
La prochaine parution d'un livre qui prête à Arnaud Lagardère des propos critiques contre Valérie Trierweiler, qu'il aurait même souhaité débarquer de Paris Match, ont suscité mardi un sévère démenti de la branche Médias de son groupe.
Le président de Lagardère Active, Denis Olivennes, a ainsi assuré dans un communiqué que Paris Match avait "toujours été pleinement satisfait" de la collaboration de la compagne du président, journaliste pour l'hebdomadaire, propriété du groupe Lagardère.
"En raison d'insinuations aussi malveillantes que répétitives, tant à l'égard de notre collaboratrice, Valérie Trierweiler, que de notre hebdomadaire, Paris Match, je souhaite faire une mise au point en espérant qu'elle mette un terme définif à ces médisances", a-t-il ajouté.
"Paris Match n'a pas plus envisagé de mettre un terme au contrat de Valérie Trierweiler que de modifier en quoi que ce soit son statut et les conditions financières de sa collaboration" après l'élection présidentielle, a-t-il dit. Dans un livre à paraître mercredi, intitulé "Arnaud Lagardère, l'héritier qui voulait vivre sa vie" (Flammarion), la journaliste Jacqueline Rémy évoque des propos critiques qui auraient été tenus par l'industriel français lors de plusieurs entretiens avec elle. Valérie Trierweiler "jusqu'ici, elle ne nous a causé que des ennuis!", aurait notamment dit Arnaud Lagardère le 1er juin. Il aurait aussi confié le 5 juin que le contrat de Valérie Trierweiler s'arrêterait à la fin de l'année et ne serait pas renouvelé, "pour éviter tout conflit d'intérêt", selon le livre. La journaliste est en CDI, a souligné M. Olivennes.
Selon Jacqueline Rémy, le dirigeant serait ensuite revenu sur sa position le 13 septembre, estimant que Valérie Trierweiler n'était plus indésirable à Paris Match, et déclarant: "Le chef de l'Etat aurait expliqué qu'elle n'était pas vraiment Première Dame".
Selon la journaliste, "Valérie Trierweiler, qui a du mal à retenir ses état d'âme, est aux yeux du groupe comme de ceux de l'entourage de François Hollande, une grenade dégoupillée".
Vos réactions
Quand on est dément c'est que c'est vrai
Ce n'est pas faux
Mais bien sûr on va y croire
Les histoires de Valérie
C'est quoi qu'on appelle un salaire fictif ?
Mince j'ai oublié le nom
Elle doit en avoir beaucoup
Mais bien sûr on va y croire
De toute façon c'est impossible de la virer car le groupe Lagardere risque d'avoir des soucis même si personne ne l'avouera.
les merdias n'ont rien d'autres a faire que de nous parler de la premiere p..... de france
Et bien il aurait du. Nous l'entretenons déjà, l'héritière. Ce qu'elle veut, c'est garder sa carte de presse car on le sait, plus on a d'argent et plus on souhaite d'avantages. Et puis son toujours mari est rédacteur de Paris-Match. Ce que je demande à chacun : avez-vous lu une seule chronique de cette femme ? Et bien elle se borne à retranscrire ce que 'elle a lu, d'une façon fade et peu littéraire. Elle n'a absolument aucun talent d'écriture. On voit bien que sans piston, elle ne serait même pas en mesure d'exprimer une opinion
Pour info. Elle est divorce de son mari même si elle porte toujours son nom
et revoilà la mégère
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