complément d'enquete Au lendemain de la diffusion d'une enquête contre CNews faussée et déjà dénoncée hier soir par l'ARCOM, le gendarme de l'audiovisuel alerte dans un communiqué, sur un autre reportage de "Complément d'Enquête" diffusée le 19 juin 2025 sur France 2 et mettant en cause l’institution sénatoriale.
Du coup, l'ARCOM met en garde France 2 et alerte sur la nécessité de faire preuve de rigueur et d’honnêteté dans la présentation et le traitement de l’information ainsi que de mesure dans l’évocation des procédures judiciaires en cours. Elle a par ailleurs saisi le comité d’éthique institué auprès du groupe France Télévisions, susceptible de mener un examen complémentaire.
Plusieurs points sont mis en cause dans l'émission comme quand " journaliste fait lui-même état de « sénateurs dealers », « de trafic de drogue », de « trafiquants de drogues » au sein du Sénat. Ces accusations graves sont formulées sans recours au conditionnel ni mise en perspective et se fondent sur des déclarations dans le cadre de l’enquête dont il fait l’objet ainsi que sur les dires du médecin précité, en contentieux avec le Sénat.
L’Arcom a dès lors considéré que les informations ainsi relatées sur la base de procédures judiciaires en cours ne pouvaient être regardées comme ayant été traitées avec la mesure et la rigueur requises.
Concernant le traitement des faits rapportés de harcèlement de collaborateurs parlementaires, l’Autorité regrette l’absence de mise en perspective, de nature à nuire à la bonne compréhension du téléspectateur, des propos tenus par l’un des collaborateurs parlementaires ayant dénoncé des faits de harcèlement à son encontre, concernant la modification de la procédure de traitement des signalements de harcèlement.
S’agissant de la partie de l’émission consacrés aux frais de mandats d’un sénateur ayant donné lieu à des saisines du comité de déontologie en raison de demandes de remboursement de dépenses suspectées d’être sans rapport avec l’exercice de son mandat, celle-ci se conclut par l’affirmation qu’en 2023, « à peine la moitié [des dépenses des sénateurs] a été contrôlée ».
Une telle affirmation, qui n’est assortie d’aucune précision concernant la nature et l’étendue des contrôles exercés, et ne fait pas l’objet d’une mise en perspective au regard des exigences applicables en la matière, ne peut que laisser penser, dans le contexte de l’émission, que les contrôles opérés sur les frais de mandat des sénateurs sont particulièrement insuffisants."
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Vos réactions
On la sent la panique dans les services TV et radios publics.
De plus en plus de français, se rendent compte de ce que l'on fait de leurs impôts et du parti pris idéologique allant jusqu'à utiliser ces services pour des magouilles politique, faire de la désinformation en utilisant des sources Pro Hamas par exemple.
Aucune chance d'être journaliste de droite chez eux évidemment. Le plus à droite pour eux c'est voter PS. Et déjà là on te soupçonne d'être un peu facho.
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