Découvrez la lettre de Jean-Jacques Goldman qui sort du silence et exprime sa reconnaissance envers "les armées et les forces de sécurité qui veillent sur la nation"

A l’occasion du 107ᵉ anniversaire de l’armistice, Jean-Jacques Goldman, à l’abri des projecteurs mais fidèle à ses convictions, a publié une lettre manuscrite à l’attention de ses compatriotes. Dans ce message sobre mais solennel, il exprime sa reconnaissance envers les « armées » et « toutes les forces de sécurité » qui veillent quotidiennement sur la nation. « Pas de paix sans gardien, ni liberté sans soldat », écrit-il d’emblée, posant le ton d’un hommage à la fois universel et personnel.

Il rappelle que « l’actualité nous le rappelle dramatiquement chaque jour », soulignant combien le contexte géopolitique et les menaces actuelles rendent plus que jamais indispensable l’engagement de celles et ceux qui protègent.

Ambassadeur de l’association Bleuet de France, Goldman confie être « heureux et fier de pouvoir aider » cette structure qui accompagne les militaires, leurs familles et les victimes du terrorisme.

À l’occasion du centenaire de l’association, il a également composé la chanson « On sera là », interprétée par deux anciens gendarmes, et dont les droits sont intégralement reversés à l’association.

L’artiste, souvent discret et totalement retiré de la scène depuis de nombreuses années, s’engage ici dans un geste de mémoire et de reconnaissance.

Sa lettre invite à une prise de conscience collective : il ne s’agit pas uniquement de célébrer un jour particulier, mais de ne jamais oublier que la paix et la liberté ont un prix. Il s’adresse à tous : à celles et ceux qui sont aujourd’hui en première ligne, mais aussi aux citoyens qui, au quotidien, bénéficient de cette protection.

Le message est dépourvu d’effets spectaculaires ; il mise sur la simplicité, l’humilité et la sincérité. En filigrane, Goldman fait le choix d’une gratitude silencieuse, mais ferme : celle des artistes, des citoyens envers ceux qui servent la Nation.

Il rappelle que la reconnaissance ne se limite pas à un instant de commémoration, mais doit se traduire par un soutien concret, moral et durable, aux hommes et femmes qui donnent de leur vie, de leur temps et de leur énergie.

En conclusion, cet hommage place l’engagement des forces armées et de sécurité dans une perspective plus large : celle de la protection de la collectivité, de la préservation de la paix sociale, plus que de la simple forte symbolique.

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