Regardez les forces de l'ordre, qui sont intervenues à Paris, devant le défilé Hermès, alors que l'association Peta voulait dénoncer l'utilisation de peaux d'animaux par la célèbre marque de luxe - Vidéo

Les forces de l'ordre sont intervenues cet après-midi à Paris devant le défilé Hermès, alors que l'association Peta voulait dénoncer l'utilisation de peaux d'animaux par la célèbre marque de luxe. Les membres de l'association, qui étaient surtout des femmes sont arrivés dans un van noir, mais également sur le toi de ce van, en étant déguisé avec des uniformes de policiers qui n'étaient pas Français.

Mais très rapidement les véritables forces de l'ordre sont intervenues pour les faire dégager et faire place nette.

Hermès a présenté cet après-midi à Paris sa nouvelle collection Printemps-Été 2026 lors d’un défilé très attendu de la Fashion Week. Le show, organisé dans un décor épuré et élégant, a mis à l’honneur l’héritage équestre de la maison, en rappelant ses origines de sellier.

La directrice artistique Nadège Vanhee a choisi des silhouettes sobres, structurées et sensuelles, jouant sur des tons naturels – sable, cuir fauve, brun et ivoire – qui rappellent les matières nobles.

Les mannequins ont défilé avec des vestes ajustées, des bottes hautes et des accessoires évoquant l’univers du cheval, tout en mêlant légèreté et modernité dans les coupes.

Le public, composé de célébrités et de journalistes de mode du monde entier, a salué l’élégance discrète mais affirmée de la collection.

Un moment a marqué l’événement : une intervention surprise de militantes de PETA, déguisées en policières, qui ont brièvement interrompu le défilé pour dénoncer l’usage de peaux exotiques.

L’incident n’a pas empêché le show de se poursuivre, mais il a attiré l’attention des médias sur les enjeux éthiques auxquels les grandes maisons de luxe sont confrontées.

Hermès a préféré rester concentré sur son défilé et n’a pas réagi immédiatement à cette action.

Derrière les célèbres sacs « Birkin » et « Kelly » d’Hermès, qui peuvent coûter plus de 35 000 €, se cache une cruauté insoutenable. La peau des alligators sert à fabriquer des bracelets de montre, tandis que deux à trois crocodiles sont tués pour chaque sac à main. pic.twitter.com/oNvtbwzDZY

— PETA France (@PETA_France) October 4, 2025

Aucun accessoire de mode ne justifie une telle souffrance. Exigeons qu’Hermès renonce aux peaux « exotiques » !
Signez la pétition ci-dessous et faites entendre votre voix pour les animaux : https://t.co/RXFsXpy0sx

— PETA France (@PETA_France) October 4, 2025