  Changeons la constitution pour les crimes de sang dont la preuve de culpabilité ne fait aucun doute pour que la peur change de camp ! Et redonnons à la justice les moyens pour que ses services s'activent rapidement. J'ai été à Singapour du côté de l'Indonésie, et bien là-bas on y vit paisiblement même la nuit tellement le criminel en puissance se tient à carreau. Et s'il tente un écart et se fait prendre les peines sont sévères. Ah ce sentimentalisme après guerre qui nous pourrit encore vie !  Un petit délit = une sanction proportionnée, un crime grave = une sanction proportionnée et les vaches seront bien gardées. Education et justice vont de paire, les deux devraient être traitées avec autant d'attention. 

Portrait de xaar75
5/mars/2019 - 13h01

Ou a t’il trouvé un couteau de cuisine en ceramique ?