
20h12: Après 12 minutes de reportages, Léa Salamé, victime d'une extinction de voix, débute son interview de Sébastien Lecornu :
"Ce soir, je considère que ma mission est terminée. On a une assemblée fragmentée mais il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution et pas que parce qu’il y aurait la peur de retourner aux urnes comme on a pu l’entendre. On a après plusieurs sous blocs, on a une majorité très relative de plusieurs formations politiques qui, au fond, sont prêtes à s’accorder sur un budget commun .
Le chemin est possible encore. Il est difficile et j’ai dit au président de la République que les perspectives de dissolution s’éloignaient et que je pense que la situation permet pour le président de nommer un premier ministre dans les 48 prochaines heures.
L'équipe qui devra prendre les responsabilités, quelle qu'elle soit, devra être complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027.
La réforme des retraites. C’est le sujet le plus bloquant. Il y a ceux qui sont opposés. On ne peut pas être dans un déni démographique, il faut équilibrer le régime. Mais une fois que j’ai dit ça, il faut quand même être sourd pour ne pas entendre qu’il y a des Français qui disent “Il n’y a pas eu de vote.
Des Français ont le sentiment que le débat ne s’est pas déroulé normalement alors qu’il s’est déroulé normalement. À la fois c’est une source de blocage, au Parlement, et on aura bien du mal à dire qu’il ne faudra pas de débat. Il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites.
Une personnalité de gauche à Matignon ? C'est au chef de l'État de mener les ultimes négociations pour nommer un nouveau Premier ministre.
Toutes les formations politiques qui sont venues me voir qu’il ne fallait pas prendre le risque de ne pas avoir de budget d’ici la fin décembre. J’ai veillé, même s’il ne sera pas parfait puisque j’ai été nommé il y a peu, à ce qu’un projet de budget soit déposé lundi. Il y aura beaucoup à débattre.
Il faut qu'un gouvernement soit nommé, qu'un projet de budget pour la Sécu et pour l'Etat soit débattu et adopté par le Conseil des ministres et ensuite que les travaux ouvrent à l'Assemblée nationale.
Ce soir ma mission est terminée, et j'ai tout essayé."
19h55: Le Point demande demain, en Une, à Emmanuel Macron de se retirer
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19h10: Emmanuel Macron et Bruno Retailleau ont échangé par téléphone cet après-midi, selon une information du Figaro, confirmée par les entourages respectifs des deux intéressés. Le président des Républicains a affirmé au chef de l’État que le prochain premier ministre ne devait être «ni socialiste, ni macroniste», selon une source au fait de l’échange.
Il a aussi réaffirmé à Emmanuel Macron son radical désaccord avec une suspension de la réforme des retraites, au cœur des discussions entre Sébastien Lecornu et le Parti socialiste.
19h09: Le président du Rassemblement national Jordan Bardella indique que "toutes les magouilles sont bonnes pour empêcher la dissolution" de l'Assemblée nationale. Pour Jordan Bardella, Emmanuel Macron "cherche à gagner du temps et à maintenir son pouvoir coûte que coûte".
18h12: Le premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu arrive à l’Élysée au terme de ses «ultimes négociations», a constaté l’AFP.
18h07: Manuel Bompard s'exprime à la sortie d'une réunion des différentes composantes de la gauche, à laquelle le Parti socialiste a choisi de ne pas s'associer. "Nous avons mis en place des groupes de travail, en cas de dissolution de l'Assemblée nationale", explique-t-il.
"Nous avons pris la décision de censurer tout gouvernement de grande coalition. (...) Nous censurerons tout gouvernement qui inscrit sa politique dans la continuité d'Emmanuel Macron.", a-t-il ajouté.
15h24: Marine Le Pen déplore "un piteux spectacle des jeux partisans", lors d'une prise de parole depuis le salon de l'élevage à Cournon-d'Auvergne (Puy-de-Dôme). "La crise politique actuelle est grave", estime la cheffe de file des députés RN.
"Aucune actualité politique partisane ne passera avant l’intérêt des Français. Cette actualité politique d’une insondable médiocrité, par ce qu’elle révèle sur l’état du pays et sur l’absence totale de vision des gouvernants, rendait ma venue ici indispensable."
Interrogée sur une nouvelle nomination de Sébastien Lecornu, Marine le Pen répond: "C'est un comique de répétition?"
"Entre les démissionnaires qui démissionnent et les démissionnaires, dont on a accepté la démission, et qui sont renommés. Je pense que tout cela a duré."
"Je suis assez sensible au comique de répétition. (...) Le spectacle qui est donné est désespérant.", a-t-elle ajouté.
Et de poursuivre: "Je censurerai tout jusqu'à obtenir la dissolution".
Marine Le Pen a également réaffirmé la position du Rassemblement national en cas de retour aux urnes. « Si les Français nous veulent, nous sommes prêts et nous enverrons Jordan Bardella qui constituera un gouvernement de coalition », a-t-elle déclaré. La cheffe du groupe RN à l’Assemblée nationale a toutefois précisé : « Si nous n’avons pas de majorité absolue, nous respecterons la volonté du peuple français. »
15h01: Ce serait un nouveau coup de théâtre ! Selon le Parisien, Emmanuel Macron pourrait renommer Sébastien Lecornu dès ce soir, avant même sa prise de parole au journal de 20h de France 2. C'est donc au titre de nouveau Premier ministre que, dans cette hypothèse, Sébastien Lecornu viendrait sur le plateau du 20h de France 2.
Dans un article publié il y a quelques instants nos confrères écrivent :
"Un scénario tiendrait plus que jamais la corde ces dernières heures : une reconduction de Lecornu à Matignon. Elle pourrait être annoncée juste avant 20 heures, par voie de communiqué de presse de l’Élysée, ou demain dans la journée. (...)
Cela permettrait au président de gagner du temps et de peut-être faire passer un budget avant la fin de l’année, car ça reste la priorité », explique un pilier de l’exécutif à nos confrères.
13h37: La patronne des Écologistes Marine Tondelier a mis en garde mercredi contre l’« ultime provocation » que constituerait, selon elle, la nomination d’un Premier ministre issu du camp présidentiel, à l’issue de sa rencontre avec Sébastien Lecornu à Matignon.
Un tel Premier ministre « ne tiendrait pas une minute. Ils le savent, on le sait, tout le monde le sait, donc on va arrêter de faire semblant. La seule solution aujourd’hui, c’est un premier ministre de gauche et écologiste », qui aurait « un soutien populaire », a-t-elle assuré, plaidant pour « une cohabitation ».
Elle a également dit avoir compris de son entretien avec le Premier ministre démissionnaire que « Monsieur Lecornu voulait tout faire pour éviter une dissolution ». « Ce n’est pas l’hypothèse qu’il privilégie et ce n’est pas ce qu’il a envie d’annoncer ce soir au JT de France 2 », dont il sera l’invité, selon elle.
Pour Marine Tondelier, ceux qui expliquent qu’ils censureraient un ministre de gauche ou écologiste « dans les quinze minutes » jouent au « poker menteur » et ne pourraient pas anéantir « le dernier espoir avant une dissolution ».
Elle a précisé qu’être en cohabitation signifiait avoir « un gouvernement avec des ministres issus des groupes de gauche et écologistes », écartant l’hypothèse de tout ministre macroniste au gouvernement.
Le patron du PS Olivier Faure avait évoqué mercredi matin qu’un Premier ministre de gauche pourrait « accepter le maintien » de Jean-Noël Barrot aux Affaires étrangères et Sébastien Lecornu aux Armées car « c’est un domaine partagé avec le chef de l’État ».
Et la présidente des députés Écologistes, Cyrielle Chatelain, a précisé qu’ils voulaient « un Premier ministre, qui a lors des élections législatives été en campagne au nom de la gauche et des écologistes et qui a eu le soutien des Français. Donc pas Bernard Cazeneuve. »
11h42: "On ne peut pas laisser les Français dans l'angoisse", déclare Olivier Faure après son entretien avec Sébastien Lecornu. "Nous souhaitons un déblocage de la crise", ajoute-t-il. "A l'heure actuelle, nous n'avons aucune assurance d'une suspension de la réforme des retraites". "Pas de gouvernement commun avec la macronie", déclare Olivier Faure, le Premier secrétaire du Parti Socialiste.
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"Un gouvernement commun avec la Macronie, c'est inimaginable", souligne Olivier Faure pic.twitter.com/HAl5j3d7qS
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11h37: La cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, a déclaré mercredi qu’elle « censurerait » le gouvernement, même si elle est favorable à une suspension de la réforme des retraites.
« Je suis heureuse de cette suspension (de la réforme des retraites) si elle intervient », a-t-elle déclaré à la presse, en marge d’une visite au sommet de l’élevage à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme).
Pour autant, « je censure tout. Là, maintenant, stop. La plaisanterie a assez duré », a ajouté Mme Le Pen. « On fait courir les Français derrière des ba-balles, tout ça pour gagner du temps. C’est inadmissible ».
« Je suis un peu étonnée de la manière dont cette suspension (de la réforme des retraites) est annoncée » par l’ancienne Première ministre Elisabeth Borne, a-t-elle poursuivi, y voyant le signe que « la fébrilité semble avoir saisi l’intégralité des membres de ce gouvernement. »
Quant au Premier ministre démissionnaire, Sébastien Lecornu, il est « bien optimiste » quand il prédit que la perspective d’une dissolution de l’Assemblée nationale s’éloigne, a-t-elle encore estimé, jugeant un retour aux urnes « tout à fait inévitable ».
« J’attends une dissolution (de l’Assemblée nationale). Ou une démission (du président), ça m’irait bien aussi. Je ne suis pas trop exigeante, mais c’est ou l’un ou l’autre au choix du président » Emmanuel Macron, a poursuivi la présidente des députés RN. « Maintenant, on siffle la fin de la récréation. Et le début de la campagne. »
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"Je censure tout, la plaisanterie a assez duré", déclare Marine Le Pen pic.twitter.com/gg9Nh8rJDo
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11h30: Le point sur ce que l'on sait
Sébastien Lecornu a mis en avant mercredi la « volonté » de plusieurs forces politiques d’avoir un budget « avant le 31 décembre », « une convergence évidemment qui éloigne les perspectives de dissolution » de l’Assemblée nationale, lors d’une allocution à Matignon.
Il n’a pas abordé la question cruciale d’une éventuelle suspension de la très contestée réforme des retraites de 2023 sur laquelle il était très attendu.
Après avoir consulté mardi notamment la droite et le centre, le Premier ministre démissionnaire s’est exprimé mercredi depuis Matignon avant de recevoir les responsables socialistes, les écologistes et les communistes.
L’objectif sera de « voir quelles sont les concessions qu’elles (les formations de gauche) demandent aux autres formations politiques pour garantir une stabilité, quelles sont les concessions qu’elles sont prêtes à faire aussi », a détaillé M. Lecornu.
Il présentera ensuite au président Emmanuel Macron « les solutions qui sont sur la table » et s’exprimera au 20H00 de France 2.
Mercredi matin, l’ex-ministre des Armées a aussi relevé, après les consultations des forces politiques, que « la cible de déficit public doit être tenue (...) entre 4,7% et 5% » du PIB dans le budget 2026, et plus nécessairement à 4,7%.
A part le budget, il a souligné qu’il y avait un autre « sujet de préoccupation majeur » à régler, la Nouvelle-Calédonie.
La crise politique perturbe en effet le calendrier acté dans la foulée des négociations de Bougival, signé en juillet entre les non-indépendantistes, l’État et les indépendantistes.
Selon ce calendrier, les prochaines semaines devaient permettre de reporter les élections provinciales et de dégeler le corps électoral en Nouvelle-Calédonie. Une loi organique, avant novembre, est nécessaire pour acter ce report.
Enfin, sur un autre sujet, qui « a ému un certain nombre de Françaises et de Français », Sébastien Lecornu a assuré que les nouveaux membres du gouvernement, nommés dimanche et qui n’auront été en poste que quelques heures, « n’auront pas le droit » aux trois mois d’indemnités auxquelles ils auraient pu prétendre.
« On ne peut pas vouloir faire des économies si on ne maintient pas par ailleurs une règle d’exemplarité et de rigueur », a-t-il fait valoir.
11h05: La présidente des députés de La France insoumise, Mathilde Panot, a assuré mercredi que son groupe censurerait « tout gouvernement qui continuerait la politique macroniste », estimant que le patron du PS Olivier Faure n’obtiendra « que des miettes » en négociant avec Sébastien Lecornu.
« S’il y a une alliance de bric et de broc qui se fait d’une quelconque manière pour continuer la politique macroniste, nous ne participerons pas à un sauvetage d’Emmanuel Macron », a martelé la responsable insoumise sur RMC-BFMTV, assurant par ailleurs qu’elle ne croyait « pas » à la nomination d’un gouvernement de gauche.
« Je n’ai pas dit que nous censurerions un gouvernement uniquement composé de socialistes, d’écologistes et de communistes », s’est-elle repris juste après, « à ce moment-là, nous verrions ce qui se fait ». « Mais il n’y a qu’à voir les mathématiques, c’est impossible », en raison de la composition de l’Assemblée nationale, a-t-elle ajouté.
Elle a regretté qu’Olivier Faure soit « en train de discuter avec la macronie », jugeant qu’il « cède à l’air du temps, la détestation et la haine de la gauche radicale ».
La seule manière pour lui d’être nommé Premier ministre, a-t-elle estimé, « c’est de se contenter des miettes d’un pouvoir en décomposition ».
Plus tard dans la matinée, la cheffe des députées LFI a indiqué qu’un gouvernement socialiste dans lequel les ministres démissionnaires Jean-Noël Barrot et Sébastien Lecornu resteraient à des postes stratégiques, comme l’avait envisagé un peu plus tôt M. Faure, serait censuré « a priori » par les Insoumis.
Mme Panot a en outre rappelé que LFI demandait l’« abrogation » pure et simple de la réforme des retraites et non sa seule suspension envisagée par le Premier ministre démissionnaire, Sébastien Lecornu, pour sortir de la crise politique dans laquelle la France est plongée.
« Le fait que cette réforme qui est déjà une anomalie démocratique, soit suspendue, ce qui voudrait dire, la retraite à 63 ans, n’est pas envisageable, nous voulons son abrogation », a insisté la députée.
10h52: La motion de la France insoumise demandant la destitution d'Emmanuel Macron jugée irrecevable
10h40: Le Premier ministre démissionnaire, Sébastien Lecornu accordera ce soir une interview exclusive au Journal de 20h de France 2. Après la consultation des partis à Matignon, il répondra en direct aux questions de Léa Salamé.
09h53: Jean-Luc Mélenchon vient de poster un message sur son compte X. "Consternant ralliement d'Olivier Faure au sauvetage du système. Cessez d'assimiler son choix personnel aux autres composantes du NFP. LFI n'a rien à voir avec ça".
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Consternant ralliement d'Olivier Faure au sauvetage du système. Cessez d'assimiler son choix personnel aux autres composantes du NFP. LFI n'a rien à voir avec ça.
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) October 8, 2025
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09h36: Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu, engagé dans des consultations avec les partis politiques pour trouver une issue à la crise gouvernementale, a salué mercredi la "convergence" pour "avoir un budget" d'ici la fin de l'année, qui "éloigne les perspectives d'une dissolution".
L’éphémère chef de gouvernement n’a en revanche pas évoqué la réforme des retraites, après un appel de l’ex-Première ministre Elisabeth Borne à suspendre le texte qu’elle avait porté à Matignon.
Sébastien Lecornu a également assuré que les nouveaux membres du gouvernement nommés dimanche, qui n'auront été en poste que quelques heures, n'auront pas le droit aux indemnités auxquelles ils auraient pu prétendre.
08h53: Sébastien Lecornu annonce qu'il va faire une déclaration à 9h30 depuis Matignon
08h37: Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, "ne croit pas" à un gouvernement de gauche. "Je ne crois pas qu'Emmanuel puisse nommer un Premier ministre de gauche, en tout cas avec un programme de rupture", estime-t-elle sur BFM TV. La députée rappelle qu'elle censurera tout gouvernement qui poursuivrait la politique du président de la République et donc que "demander une cohabitation c'est sauver Emmanuel Macron".
Mathilde Panot (LFI) affirme "ne pas croire" à l'éventualité d'un gouvernement de gauche pic.twitter.com/R8FeVMddvw
— BFMTV (@BFMTV) October 8, 2025
07h46: "Nous n'avons pas évoqué la dissolution hier avec le président de la République", assure ce matin sur RTL la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, après sa rencontre avec Emmanuel Macron hier. "Ca ne doit pas arriver parce que la dissolution est coûteuse, elle mettrait un coup d'arrêt total à notre pays", défend-elle.
"Nous n'avons pas évoqué la dissolution hier avec le président : elle serait coûteuse, mettrait un coup d'arrêt total à notre pays et ne résoudrait pas grand chose"@YaelBRAUNPIVET, présidente de l'Assemblée nationale française, invitée de @ThomasSotto dans #RTLMatin pic.twitter.com/p7kWUeJP3O
— RTL France (@RTLFrance) October 8, 2025
05h34: Dans une interview accordée au Parisien, la ministre démissionnaire de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, s’est montrée favorable à une «suspension » de la réforme des retraites - qu’elle avait pourtant portée et fait adopter dans la douleur en 2023, en tant que première ministre.
Face à la crise politique, et compte tenu, indique-t-elle, du caractère «épidermique » du dossier des retraites « dans notre pays», Élisabeth Borne appelle son camp à « avancer », «savoir écouter et bouger ».
Sur LCI, la ministre démissionnaire de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, lui a emboîté le pas, se disant «prête à temporiser». «Notre porte est ouverte et notre main est tendue», a lancé cette autre figure de l’aile gauche de la macronie, avant de relativiser aussitôt : «Ce n’est pas un retour en arrière».
Il y a deux semaines, bien avant de présenter sa démission, Sébastien Lecornu avait déjà demandé à Bercy d’évaluer le coût de l’ensemble du projet de budget alternatif du Parti socialiste, où figure une telle suspension de la réforme des retraites, a fait savoir son entourage.
Refusant d’ériger sa propre loi en « totem » - qui relève progressivement l’âge de départ à 64 ans -, l’hôte de la rue de Grenelle assume son changement de pied, «si c’est la condition de la stabilité du pays» jusqu’à la présidentielle.
Vos réactions
Il vient parler mais pour annoncer qu il ne sait rien.......
Ceux qui se font avoir par le chiffon des retraites, sont les mêmes qui se font avoir par zuckman...
Ce pays est foutu si la moindre notion d'economie n'est compris...
Il est urgent de changer cette présentatrice...
Bilan de l'interview :
1. Il n'annonce rien, l'impasse est totale.
2. Salamé est vraiment nulle.
Comment dire que la majorité des députés ne veulent pas la dissolution, sachant que la majorité LFI et RN + alliés n'ont pas été consulté ? Lol
Ces clowns sont pret a tout pour sauvegarder leur poste....
C est beau tous ces députés qui se ch*e dessus de peur de perdre leur place
Comment certains sont pret a tout pour ne pas perdre leur poste de députés. On le saurait si un 1er ministre pouvait sortir du chapeau. Il sera censuré.
La dissolution est la seule solution que Macron le veuille ou pas. Il est pret a tout pour garder son poste. Même nommer un premier ministre PS (4%). Comme si la.reforme des retraites etait un critère, on cherche des économies pas dépenses. C'est juste incroyable ! La réforme des retraites on s'en fou, on veut moins d'impôts, que le travail paye (moins d'assistés).
avant de censurer il faudrait que lfi est la majorité à l'assemblée nationale ce n'est pas le cas.
Dans quelle configuration vous voyez seulement LFi engager une dissolution ?
ou bien je renverse votre question, quel gouvernement aurait désormais la majorité?
avant de censurer il faudrait que lfi est la majorité à l'assemblée nationale ce n'est pas le cas.
Je me demande quand on aura un vote du parlement ?
Lecornu ne demandera pas le 49-3, n'engagera pas sa responsabilité, ne demandera pas de vote de confiance.
Alors comment aura t-on un vote pour le dégager, puisque coté président on ne demandera pas non plus de dissolution ?
Le Président est perdu personne ne veut aller occuper le poste de 1er Ministre et je comprends avec toute cette pagaille
C'est le changement on reprend les mêmes : on marche sur la tête , ça devient dangereux quel chaos !!!!
Info économie : ça y est, à 3,53%, le taux d'emprunt à 10 ans de la France a dépassé celui de l'Italie. Les courbes se sont inversées et se croisent aujourd'hui. C'est historique.
Immigration hors contrôle depuis un demi-siècle => Électorat modifié en conséquence => 1/3 de députés d'extrême gauche + 1/3 de députés de gauche +1/3 de Résistants = France ingouvernable
La valse dans les promotions .......bientôt un film .....
Décidement Jupiter nous aura pris pour des cons jusqu'au bout....
Quand arrêteront-ils de se foutre de notre gueule ?
La cours de récréation continue, le spectacle est plus que désolant. Notre classe politique est nullissime, tous partis confondus...
Si Macron démissionnait il partirait la tête haute en disant je me retire les Français ne me veulent plus de moi ..... il attend ... il va être obligé de démissionner tôt ou tard la tête basse
De toutes façon les retraites seront la 1ere dépense que l'état cessera de payer à plein quand il ne pourra plus emprunter d'ici quelques mois.
Le recul de l'âge de départ en retraite ne permettait que des économies de bouts de chandelles devenues totalement insuffisantes désormais quand on ne pourra plus emprunter (perte du double A).
Il va falloir réduire très fortement les pensions perçues par TOUS les retraités, d'au moins un tiers, comme c'est arrivé en Grece et ailleurs. Les retraites ce sont près de 400 milliards à sortir chaque année. Bientôt on ne pourra plus les trouver alors il n'y aura qu'une solution : payer moins, beaucoup moins chaque retraité !
D'autant que la colère des retraités ne risquera pas bloquer l'appareil de production : ils ne travaillent plus !
Il va falloir réduire très fortement les pensions perçues par TOUS les retraités, d'au moins un tiers, comme c'est arrivé en Grece et ailleurs. Les retraites ce sont près de 400 milliards à sortir chaque année. Bientôt on ne pourra plus les trouver alors il n'y aura qu'une solution : payer moins, beaucoup moins chaque retraité !D'autant que la colère des retraités ne risquera pas bloquer l'appareil de production : ils ne travaillent plus !
Pauvre con. La plupart d' entre eux ont commence a travailler a 17/18 ans. Et ceux qui touchent un peu plus sont payées par des caisses privées, comme l'Agirc, que l'etat voudrait bien recuperer pour payer la retraite des fonctionnaires qui eux, se barrent avec 80% de leur derniers salaires et aussi, payer des cassos dans ton genre.
Je suppose Ducon que tu es favorable a l’euthanasie, histoire de faire de la place dans les ehpad?
Olivier FAURE la "machine" à perdre, une vraie girouette.
Si les politiciens n’étaient pas des politiviens, il y aurait une solution simple.
de LFi au rn, du ps au LR, ils se mettent d’accord pour déclarer qu’ils voteront tous la censure tant qu’il n’y aura pas un retour aux urnes
on verrait jusqu’où irait notre petit Mozart
Quand ils auront fini leur cinéma de savoir qui sera, qui ne sera pas... qui ira, qui n'ira pas.... tous ces guignols pourront penser à la France et aux Français.
Même dans les meilleurs films comiques, on n'a jamais autant ri si ce n'était cette envie d'en pleurer devant l'incroyable film auquel nous assistons.... Rappelons que tous ces gens NE SAVENT FAIRE QUE CA..... de la politique.... enfin, savent faire !!!! c'est vite dit !
Quant à MACRON, rappelons-lui qu'être sérieux et responsable, c'est aussi un des jobs du Président.... et ça, il ne sait pas faire le guignolo !
qu'elle aille se faire foutre Marine Le Pen elle n'a pas signé la destitution de Macron. Maintenant à cause d'elle la France est dans la merde. Je vote Philippe de Villiers maintenant.
Alors on va mettre quand même un petit peu les points sur les i parce que c'est bien gentil tu veux que je te rappelle quels sont les partis politiques qui ont mis Macron au pouvoir ? Les mêmes qui ont fait la demande de destitution. Donc bon il y a un moment c'est bien gentil de chier sur le RN il faudrait plutôt chier sur les gens qui ont fait que Macron est au pouvoir.
Il n'est même pas certain que la désormais inéligible Marine Le Pen soutienne vraiment une dissolution qui lui ferait perdre son titre de députée ..
qu'elle aille se faire foutre Marine Le Pen elle n'a pas signé la destitution de Macron. Maintenant à cause d'elle la France est dans la merde. Je vote Philippe de Villiers maintenant.
Un sketch, on va faire un gvt avec les 3% des électeurs...
Je lis tous les commentaires et c'est unanime ,on en est là a cause des retraités.Sinon les hauts salaires,les riches voir très riches , les salariés qui on de haut salaires,tous ses politiciens ,eux on touche pas.Que les retraités comme si ils gagnaient bien leurs vies.salaire médiant 1600 € pour un retraité, ça c'est un riche ? . Drôle de monde.
Spectacle pitoyable c'est a celui qui trahira le plus ses convictions pour sauver sa place...
Sirupeux, gluant et pitoyable Guignol.
Il va y a voir un 1er Ministre Socialiste ils vont faire quoi ? on les a eu au pouvoir !!!
Il faut un Gouvernement qui soit ferme qu'il ose qu'il soit juste pour le peuple et non pour les riches Surtout qu'il ne mentent pas au peuple !!!!
Macron ne veut pas démissionner il est trop fier top imbu de sa personne pourtant ça serait pour le bien de la France mais il s'en fou il sait qu'il n'est pas aimé alors il fait exprès d'enfoncer le clou !!!
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