
Météo maussade oblige, de nombreuses communes ont d’ores et déjà annoncé qu’elles annulaient leurs traditionnels feux d’artifices du 14 juillet en raison du mauvais temps.
Dans le nord de la France, ce sont ainsi une cinquantaine de villes qui ont décidé d’annuler ou de reporté leurs festivités.
Parmi celle-ci, Lens, Douai, Elincourt ou encore Outreau.
Dans l’est, certaines communes de Lorraines comme Faulquemont, Behren les Forbach, Stiring Wendel, ne maintiendront pas non plus leurs feux. L’ouest n’est pas non plus épargné. Ainsi Rennes a préféré annuler les événements de la fête nationale. D'autres communes comme Betton, ne feront pas non plus briller leur ciel.
Dans le sud les feux d’artifices d’Antibes et de Toulon sont eux aussi annulé. Le vent est en cause La pluie n’est souvent pas un réel problème pour les artificiers qui adaptent la plupart du temps leurs matériaux. En revanche, le vent joue lui un rôle important. Au-delà de 54km/H, il est interdit de tirer un feu d'artifice. Plutôt que d’attendre le dernier moment pour voir si le vent est propice ou non, plusieurs maires préfèrent prendre les devants en raison des coûts engendrés par ce genre d’événements.
Ces décisions prises en amont évitent ainsi aux communes d’engager des frais de sonorisation, de sécurisation ou de restauration.
La plupart des villes ne souscrivent d’ailleurs pas d'assurance-annulation.
Vos réactions
Des impots locaux qui partiront pas en fumée !!!!
Donnons cet argent pour ceux qui en ont besoin au lieu de forcer notre égo !!!
zéro pointé
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